François Hollande a assuré dimanche
que "les réformes se poursuivront ...
Hollande: «les réformes se poursuivront à un rythme encore accéléré»
François Hollande a
assuré dimanche que «les réformes se poursuivront à un rythme encore accéléré
jusqu'à la fin» du quinquennat après les vives critiques de l'ex-numéro un du
Parti socialiste, Martine Aubry, sur la politique économique du gouvernement.
«Les réformes, elles sont continues, elles ont été engagées dès
les premiers mois de mon quinquennat et elles se poursuivront à un rythme
encore accéléré jusqu'à la fin, parce que la France a besoin de réformes», a
déclaré le président de la République devant un parterre de patrons de grandes
entreprises étrangères réunis à l'Élysée.Il s'agit «non pas de réformer pour réformer mais de réformer pour créer davantage de richesse, davantage d'activités, davantage d'emplois et aussi pour attirer davantage d'investisseurs et davantage d'entreprises», a-t-il ajouté lors de cette rencontre à l'Élysée sur le thème de «l'attractivité de la France», en présence notamment du chef du gouvernement Manuel Valls et du ministre de l'Économie Emmanuel Macron.
Énumérant les réformes engagées depuis six mois par le gouvernement Valls, M. Hollande a présenté comme «une nouvelle étape» le projet de loi de relance de l'activité lancé par le gouvernement qui prévoit notamment un assouplissement du travail du dimanche, l'ouverture des professions réglementées et des mesures en faveur de l'actionnariat salarié.
Dans un entretien au Journal du dimanche, Martine Aubry a éreinté la politique économique du gouvernement en se posant clairement en chef de file des députés PS frondeurs et en demandant une réorientation de la politique économique du gouvernement.
Manuel Valls avait dans l'après-midi réagi indirectement aux propos du maire de Lille en assurant qu'on pouvait «compter» sur lui pour «avoir les nerfs solides» face aux critiques.
«Nous n'allons pas nous arrêter au milieu du gué», a prévenu M. Valls. «On ne peut pas zigzaguer, changer tous les jours de position. Les entreprises ont besoin de lisibilité, de visibilité», a-t-il ajouté.
M. Macron s'est quant à lui dit «en désaccord avec l'analyse» de Mme Aubry et «les conclusions qu'elle en tire», estimant que «ce n'est pas avec des solutions classiques que nous pourrons réparer» la crise.
Voila un président qui se sent acculé
à son immobilisme ( 85 % d'insatisfait
en France) qui "court après sa queue comme un chien"(excuser ma
trivialité),et qui commence à paniquer par une fuite en avant plus rapide,
qu'il ne peut maitriser et qui veut rattraper les 2 ans 1/2 de son quinquennat
ou il n'a rien fait, si ce n'est encore d'avoir divisé les français qui en sont
réduits pour certains de plus en plus à ne plus voter ou à se tourner vers le
FN!
Et par dessus le marché qui croit
encore à une embellie hypothétique, en fait il est comme les autres, comme ses
prédécesseurs qui se sont battus pour être président, seul moment ou ils
mettent vraiment de l'énergie et qui après être élus profitent, car "indéboulonnables" pendant 5
ans ne pensant qu'à une seule chose à leur réélection "comme un jeu pervers ou les acteurs qu'ils manipulent sont les
français bien sur..!"
Car en fait ils ne sont pas assujettis
à des devoirs de résultats pendant leurs quinquennats (comme des PDG ou patrons de sociétés qui doivent faire des bénéfices
pour leur entreprise, leurs employés et surtout aussi leurs actionnaires pour
les plus importantes) et qui peuvent être virés...
Hélas les Français car l'état c'est en
principe eux, mais n'ont pas le pouvoir, ils doivent subir "le monarque en place" jusqu’à la prochaine élection quoi
qu'il arrive, que celui-ci soit bon ou mauvais ou borné (d'ailleurs il s'en fiche...Car il est en place !)
Alors conclusion (hélas)
: attendons 2017 (et refaisons la même
chose après avec un autre peut être, et immuablement, puisque l'on ne veut rien
changer dans cette V eme république ringarde "c'est à pleurer" lol!)
Jdeclef20/10/2014
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