samedi 29 juin 2024

Logorrhée : spécialité de notre président actuel Trouble du langage caractérisé par un besoin irrésistible et morbide de parler. Long discours creux : verbiage. Flux de paroles inutiles et incohérentes. Blablas prétentieux pour présenter des banalités ou une analyse plus ou moins cohérente et fondée (D’ailleurs se que l’on n’a pu aussi constater aux USA avec ce pauvre président BIDEN qui a perdu une partie de son langage dans sa confrontation avec TRUMP car eux sont aussi en campagne électorale avec leur 2 VIEUX ex présidents usés !?)

 

RN, NFP, camp « macroniste » : les résultats de notre dernier sondage peut-être un piège à couillons qui ne profite qu’aux médias et il y a 2 tours en plus bien organisé par ce président avec sa dissolution inutile puisqu’heureusement inéligible jusqu’en 2027 !?

Un notre dernier baromètre Cluster17-« Le Point » (mais inféodé au pouvoir place défaut de cet hebdo) avant le premier tour des législatives, les intentions de vote se cristallisent autour des trois grands blocs.

Par Paul Chambellant

Publié le 28/06/2024 à 18h37, mis à jour le 29/06/2024 à 09h16

Malgré l'arrivée de l'été, rien de nouveau sous le soleil. À deux jours du premier tour des élections législatives anticipées, notre ultime estimation confirme la tendance à la polarisation du scrutin et la consolidation des intentions de vote.

Crédité de 35 % des voix, contre 34,5 % mardi dernier, le Rassemblement national (RN) reste en tête, profitant d'un nombre accru de reports de voix provenant des électeurs de Reconquête. En légère perte de vitesse, le Nouveau Front populaire (NFP) affiche 29,5 % des intentions de vote (contre 30 %), encore loin devant le bloc présidentiel à 20 % (contre 19,5 %).

En projection en sièges, estimation qui reste toutefois très incertaine avant les résultats du premier tour, le RN distancerait ses concurrents en envoyant 210 à 255 députés à l'Assemblée. Le NFP obtiendrait pour sa part entre 180 et 220 sièges, et la majorité pourrait reconduire 65 à 110 parlementaires. Les Républicains (LR) se disputeraient les miettes avec les autres listes, récupérant respectivement entre 25 et 35 sièges et entre 20 et 30 sièges.

Législatives : Macron et le fantasme de la coalition des modérés

86 % des électeurs sont ainsi sûrs de leur choix

« Il n'y a pas de dynamique notable, résume Jean-Yves Dormagen, fondateur de l'institut Cluster17 et professeur en sciences politiques à l'université de Montpellier. On est dans une situation qui semble assez cristallisée, et qui confirme ce que l'on voit depuis le début : des électorats très fermement positionnés sur leurs intentions de vote, avec très peu d'hésitation et peu de seconds choix. »

 Le vote de la colère
86 % des électeurs qui iront voter sont ainsi sûrs de leur choix, avec un pic à 94 % et 91 %, respectivement, pour les sympathisants du RN et du NFP. Le niveau de participation, en légère hausse de 0,5 % pour atteindre 65 %, est « d'autant plus remarquable que les Français ont déjà voté le 9 juin, note le fondateur de Cluster17. Une partie importante de la population a conscience que c'est une élection importante, qui mobilise ».

« Les gens ont l'air d'être plus tranchés sur le fait de voter ou de s'abstenir », ajoute-t-il. 14 % des électeurs disent toutefois pouvoir « encore changer d'avis », une proportion plus grande chez les électeurs LR et Reconquête. Ces électeurs « tendent à se reporter principalement sur le RN, ce qui explique que la coalition LR-RN aura sans doute plus, voire sensiblement plus que son score des européennes », prophétise le sondeur.

Le front républicain, stop ou encore ?

« La grande incertitude de ce scrutin à ce stade, poursuit-il, c'est quel va être l'effet du premier tour sur les électeurs. Comment les électeurs vont-ils réagir au fait que le RN et Jordan Bardella ont la majorité relative, voire absolue, à portée de main ? »

Un constat sans doute « pas complètement intégré » par une partie de l'opinion, en particulier l'électorat centriste, dont les réactions durant l'entre-deux-tours seront déterminantes dans l'issue du scrutin. « Soit on va voir se mettre en place une dynamique d'amplification de la progression du RN et de ses alliés, soit les résultats de ce premier tour produiront au contraire une reconstitution d'une forme de front républicain », lance Jean-Yves Dormagen.

