samedi 18 octobre 2014

MAIS QUAND VA-T-ON ARRÊTER D'ÉCOUTER CES RONDS DE CUIR PARCE QUE L'ON VA CHANGER LEURS HABITUDES ET QU'ILS VONT SE NOYER DANS UN VERRE D'EAU ?!


Le président de la Caisse nationale d'allocations familiales (Cnaf), Jean-Louis Deroussen, le 23 novembre 2012. (Sans méchanceté aucune : quand on voit ce monsieur, il ne lui manque plus que le crayon sur l'oreille et les manches de lustrines, alors changer ses habitudes, çà doit être dur?!)

La mesure entraînerait forcément une surcharge de travail...(Tu parles..!)

Modulation des allocations: «Pas si simple», selon le président de la Cnaf

Le président de la Caisse nationale d'Allocations familiales (Cnaf), Jean-Louis Deroussen, a déclaré vendredi que moduler les allocations ne serait «pas si simple», affirmant notamment que la mesure entraînerait «forcément» une surcharge de travail pour les personnels.
«On va complexifier, en gros, la seule mesure qui était simple», affirme Deroussen. «On n'était pas prêts à cette mesure-là puisque dans le projet de PLFSS (le budget de la Sécu, ndlr), on avait travaillé» sur d'autres pistes.
«Si la loi est votée ainsi, bien sûr, les CAF l'appliqueront», a-t-il ajouté. Selon lui, il faudra de 6 à 9 mois pour mettre à jour les outils informatiques qui aujourd'hui permettent le versement automatiqueme des allocations.

L'emploi de 600 postes équivalents temps plein

«Il faudra connaître la situation financière précise des ménages pour savoir si leurs droits restent ouverts ou sont en partie supprimés. Ce sera d'une grande complexité informatique», avait déclaré un peu plus tôt Deroussen à La Rochelle.
Le président de la Cnaf estime également que la mesure entrainera «forcément» une surcharge de travail évaluant les besoins en effectifs «pour cette prestation un peu nouvelle», à «à peu près 600 équivalents temps plein».
Deroussen évalue par ailleurs le coût de gestion des nouvelles prestations à 20 euros par an par dossier.
L'exécutif a donné son accord pour cette modulation, qui prendra effet à partir du 1er juillet prochain. Elle sera proposée dans un amendement au projet de budget 2015 de la Sécurité sociale et concernera «12% des familles» qui perçoivent des allocations. Les allocations de base seront divisées par deux à partir de 6.000 euros de revenus pour le foyer, et par quatre à partir de 8.000 euros.

Quelle catastrophe en France quand on veut changer quoi que soit dans nos institutions, c'est toujours la même chose, on se noie dans un verre d'eau:


Il y a toujours un responsable qui vient vous dire:" à oui mais ce n'est pas simple, que cela va être compliqué" bla bla bla etc...

Dans le privé dans une entreprise quand on change des processus quel qu'ils soient pour faire par exemple plus de rendement plus de chiffre d'affaires etc, on met les gens compétents au travail, ils se retroussent les manches et on se débarrasse des "pattes cassées" qui ne veulent pas s'adapter!

Si ce monsieur patron de la CNAF n'est pas capable d'organiser ce changement qui n'est pas si compliqué que cela en modernisant son usine à gaz vieillissante on le débarque!


Il y en a marre de cette inertie de ce fonctionnariat de service public qui se regarde le nombril en France!

JDECLEF18.10.2014 - •

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