L'épidémie d'Ebola pourrait être au mieux
«stabilisée» fin 2014, selon deux experts de la Commission européenne.
Pour chiffrer leur estimation, les chercheurs d’un laboratoire de la Northeastern University de Boston se sont donc fondés sur le trafic aérien, mais aussi sur le rythme de contagion du virus, indique Reuters. La France se retrouve en première ligne des pays menacés, devant la Grande-Bretagne (50% de chances), la Belgique (40%), l’Espagne et la Suisse (14%).
Ce chiffre de 75% est valable à la condition que le trafic aérien «demeure à pleine capacité», expliquent les chercheurs. Autrement dit: si les autorités décidaient de restrictions aux voyages entre Europe et Afrique, la probabilité de voir le virus s’y exporter rapidement chuterait. Avec 80% des vols en moins, le risque redescendrait à 25% pour la France, et celui de la Grande-Bretagne à 15%. Mais dans le même temps, il nuirait également au travail humanitaire, ont déjà prévenu les ONG.
Le virus Ebola aurait «75% de chances» d’arriver en France d’ici au 24 octobre
SANTE - Une étude scientifique pointe le rôle du trafic aérien...
Le trafic aérien donne des ailes au virus
Ebola. Compte tenu du nombre de passagers qui circulent entre la France et les
pays africains affectés par l’épidémie, le virus pourrait bien être importé
dans l’Hexagone d’ici au 24 octobre, selon une équipe de scientifiques, qui
évalue cette probabilité à 75%.Pour chiffrer leur estimation, les chercheurs d’un laboratoire de la Northeastern University de Boston se sont donc fondés sur le trafic aérien, mais aussi sur le rythme de contagion du virus, indique Reuters. La France se retrouve en première ligne des pays menacés, devant la Grande-Bretagne (50% de chances), la Belgique (40%), l’Espagne et la Suisse (14%).
Le trafic aérien à limiter?
La France doit son classement au nombre élevé de francophones dans des pays comme la Guinée, le Sierra Leone ou le Liberia, et à celui, très élevé aussi, de liaisons aériennes entre ces pays et Paris. La Grande-Bretagne la talonne, quant à elle, en raison de l’importance de son aéroport londonien de Heathrow, l’une des plateformes les plus fréquentées au monde.Ce chiffre de 75% est valable à la condition que le trafic aérien «demeure à pleine capacité», expliquent les chercheurs. Autrement dit: si les autorités décidaient de restrictions aux voyages entre Europe et Afrique, la probabilité de voir le virus s’y exporter rapidement chuterait. Avec 80% des vols en moins, le risque redescendrait à 25% pour la France, et celui de la Grande-Bretagne à 15%. Mais dans le même temps, il nuirait également au travail humanitaire, ont déjà prévenu les ONG.
Arrêtons de faire du catastrophisme
inutile pour effrayer les populations, un virus n'a pas de frontière (qui sont déjà poreuses comme on le sait et
du fait en plus de l'immigration irrégulière qui est en constante augmentation)
et nos pays sont équipés pour lutter le plus efficacement contre ce fléau
dangereux et le vaincre à plus ou moins long et moyen terme!
Il faut que les ("vilains") occidentaux et pays civilisés (toujours ceux que l'on appellent au
secours, d'ailleurs) se mobilisent pour éradiquer ce mal par la recherche
scientifique et pour trouver un vaccin, ce qu'ils font actuellement et dont les
équipes médicales MSF, ONG et autres sont sur le terrain et risquent leur vies
en Afrique (et pas seulement pour empêcher
le terrorisme de se développer dans ce continent!)
Et rappelons-nous La grippe de 1918,
surnommée « grippe espagnole », due à une souche (H1N11) particulièrement virulente et contagieuse de grippe qui
s'est répandue en pandémie de 1918 à 1919. Cette pandémie a fait 30 millions de
morts selon l'Institut Pasteur, et jusqu'à 100 millions selon certaines
réévaluations récentes!
On n'en n'est pas là,
heureusement, alors que les médias et leurs scoops alarmistes arrêtent un peu
de jeter de l'huile sur le feu cela ne sert à rien!
jdeclef06.10.2014 -
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