 Législatives : les triangulaires, comment ça marche ? L'abstention potentielle des électeurs de l'actuelle majorité dans le cas de duel RN-NFP a d'ailleurs évolué à la baisse depuis une semaine, passant de 70 % à 50 %. « Dans 3 cas sur 4, leur vote se reporterait sur le NFP, pointe le professeur en sciences politiques. On est donc revenu à une situation de début de campagne, qui s'était dégradée, liée à l'omniprésence de Jean-Luc Mélenchon dans les médias et au narratif de la majorité reposant sur la mise en équivalence de deux extrêmes. »

Aujourd'hui, ce narratif a un peu évolué, en témoignent les appels d'Édouard Philippe à « une grande coalition qui irait de la droite à la gauche écologiste comme alternative au RN » et les positions de Gabriel Attal plus virulentes envers l'extrême droite que la gauche lors des deux débats télévisés de la semaine. « Ce discours qui vient des leaders les plus populaires et importants de la majorité présidentielle peut impacter les électeurs », confie Jean-Yves Dormagen.

La gauche dans les griffes du cannibale Mélenchon

Les électeurs centristes, clé du scrutin ?

D'après lui, « les responsables politiques à partir de dimanche 20 heures vont avoir un rôle important à jouer, selon les positions qu'ils vont prendre ». Choisiront-ils de se désister en cas d'arrivée en troisième place lors d'une triangulaire, comme certains leaders de gauche l'ont annoncé ces derniers jours ? Y aura-t-il « un appel clair des leaders des différents camps à faire barrage au RN » ? Ces décisions entraîneront-elles un regain de participation, comme ça a été le cas en 1997 dans l'entre-deux-tours ? « Si l'électorat de Renaissance par exemple s'abstient à 40 % ou 70 % dans le cas d'un duel NFP-RN, le résultat ne sera pas le même », rappelle le sondeur.

Européennes : pourquoi la jeunesse ne vote pasLe scrutin se décidera-t-il chez les électeurs de la majorité ? Jean-Yves Dormagen n'en doute pas : « La participation, la mobilisation et le choix qu'opéreront les électeurs dont les candidats auront été éliminés le premier tour vont être absolument décisifs pour le scénario de second tour. » De son côté, l'électorat RN semble moins inquiété que les autres des résultats de ces élections : 68 % disent qu'il leur « importe vraiment de savoir qui gagnera l'élection législative anticipée », contre 76 % des électeurs de Renaissance et 87 % des électeurs du NFP.

« C'est un électorat en moyenne un peu moins politisé, un peu plus sceptique envers les politiciens, décrypte Jean-Yves Dormagen. Il attend moins d'impact important sur sa vie des résultats des élections, c'est un électorat un peu désabusé. » Et de conclure : « La plupart des électeurs pensent que le RN va gagner ces élections, et répondent à cette question avec cette idée à l'esprit. […] Je lis leur réponse aussi comme le fait que ceux qui craignent le RN le craignent avec plus d'intensité que ceux qui l'espèrent. » Leurs craintes sont-elles fondées ? Verdict ce dimanche, à 20 heures.

(D’ailleurs ce que l’on n’a pu aussi constater aux USA avec ce pauvre président BIDEN qui a perdu une partie de son langage à cause de son âge 81 ans dans sa confrontation avec TRUMP car eux sont aussi en campagne électorale avec leur en plus 2 trop VIEUX ex présidents usés !?)

Hier soir au stade vélodrome de Marseille car bien sur le stade de France était indisponible à cause des prochains J.O. un autre évènement à venir dans notre état malade mal gouverné ou notre président hors sol croit peut-être que cela gommera les problèmes sociétaux et internationaux divers de notre pays ?!

Notre président devenu fantôme virtuel avec « sa macronie moribonde » ne s’est pas déplacé comme c’est la tradition habituelle pour cette sublime finale de rugby du top 14 qui a rempli ce beau stade archi plein de 66 milles spectateurs enthousiastes plus tous ceux qui l’on regardé à la télé sur la chaine 2 nationale ou CANAL+ (style jeux du cirque de l’ancien empire romain et devenu saint empire romain germanique avec CHARLEMAGNE  mais ça c’est notre histoire de France que l’on enseigne si mal à nos jeunes par notre Education Nationale d’état orientée vers les pouvoirs en place !?)

Ce « Mr fat » notre chef d’état sans amour-propre il a bien fait de ne pas venir car il n’aime pas les Français lambda car « pas de son monde » en les dédaignant car c’est lui qui l’a dit et pourtant a été élu et réélu par certains encore trop nombreux à cause d’un système electoral qui ne profite qu’aux sortants comme en 2022 ou qui ont eu peur du lendemain alors qu’il ne les protège PAS !?

Attendons les résultats des votes du 30/06 et 7/07 de nos concitoyens en espérant qu’ils votent ou choisissent mieux que d’habitude ce qui serait étonnant d’ailleurs !?

