Primaire de
la droite : Juppé toujours en tête, forte hausse pour Fillon
D'après un
sondage, l'ancien maire de Bordeaux est toujours le favori. Derrière, Nicolas
Sarkozy est en baisse, tandis que François Fillon progresse.
Alain Juppé (- 1) reste en tête des intentions de vote pour la primaire de la droite à cinq jours du premier tour, devant Nicolas Sarkozy (- 5), en baisse, et François Fillon, en forte hausse (+ 7), selon un sondage BVA diffusé mercredi. Avec 37 % d'intentions de vote parmi ceux qui se disent certains de participer à la primaire, le maire de Bordeaux accroît son avance sur l'ex-chef de l'État, en recul de 5 points à 29 %, par rapport à une précédente enquête à la mi-septembre. Grand vainqueur des débats télévisés pour la primaire, François Fillon gagne 7 points à 18 %, mais reste à 11 points derrière Nicolas Sarkozy. Bruno Le Maire est relégué à la 4e place avec 9 % (- 2) des intentions de vote, Nathalie Kosciusko-Morizet est stable à 4 %, selon cette enquête pour Orange et la presse régionale.
Nicolas Sarkozy conserve cependant l'avantage auprès
des sympathisants des Républicains (LR), les plus susceptibles de voter à la
primaire, avec 39 % d'intentions de vote, contre 29 % pour Alain Juppé et 19 %
pour François Fillon. Plus de huit électeurs d'Alain Juppé (83 %) et de Nicolas
Sarkozy (84 %) sur dix considèrent leur choix définitif, mais ce n'est le cas
que de 66 % de ceux de François Fillon. Au second tour, Alain Juppé (+ 3)
creuse également l'écart sur Nicolas Sarkozy (- 3) et l'emporterait avec 59 %
des voix, contre 41 % à l'ex-chef de l'État.
L'indice de participation à la primaire est évalué à 9 % (+ 1) du corps
électoral et 70 % des personnes se disant certaines de voter affirment connaître
précisément leur bureau de vote. En cas de duel Sarkozy-Juppé au second tour,
un quart des électeurs de Bruno Le Maire (24 %) et de François Fillon (26 %) se
reporterait sur l'ex-chef de l'État, 47 % de ceux de Fillon et 43 % de ceux de
Bruno Le Maire sur Alain Juppé.
Les sondages sont les
pires procédés médiatiques qui puissent exister dans les campagnes
électorales et pas assez fiables, en plus!
On l’a vu avec
l’ANGLETERRE/USA et maintenant en France, car les peuples sont influençables à
cette folie de matraquages médiatiques qui s’additionne avec des émissions de
radio/télévision politique, sans parler des réseaux sociaux poubelles !
Sans compter les
meetings des candidats qui eux sont fait pour cela !
Et en plus on a ajouté
une couche d’indécision supplémentaire avec les primaires de ces partis
ringards et leurs politiciens médiocres souvent ex élus connus que l’on revoit
à chaque fois, sous prétexte de démocratie !
Et ce que l’on voit
après, c’est ces peuples lambda qui votent mal (et quand ils vont voter) car quand le résultat tombe ne sont pas
satisfaits des résultats et manifestent bruyamment leur désaccords, exemple en
ANGLETERRE pour le brexit et à l’élection à la présidentielle US avec
TRUMP !
Jdeclef 16/12/2016
10h13