Un débat qui
part en quenouille !
VIDÉOS.
Confuse et péniblement arbitrée, cette troisième confrontation a permis aux
candidats de conforter leur positionnement. Une émission pour rien ?
À un quart d’heure de la fin du troisième débat de la primaire de la droite et du centre, François Fillon a critiqué l’organisation du débat, qui a flotté durant quelques minutes dans une certaine cacophonie.
Contourner la distribution
de la parole
Le temps de parole de chaque candidat est indiqué sur leur pupitre. Les journalistes en tiennent compte pour distribuer la parole. David Pujadas a ainsi expliqué que tous ne pourraient pas s’exprimer sur chaque sujet.
Jean-Frédéric Poisson a choisi de contourner cette règle, en esquivant une question sur le découpage des régions, préférant répondre à la précédente, sur la pauvreté.
Primaire à droite: François Fillon peut-il créer la surprise face à Alain Juppé et Nicolas Sarkozy?
« Laissez-nous nous
exprimer, Monsieur Pujadas »
Puis François Fillon a interrompu David Pujadas pour critiquer l’organisation du débat. Il a interpellé les journalistes, remettant en cause un débat « où vous balayez des sujets de fond en trente secondes ». Il a réclamé plus de temps de parole pour les propositions, moins pour les interpellations entre candidats. « Vous avez une conception de ce débat en termes de spectacle. Laissez-nous nous exprimer, Monsieur Pujadas », lance l’ex-Premier ministre. Et d’embrayer sur la santé : « je voudrais qu’on réforme la politique de santé, qu’elle soit basée sur les médecins généralistes, désétatisée ».
David Pujadas lui a pourtant rappelé que, comme pour le premier et le deuxième débat, les équipes des candidats s'étaient accordées sur le format de l'émission
Le débat a par la suite quelque peu échappé aux animateurs. Les candidats étaient invités à s’interpeller, mais certains ont pris la parole de manière impromptue, dans une certaine cacophonie.
Certains internautes ont même qualifié la situation sur le plateau d'« anarchie » :
Maire et Sarkozy s'en sont
pris à Elkabbach et Pujadas
Plus tôt au cours du débat, Bruno Le Maire s'en est pris à «la France des journalistes» et au manque de «respect» de Jean-Pierre Elkabbach qui venait de sous-entendre qu'il serait éliminé dimanche.
Quant à Nicolas Sarkozy, il s'est indigné d'une question du journaliste David Pujadas sur les accusations de financement libyen de sa campagne présidentielle de 2007.
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Peur être un de trop,
car les candidats n’ont rien apporté de nouveau, si ce n’est que ce fritter un
peu, ainsi qu’avec les journalistes protagonistes de l’émission!
À part cela le débat a
été gâché par ce couple de soit disant journalistes PUJADAS ELKABBACH plutôt
des présentateurs arrogants qui ont coupé et haché les interventions des
débatteurs qui l’on fait remarquer à juste titre, ce qui a occasionné quelque
fois une cacophonie difficile à suivre !
Pour le reste en fin
d’émission et en conclusion N.SARKOZY n’a pas pu s’empêcher de dire qu’il était
le meilleur son orgueil démesuré a repris le dessus « chassez le naturel il revient au galop » il n’a pas
changé, on en arrive à se demander pourquoi il n’a pas réussi à être réélu en
2012, mais on comprend pourquoi, c’est un bonimenteur de foire qui vante de la
camelote qu’il n’a pas réussi à vendre en 2007/2012 !
JUPPÉ et FILLION :
ils ont confirmé leurs programmes ficelés et sont très proches l’un de l’autre,
l’un modéré, l’autre rigide, les français n’ont plus qu’à choisir celui qui
leur donnera le plus « de coups pieds
au cul » (excuser ma trivialité) car ils ont confirmé la rigueur de leurs
réformes qu’ils veulent faire !
Reste la benjamine NKM
une femme dans un monde politicien d’hommes qui a montré un discours et des propositions
intéressantes avec des nouveautés qui a bien débattue et qui s’est plaint à
juste titre de ces faux journalistes présentateurs de télévision médiocres !
LEMAIRE lui a perdu
pied, il en fallait bien un, pas encore assez mordant envers ces vieux briscard
de la politique !
COPÉ a continué à vider
son sac de reproches envers ses ex collègues des gouvernements UMP sarkozystes
(il était venu pour cela d’ailleurs…)
POISSON (l’erreur de casting de cette primaire)
toujours vindicatif sous son air faussement aimable et devenu
antipathique !
Reste aux français à
voter intelligemment sans s’occuper des sondages (comme l’a dit FILLION d’ailleurs !)