Notre pouvoir actuel virtuel à quand même mobilisé 5000 fonctionnaires des forces de l’ordre supplémentaire étant donné que le président lui-même les a effrayés en prédisant le CHAOS voire l’anarchie c’est une honte désespérante à cause d’un seul homme à qui des français naïfs ont donné trop de pouvoir c’est cela la réalité !?

Jdeclef 2906/2024 12h29

vendredi 28 juin 2024

Là l’opinion internationale n’a pas beaucoup de valeur car c’est un vote franco/français pas une élection européenne à 27 car chez nous un président gouverne pour la France bien sûr mais surtout pour le peuple Français qui l’a élu et çà il semble l’avoir oublié car ils les dédaignent (n’étant selon lui pas de son monde !?)

 

Les législatives vues de l’étranger : « Macron a fait du bon boulot, mais il risque de tout ficher en l’air » MAIS LES FRANCAIS CE N’EST PAS CE QU’ILS VOIENT OU RESSENTENT SUR TOUS LES SUJETS DE LEURS VIES QUOTIDIENNES ET CA NOTRE PRESIDENT NE L’A PAS COMPRIS IL VA PEUT ETRE S’EN RENDRE COMPTE TRES VITE DEJA LE 30/06 ?!

Brice Couturier

LA REVUE DE PRESSE DES IDÉES. Si « The Economist » salue les réformes mises en place par Macron, « Die Welt » s’inquiète des conséquences politiques des élections à venir sur la fonction de président.

Publié le 28/06/2024 à 15h00

Grâce aux réformes que le président français est parvenu à arracher à ses « Gaulois récalcitrants », Paris venait de redevenir l'une des capitales les plus attractives pour les investisseurs et les startupers. Ses banques rivalisent à nouveau avec celles de Londres. Depuis que Macron a conquis l'Élysée en 2017, la France a créé deux millions d'emplois. Le pays a un taux de croissance supérieur à celui de la zone euro et un taux de pauvreté inférieur.

« Une bonne part du crédit en revient à Emmanuel Macron. Vous pouviez penser que les électeurs récompenseraient ces résultats. » Au contraire, le bloc des candidats qui se réclament de sa politique n'arrive qu'en troisième position dans les sondages.

Jean-Claude Juncker a dit un jour : « Nous savons tous ce que nous avons à faire. Ce que nous ne savons pas, c'est comment être réélu une fois que nous l'avons fait. » Tel est le problème de Macron, selon l'hebdomadaire britannique des élites mondiales. Il est difficile de persuader les électeurs que des changements pénibles en valent pourtant la peine à plus long terme. Macron n'a pas su le faire.

 Les législatives vues de l'étranger : des promesses démagogiques et des dépenses non financées

Un autre problème tient au fait que si Paris et plusieurs autres grandes villes françaises apparaissent en pleine renaissance, une bonne partie de l'autre France, celle des campagnes et des petites villes, n'a pas été entraînée dans ce mouvement de modernisation.

En outre, « la présidence olympienne » de Macron a énervé ses compatriotes ; ils le jugent « arrogant et hors sol ».

« Au lieu de bénéficier des réformes récentes, les électeurs français veulent les démanteler. » C'est en tout cas le sens des programmes du RN, mais aussi celui de la gauche réunifiée.

La cure de jouvence de l'économie française se paie cash

Le Wall Street Journal a une explication à ce discrédit. « Tout au long de ses sept années à la présidence, Macron a gardé le pied sur l'accélérateur, rénovant sans relâche l'économie française, à coups de baisses d'impôts et de réformes du marché du travail, afin de faire de la France une destination attractive pour les sociétés étrangères et pour l'élite mondiale. »

« Mais cette cure de jouvence se paie. » La manière dont Macron semblait gérer la France comme un business plutôt que comme une nation a énervé une majorité de ses concitoyens. Son côté technocrate et pro-entreprises s'est révélé sans prise sur l'angoisse qui monte dans la société française face à des problèmes comme l'immigration ou le coût de la vie.

 « Il faut sanctionner la France, parce que c'est la France… »

Aussi ces élections législatives anticipées se sont-elles muées en un référendum pro ou anti-Macron. Et la majorité des mécontents choisit d'exprimer sa désapprobation en se tournant vers le parti d'extrême droite de Marine Le Pen.

Le quotidien américain a interviewé certains d'entre eux. « Il ne cesse de dire qu'il nous a entendus, mais il persiste à vouloir bouleverser le pays, en allant de plus en plus vite. Et pas dans la direction que nous voulons », explique un technicien de Renault. « Ma banlieue est submergée par la criminalité. Il y a des nuits, nous sommes réveillés par des tirs de mortiers d'artifice contre le poste de police », poursuit cet ancien électeur socialiste qui admet se préparer à voter, cette fois, pour un candidat du Rassemblement national.

