lundi 14 novembre 2016

La fausse peur n’évitant pas le danger (virtuel) du soit disant (« affreux vilain canard blond) de président US TRUMP fustigé par les médias qui veulent comme d’habitude intervenir dans le choix des peuples !


Donald Trump dans l'émission «60 Minutes» sur CBS

Monde

VIDEO. Salaire de président, juges anti-avortement... Les annonces de Donald Trump sur CBS


ÉTATS-UNIS Lors d’une interview sur la chaîne CBS, Donald Trump s’est longuement exprimé sur sa politique future…
Donald Trump dans le texte. Après les déclarations incendiaires du candidat et les propos radoucis du président élu, un certain flou planait sur les intentions du futur dirigeant des Etats-Unis, une fois qu’il serait à la tête du pays. Lors d’une interview sur la chaîne CBS, le milliardaire s’est longuement exprimé sur sa politique future.

Expulser jusqu’à 3 millions de clandestins


Donald Trump est resté inflexible sur l’immigration, thème clé de sa campagne mais aussi motif de profonde inquiétude pour des millions d’étrangers établis aux Etats-Unis. Il a fait part de son intention d’expulser jusqu’à 3 millions de clandestins.

L’annonce a généré un couac avec la majorité républicaine. Interrogé sur la chaîne CNN, le chef de file des républicains à la Chambre des représentants, Paul Ryan, avait en effet assuré plus tôt dimanche que Donald Trump ne prévoyait pas de créer des équipes dédiées aux expulsions de clandestins et que la priorité restait la « sécurisation » des frontières.

Donald Trump a réaffirmé qu’il bâtirait bien « un mur » à la frontière avec le Mexique pour limiter l’immigration clandestine, mais qu’il pourrait être constitué aussi bien de béton que de « clôtures ».

Aux milliers de manifestants : « N’ayez pas peur »


« N’ayez pas peur », a-t-il lancé aux milliers de manifestants qui le défient quotidiennement dans plusieurs villes des Etats-Unis. Des milliers de personnes ont encore défilé à New York dimanche, après des dizaines de milliers samedi, à New York comme à Los Angeles, et plusieurs milliers à Chicago. « C’est seulement parce qu’ils ne me connaissent pas », a affirmé Donald Trump.

A ceux qui agressent des minorités : « Arrêtez »


Il a également condamné les actes de violence et de harcèlement contre des minorités (musulmans, noirs ou hispaniques) qui, selon l’opposition démocrate et des associations, se sont multipliés depuis son élection. « Je dirais (aux auteurs de ces agressions verbales ou menaces) ne faites pas ça, c’est terrible, parce que je vais réunifier ce pays », a-t-il expliqué, se tournant ensuite vers la caméra pour dire « arrêtez ».

Des juges anti-avortement et pro armes à la Cour suprême


Donald Trump a confirmé qu’il nommerait à la Cour suprême des juges anti-avortement et favorables au port d’armes à feu : « Voici ce qui va se passer. Je suis pro-life (anti-avortement) et les juges seront pro-life. Ils vont être très favorables au Deuxième amendement » de la Constitution, qui fait de la détention d’armes un droit pour chaque citoyen américain.

Pas de remise en cause du mariage gay


En revanche, le président républicain n’a pas l’intention d’oeuvrer à une remise en cause du mariage homosexuel. Il a rappelé que la Cour suprême avait statué sur le sujet. « C’est la loi (…) Cela me convient », a-t-il dit.

Il renonce à son salaire de président


« Non, je ne vais pas prendre ce salaire. Je ne le prends pas », a dit le président élu, dont la fortune personnelle a été estimée par le magazine Forbes à 3,7 milliards de dollars. Il devrait donc percevoir, au lieu de 400.000 dollars (370.000 euros) par an, un simple dollar symbolique comme l’exige la loi.

Flexible sur l’Obamacare


Lors de cette première interview télévisée depuis son élection mardi, il a montré une certaine flexibilité sur « Obamacare », la loi emblématique du mandat de son prédécesseur qui permet à tous les Américains d’avoir une assurance santé mais dont le fonctionnement est très critiqué. Elle pourrait être amendée, et non simplement abrogée.

Son équipe


L’homme d’affaires, élu sur un discours populiste, a également cherché à établir une forme d’équilibre dans les premières nominations à son cabinet, en propulsant à deux postes clés de son administration le président du parti républicain et son ancien directeur général de campagne, une personnalité très controversée.

Il a désigné le président du parti républicain Reince Priebus comme secrétaire général de la Maison Blanche. Il s’agit d’un homme politique expérimenté qui orchestrera toute l’administration du nouveau dirigeant populiste et servira de lien avec les élus et le parti, sorti divisé de la campagne.

Mais il s’est aussi adjoint un « haut conseiller et chef de la stratégie » en la personne de Stephen Bannon, son directeur général de campagne, patron du site d’informations ultra-conservateur Breitbart News, qui entretient des liens avec des mouvements d’extrême droite européens.

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Il faudrait que la France et l’Europe et surtout les médias de tous poils s’occupent enfin de leurs affaires, car cette élection est faite aux USA et américaine par le peuple américain, qui même s’il ne semble pas satisfait dans sa totalité 50/50 % comme bien de nos démocraties lors d’élections par un système électoral vieillissant et obsolète comme leur constitution, c’est à eux de changer cela !

Parallèlement Mr TRUMP n’est pas le maitre du monde, même s’il est le chef de la plus grande démocratie et grande puissance qui est sur le déclin, il devra travailler avec les autres pays occidentaux et autres et vice versa, l’impérialisme US n’est plus ce qu’il était le terrorisme islamique et ses multiples attentats contre les USA a marqué les faiblesses d’un pays et ses revers militaires depuis 1965 avec le Vietnam et après à ce pays qui se croyait invulnérable!

Et tout ce monde fera avec lui, économie et commerce oblige dans cette mondialisation perverse, d’ailleurs le nouveau président a déjà bien sur mis « de l’eau dans son vin » suite à ses diatribes outrancières qu’il avait développé lors de la campagne présidentielle et totalement irréalistes pour certaines !

Pour la France que l’on veut souvent comparer aux USA ce qui est un tort, le conservatisme et les bien-pensants béats hypocrites tient encore la route, même s’il s’effrite et on en est encore à prendre les mêmes pour notre élection présidentielle avec nos politiciens souvent ex élus médiocres donc pas de « maelstrom » à craindre « à la Trump » malgré « l’huile sur le feu jetée par les médias » et leurs sondages pernicieux ni de « brexit » à l’anglaise !

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