Campagne 2017
: Hollande monte son état-major... sans Valls
François
Hollande entre dans la dernière phase avant l'annonce de sa candidature. Il
monte son comité de campagne... sans le Premier ministre.
Le président de la République, qui prépare l'annonce de sa candidature, a ébauché son comité de campagne qu'il a réuni pour la première fois, en milieu de semaine dernière. Ce groupe a dorénavant vocation à se réunir une fois par semaine autour de lui.
Sans surprise, on y retrouve les « historiques », Stéphane Le Foll, François Rebsamen, mais également son conseiller parlementaire Vincent Feltesse. Guillaume Bachelay, l'homme qui coordonne les idées du futur programme, en fera également partie. François Hollande a fait monter à ses côtés le jeune député de l'Hérault Sébastien Denaja, 37 ans. De même que la sénatrice des Pyrénées-Atlantique Frédérique Espagnac, ancienne attachée de presse de François Hollande.
Bartolone
fâché
Najat Vallaud-Belkacem était la seule ministre du gouvernement Valls à être présente lors de cette première réunion. François Hollande avait prévu d'y associer Claude Bartolone, mais celui-ci, fâché par le livre Un président ne devrait pas dire ça..., se tient en retrait.
Le chef de l'État a, en revanche, écarté Manuel Valls quand la question de sa présence a été posée. « Ce n'est pas son rôle », a coupé François Hollande, dont les relations avec le Premier ministre se sont tendues récemment. Le président observe les tentatives quotidiennes du camp vallsiste pour l'empêcher de se présenter. Les Hollandais du premier cercle n'apprécient guère les sorties publiques de Michel Sapin ou de Jean-Yves Le Drian tendant à considérer qu'à défaut d'une candidature du président de la République, Manuel Valls serait le plus légitime.
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Plutôt une fuite en
avant, pour éviter si possible "un
Waterloo morne plaine», il ne lui reste que très peu de fidèles à lui
rester !
Il a accumulé les
erreurs, la plus flagrante étant son maudit livre, si encore il l'avait fait
après les élections, à être trop bavard, c’est impardonnable, il va payer
l'addition et entrainer le PS et la gauche, enfin ce qu'il en reste avec lui !
Le malheur de ces
présidents de cette V eme république devenus orgueilleux se prenant pour des
monarques de l'ancien régime, au point de se croire indispensables dans un
monde qui a changé et qu'ils n'ont pas vu venir ou simplement pas voulu voir!
Il ne mérite pas d’être
réélu, il le sait, mais compte sur la versatilité des français à qui il fait
perde leur temps et avec sa méthode "Coué" légendaire...
Jdeclef 11/11/2016
15h57