Macron « rame à contre-courant » face à une tendance nationaliste qui n'est certes pas limitée à la France. C'est celle qui a provoqué le Brexit et porte en avant Donald Trump. C'est à travers elle que s'expriment les frustrations de ceux pour lesquels la mondialisation n'a pas tenu ses promesses. Non, la marée montante de la croissance n'a pas soulevé tous les bateaux…

Pour « Die Welt », Macron va être balayé de sa propre initiative

Dans un premier temps, l'appel à de nouvelles élections a pris de court toute la classe politique française et provoqué un véritable chaos. Les partis ont dû se réorganiser dans l'urgence. Ainsi a-t-on assisté au passage du propre président de LR du côté du RN. Résultat : dans plusieurs circonscriptions, on verra s'affronter deux candidats se réclamant du LR. « On estime que c'est la fin de ce parti frère de la CDU. »

« Il faut sanctionner la France, parce que c'est la France… »

Très vite, on a vu se former trois blocs : celui de la droite nationale, dirigé par Marine Le Pen, est en tête des sondages. « Coincé au centre », le camp gouvernemental est promis à « un fort rétrécissement » dans la prochaine Assemblée nationale. À gauche, neuf partis se sont regroupés au sein d'un Nouveau Front populaire. Une « question de survie » pour ces forces disparates et d'accord entre elles sur pas grand-chose. Mais en termes de candidature, c'est La France insoumise de Jean-Luc Mélenchon qui se taille la part du lion, avec 233 circonscriptions réservées, contre 175 au PS, 82 pour les Verts et 51 pour le PCF.

Une majorité absolue à l'Assemblée nationale semble peu probable. L'issue la plus vraisemblable est une situation de cohabitation. Mais dans la conjoncture politique présente, le pouvoir présidentiel serait fortement réduit, voire ramené à une fonction symbolique – à l'image du système institutionnel allemand, où c'est le chancelier qui exerce la réalité du pouvoir et non le président fédéral. Qui, en France, sait qui est Frank-Walter Steinmeier ?

Les risques pour l'UE d'une France gouvernée par un parti qui demeure eurosceptique

Comme de nombreux journaux européens, El Pais (Madrid) s'inquiète surtout des répercussions de nos élections sur l'Union européenne. Sous le titre « La France risque de devenir le nouvel élève capricieux de l'UE », le quotidien espagnol estime que le parti de Marine Le Pen demeure fondamentalement eurosceptique et que si elle prend bien soin dorénavant de ne plus évoquer le « Frexit », « une partie du programme de Bardella y ressemble beaucoup ». Le candidat au poste de Premier ministre en France ne siégeait-il pas, en tant que vice-président, au sein du groupe parlementaire Identité et Démocratie (I & D) ?

Sur les relations avec la Russie, sur la politique migratoire, sur le pacte vert, les positions de I & D sont en contradiction complète avec la politique menée par l’Union européenne. Par conséquent, « non seulement la cohabitation avec Macron – qui est ouvertement pro-européen – sera difficile, mais la relation avec Bruxelles promet de faire des étincelles ».

Bruxelles, qui ne veut pas paraître intervenir dans le débat politique français. Aussi, pour le moment, la Commission européenne est-elle restée discrète sur les mesures qu'elle pourrait adopter. Ses membres actuels sont sur le départ. Une nouvelle Commission n'entrera en fonction qu'en décembre, après que les candidats proposés par le Conseil européen auront été auditionnés par le Parlement, cet automne. Mais, quelle que soit sa composition, en tant que gardienne des traités, cette nouvelle Commission ne manquerait pas d'ouvrir une procédure d'infraction contre la France en cas de non-respect des règles communes…

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LE TITRE DE CET ARTICLE NE CONVIENT PAS NOTAMMENT "IL RISQUE DE TOUT FICHER EN L'AIR" ?

CAR C'EST PLUTOT "RISQUE DE TOUT FICHER PAR TERRE" ET CA IL L'A DEJA FAIT AVEC SON GOUVERNEMENT A RECREER POUR REMPLACER SA MACRONIE MORIBONDE A CAUSE DE SON SOUK DU A SA DISSOLUTION INUTILE !?

Le dommage étant que c'est les Français qui en souffrent et qui risque justement de lui faire payer sévèrement le 30/06 mais surtout le 7/07 ce ne serait que justice tant il s'est moqué d'eux car se croyant peut être à l’abri jusqu’en 2027 !?

Mais comme les Français fantasques votent bizarrement on verra les résultats!?

Jdeclef 28/06/2024 16h23CLP

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Ça y est toutes « les brèles » de ces classes politiques de tous bords médiocres remontent à la Surface et on dit que le ridicule ne tue pas tant mieux car il y aurait de nombreuses victimes !?

 

Michaël Delafosse : « Chirac, reviens, ils sont devenus fous !? »NON ILS NE SONT PAS FOUS LES FRANÇAIS MAIS QUAND ON LES POUSSE A BOUT ILS SE REBIFFENT ET COMME IL NE PEUVENT PAS S’EN PRENDRE DIRECTEMENT AU PRESIDENT QUI A SEME CE DESORDRE ELECTORAL A CAUSE DE SA DISSOLUTION INUTILE ILS VOTERONS POUR CE RN MALGRE QUE NOTRE FAUX MONARQUE AIT ESSAYE DE LEUR FAIRE PEUR CAR IL CONTINUE A SE MOQUER D’EUX !?

ENTRETIEN. Le maire socialiste de Montpellier a décidé de soutenir le Nouveau Front populaire, seule solution à ses yeux pour contrer le Rassemblement national. En cas de victoire, il verrait bien Martine Aubry à Matignon.

Propos recueillis par Audrey Emery

Publié le 28/06/2024 à 06h10

Michaël Delafosse, maire socialiste de Montpellier et soutien de Raphaël Glucksmann, s'est rallié au Nouveau Front populaire. © Elodie Gregoire POUR « LE POINT »

À l'instar de Raphaël Glucksmann ou de Carole Delga, on imagine aisément le dilemme qui s'est posé à Michaël Delafosse, figure de la gauche anti-LFI, au soir du 9 juin. Lors des législatives de 2022, le maire de Montpellier avait fermement pris position contre la Nupes, soutenant des candidatures dissidentes. Prix national de la laïcité, ce socialiste a toujours appelé son camp à parler avec clarté sur les valeurs de la République. Pour lui, « Mélenchon est une impasse morale et politique », nous affirmait-il encore au lendemain des attentats du 7 Octobre.

Législatives : du RN à LFI, ces candidatures qui posent problème

Le Point : Vous avez combattu la Nupes. En annonçant votre soutien au NFP, n'avez-vous pas le sentiment de vous renier ?

Michaël Delafosse : Une faute lourde et grave a été commise par le président de la République. Le soir du 9 juin, Jordan Bardella demande la dissolution et Emmanuel Macron s'exécute ! Cette décision est totalement irresponsable à l'heure où le pays doit se rassembler pour accueillir le monde lors des Jeux olympiques. Par sa décision, le président précipite le risque que l'extrême droite revienne au pouvoir pour la première fois depuis Vichy. Une force politique qui n'est pas de nature républicaine, qui incarne la libération de la violence contre l'autre et qui jette la suspicion sur nos compatriotes binationaux, symboles de la France universelle.

Nous sommes face à un précipice. À partir de là, il faut trouver une solution politique. Cette solution, c'est l'unité de la gauche. Alors, bien sûr, il y a des scories. Il y a eu chez LFI des propos inacceptables. Il y a des candidats que je ne soutiendrai pas. Je ne ferai pas campagne pour David Guiraud [qui fait l'objet d'une plainte de l'Observatoire juif de France pour « apologie du terrorisme et provocation à la discrimination, à la haine ou à la violence », NDLR], ou Ersilia Soudais. Mais il faut distinguer les militants sincères, comme René Revol, le maire de Grabels, à qui faire un procès en antisémitisme serait injuste. L'urgence démocratique commande des dispositions de salut public.

Au-delà des dérives de certains Insoumis, LFI a refusé de signer la charte contre l'antisémitisme proposée par Place publique. Cela ne vous pose-t-il pas problème ?

Je ne comprends pas qu'on tergiverse sur ce sujet, mais je sais aussi que pour combattre l'antisémitisme, on ne peut pas prendre le risque du RN, qui reste un parti raciste et antisémite. J'ai vu leurs élus au rassemblement organisé à la suite du décès de cette fillette à Courbevoie, comme s'ils s'achetaient un certificat de virginité, alors qu'ils ont crié à l'atteinte à la liberté d'expression quand j'ai interdit Dieudonné à Montpellier. On voit bien leur opportunisme.

Quand j’ai dit non à la Nupes, il n’y avait pas le risque que l’extrême droite arrive au pouvoir. Aujourd’hui, c’est le cas et ceux qui croient qu’elle a changé se trompent.

Vous distinguez l'antisémitisme du RN de celui de certains membres de LFI ?

Non. L'antisémitisme, d'où qu'il soit, doit être résolument combattu. En la matière, je ne fléchirai jamais. La gauche doit toujours être exemplaire et, quand elle ne l'est pas, elle doit savoir le dire. Donc, bravo à Raphaël Glucksmann pour avoir eu le courage des mots dans cette situation inconfortable dont le responsable, il faut le rappeler, est Emmanuel Macron. En convoquant ces élections, le président de la République joue avec la démocratie et met le pays en effervescence sur ces thèmes. Il est censé apaiser le pays et il parle de guerre civile. Le chef de l'État ! Vous vous rendez compte ? Mais Chirac, reviens, ils sont devenus fous ! Dans cette confusion des mots, il faut des repères solides, car l'enjeu avec l'extrême droite aux portes du pouvoir, c'est l'unité de la nation.

Un « bon » et un « mauvais » antisémitisme, vraiment ? Le front républicain est tout de même mal en point. Comment vivez-vous le déchirement de la gauche entre d'un côté François Hollande, Lionel Jospin ou DSK qui se disent prêts à voter LFI pour contrer le RN et, de l'autre, Bernard Cazeneuve ou Manuel Valls qui s'y refusent ?

Je suis surpris de leur position, car je connais le combat de leur vie. Pour ma part, je me reconnais parfaitement dans les positions de Lionel Jospin. Et j'appellerai à voter pour tous les candidats du champ républicain, y compris des LR qui n'ont pas fait alliance avec Éric Ciotti, pour combattre l'extrême droite, comme j'ai appelé à voter Macron au second tour des deux dernières élections présidentielles.

Vous qui avez toujours appelé votre parti à la clarté, n'aurait-il pas fallu saisir ce moment de clarification pour tenter une autre alliance autour d'un bloc social-démocrate ?

La social-démocratie est en train de renaître, la très belle campagne de Raphaël Glucksmann en est la preuve. Et il y aura des débats sur l'avenir de la gauche, qui doit être proeuropéenne et faire triompher la raison face au populisme. Mais ni moi ni personne n'avons demandé à mener cette campagne qui nous est imposée par des gens dont on ne comprend pas qu'ils puissent avoir de l'influence dans la République. Que connaissent Pierre Charon et Bruno Roger-Petit à la vie des gens ?

Quand j'ai dit non à la Nupes, il n'y avait pas le risque que l'extrême droite arrive au pouvoir. Aujourd'hui, c'est le cas et ceux qui croient qu'elle a changé se trompent. Il suffit d'aller dans les assemblées départementales, régionales, dans les villes qu'ils gèrent pour voir comment ils se comportent. Au département de l'Hérault, où j'ai siégé, j'ai entendu les pires propos sur la culture, sur l'éducation. Ils ne règlent pas les problèmes des gens, ils ne se préoccupent ni des questions sociales ni des questions écologiques.

 Dissolution : l'histoire secrète d'une décision historiqueÀ Montpellier, vous soutenez des candidats LFI que Jean-Luc Mélenchon est lui-même venu soutenir le 23 juin…

Je ne suis quand même pas allé à son meeting, il ne faut pas trop m'en demander ! Sylvain Carrière [candidat NFP/LFI dans la 8e circonscription, NDLR] n'a jamais eu de déclaration outrancière, sinon je ne serais pas à ses côtés. Et si le NFP gagne les élections, je rappelle qu'il y a aussi des communistes, des écologistes et des socialistes. Le RN est la seule force politique qui incarne la haine, qui est incapable de gérer l'économie de notre pays, qui veut tourner le dos aux engagements internationaux de la France, qui sera le premier allié européen de M. Poutine.

Dans le NFP, il y a au moins une sécurité, c'est qu'aucun groupe ne sera majoritaire à lui tout seul. Après le 7 juillet, il y aura d'autres débats au sein de la gauche et je les mènerai, je ne change pas de conviction. Mais je vois bien que certains se réjouissent de cette grande période de confusion où le débat public, contraint par l'urgence, s'hystérise. Je veux bien répondre de tout, mais il y en a un qui doit expliquer pourquoi il a dissous l'Assemblée nationale, car, pour l'instant, aucune de ses explications n'est satisfaisante.

Mais que Jean-Luc Mélenchon se taise ! On voit bien quelle est sa stratégie, elle est détestable. D’ailleurs, elle est détestée par les gens de gauche.

Que dites-vous aux électeurs de gauche qui se sentent piégés entre leur rejet de LFI et leur refus du RN ?

Je comprends leurs doutes et leurs inquiétudes. Mais je leur dis que si nous en sommes là, c'est parce que certains ont voulu nous mettre dans cette situation de dilemme. Ce ne serait pas honnête de vous dire que la situation est satisfaisante. Mais il faut trouver un chemin de responsabilité. Ce chemin, c'est de faire en sorte que, partout où nous le pouvons, des candidats de gauche l'emportent, car c'est la seule alternative à l'extrême droite.

Les dernières sorties de Jean-Luc Mélenchon ne vous aident pas…

Mais qu'il se taise ! On voit bien quelle est sa stratégie, elle est détestable, d'ailleurs elle est détestée par les gens de gauche.

Reste que la répartition des circonscriptions au sein du NFP favorise LFI. Comment les appareils politiques du PS, du PC et des Verts tiendront-ils la bride à Mélenchon au lendemain des législatives ?

Les leaders de ces partis ont été clairs sur le fait que Mélenchon ne sera pas Premier ministre. Et on voit bien que LFI est en train d'exploser en plein vol, dans un climat de purges. L'essentiel est que l'extrême droite ne gouverne pas ce pays. Ensuite, il faudra que la social-démocratie continue à s'affirmer et qu'on comprenne pourquoi nos électeurs sont partis. Pourquoi on ne s'est pas occupé convenablement des questions de sécurité, pourquoi on a tergiversé sur la laïcité – et cela concerne toute la gauche, pas seulement LFI –, pourquoi on s'est laissé aller sur la lutte contre l'immigration illégale, pourquoi on a oublié la France qui n'arrive pas à vivre de son travail, celle des petites retraites… Je prendrai ma part.

« Sur le plan économique, on a le choix entre un bloc limité, un bloc absurde et un bloc délirant »

Vous reconnaissez-vous dans le programme du Nouveau Front populaire qui veut revenir à la retraite à 60 ans et qui multiplie les dépenses sans tenir compte du niveau de déficit public ?

Je n'ai pas changé de position : je suis pour l'abrogation de la réforme des retraites, mais pour un retour à 62 ans. J'ai toujours pensé qu'il fallait un prélèvement sur les revenus les plus aisés pour financer le déficit qui pèse sur le fonctionnement des services publics. Quand je lis chaque ligne du programme, je suis moyennement d'accord. Mais l'enjeu de ces élections ne réside pas dans une querelle casuistique de chiffrage. C'est un choix de société. Moi, je continue à défendre une démocratie libérale, héritière de la Libération et des alternances gauche-droite. Il ne faut pas s'égarer parce que l'essentiel est en jeu. C'est pour ça que j'ai signé cette tribune dans Le Monde pour qu'un accord de désistement soit passé avant le 30 juin.

On voit bien aujourd’hui que les démocraties sont sous une double pression, populiste à gauche et autoritaire à l’extrême droite.

Que répondez-vous à ceux qui renvoient les programmes du NFP et du RN dos à dos ?

Que c'est de la paresse d'esprit. Ce qui est en train de perdre la France, c'est que les responsables politiques n'ont plus de culture politique, c'est d'avoir pensé que le dépassement pouvait tout justifier, la confusion des mots, du sens… J'en appelle à retrouver le courage de la nuance. Il ne faut pas tomber dans le panneau. Ce qui se joue, c'est la nature républicaine, fraternelle de la France. Demain, si le RN est au pouvoir, qui sera nommé au Conseil constitutionnel et à la tête des préfectures ? Vous voyez Bruno Gollnisch au Conseil constitutionnel ? Vous croyez que ce serait une garantie pour l'État de droit ?

Qui verriez-vous à Matignon en cas de victoire du NFP ?

Si le NFP a la majorité, il aura la responsabilité de réconcilier le pays, car le président actuel l'a plongé dans des querelles qui nourrissent une forme d'épuisement démocratique. Et je trouve qu'il y a une femme d'État qui a une certaine sagesse et une constance dans ses convictions, c'est Martine Aubry.

Ce serait une figure assez consensuelle ?

En tout cas, il faut aller chercher des gens qui ont de l'expérience, une connaissance des institutions, de l'appareil d'État et de la vie des gens. Quelle expérience a Jordan Bardella pour diriger la sixième puissance mondiale, au moment où notre pays a atteint un niveau de dette record, où nous avons besoin de créer les conditions de la confiance au niveau européen pour tenir notre économie dans l'intérêt de nos entrepreneurs, du pouvoir d'achat et de l'emploi ?

Jordan Bardella peut-il réduire la part de la France au budget européen ? Quel avenir prédisez-vous au NFP ?

Ça, on verra le 7 juillet. Je ne me place pas dans l'hypothèse où nous perdons, car cela voudrait dire que l'extrême droite a gagné. Ce qui est sûr, c'est que la gauche doit absolument travailler. Car on voit bien aujourd'hui que les démocraties sont sous une double pression, populiste à gauche et autoritaire à l'extrême droite.

Le NFP ne risque-t-il pas d'imploser au soir du premier tour si les Insoumis n'appellent pas clairement au désistement républicain ?

Je ne conçois pas qu'il n'y ait pas de clarté de la part de tous les hommes et femmes de gauche. Les socialistes se sont toujours désistés et s'il le faut, nous nous désisterons. Ceux qui font la fine bouche auront des comptes à rendre. Face à l'extrême droite, on ne tergiverse pas.

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Je n’ai absolument rien d’ailleurs car je ne le connais pas, contre Le maire socialiste de Montpellier qui a décidé de soutenir le Nouveau Front populaire pour contrer le Rassemblement national.

Néanmoins je plains ces administrés (ça me fait penser à MACRON qui disait lors des municipales de voter pour HIDALGO qui a été réélue avant la date prévue des municipales qu’il avait changées à cause du COVID alibi alors que PARIS était déjà en faillite virtuelle !?)

Mais là c’est le pire que l’on puisse trouver car en cas de victoire, ce maire il verrait bien Martine Aubry à Matignon. (Déjà complètement H.S. pour ne pas dire autre chose de désobligeant) simplement pour voter contre le FN Lepéniste et le jeune BARDELLA bon chic bon genre ce ne sont pas des ATTILA fléau dieu que diable !?

Bien sur ce sont des extrêmes de DROITES RN mais surtout si on veut faire quelque chose d’utile c’est ceux de LFI Mélenchonistes NUPES et ces restes de GAUCHES classiques PS PC NPA DITES : FRONT POPULAIRE dont il faut se méfier car bien plus dangereux pour semer des désordres divers !?

Personnellement moi dans ma circonscription de l’ESSONNE je vais revoter pour mon député de droite que je connais qui se représente je ne perdrais pas mon âme pour cela surtout à mon âge avec ma vie derrière moi depuis1947 donc je ne me lancerais pas dans l’inconnu tout le monde n’est pas forcé de crever de trouille à cause du RN ?!

On vote pour nos députés pas pour le président qui hélas ne veut pas s’en aller pour l’instant ce qui réglerait peut-être une partie des problèmes car c’est lui qui a déclenché sa dissolution stupide malhonnête car inutile puisqu’il était inéligible jusqu’en 2027 et donc a créé ce marasme mal odorant !?

Jdeclef 28//06/2024 15h22

Là c’est l’exemple des chaises musicales de nos gouvernements et dirigeants présents et passés et une spécialité de notre pauvre France et des citoyens gogos qui avalent tout !?

 



Législatives : Gérald Darmanin souhaite finalement rester au gouvernement ?! POURQUOI PAS QUAND IL N’Y A PLUS DE GOUVERNEMENT MANGER A TOUS LES RATELIERS EST MONNAIES COURANTES CHEZ NOS CHAMPIONS RETOURNEURS DE VESTE BIEN CONNU COMME BAYROU PAR EXEMPLE !?

Le ministre de l’Intérieur a annoncé ce vendredi 28 juin son intention de rester à son poste pendant les Jeux olympiques en cas de victoire de la majorité sortante.

Par Antoine Bouchet

Publié le 28/06/2024 à 10h40, mis à jour le 28/06/2024 à 11h16

Il fait volte-face. Alors qu'il affirmait encore en début de semaine vouloir quitter le gouvernement au terme des élections législatives anticipées des 30 juin et 7 juillet prochains, Gérald Darmanin a livré une tout autre version ce vendredi 28 juin.

Interviewé chez France Info, le ministre de l'Intérieur a déclaré son intention de rester en poste en cas de victoire aux législatives, lui qui est candidat à sa réélection comme député de la 10e circonscription du Nord. « Si la majorité est reconduite, j'espère faire partie de ce gouvernement pour présider aux Jeux olympiques que nous avons préparés depuis 4 ans, et très bien préparé si j'entends tout le monde », a déclaré Gérald Darmanin.


 Tout le monde veut que je reste au ministère de l'Intérieur. Je remercie ce moment de soutien à l'action du ministère de l'Intérieur », a poursuivi celui qui est locataire de l'hôtel de Beauvau depuis 2020, après avoir succédé à Christophe Castaner.

 Le drôle de jeu de Gérald DarmaninEn revanche, en cas de défaite du camp présidentiel, Gérald Darmanin souhaite se concentrer sur son mandat de député. « Et puis si les oppositions gagnent, il est évident que j'irai, si je suis élu, mener l'opposition », indique-t-il.

Des propos contradictoires

Cette prise de parole est à rebours de ses déclarations du mardi 25 juin, trois jours plus tôt seulement. À BFMTV Grand Lille, Gérald Darmanin avait expliqué vouloir partir du gouvernement peu importe le résultat du scrutin. « Je souhaite quitter le gouvernement et siéger à l'Assemblée nationale pour m'occuper de mon territoire et construire un autre projet », avait-il affirmé.


Dès le lendemain de la dissolution décidée par Emmanuel Macron le 9 juin, au soir des élections européennes largement remportées par le RN, Gérald Darmanin a annoncé sa candidature aux législatives dans la 10e circonscription du Nord, où il avait déjà été élu en 2012 puis à nouveau en 2022.

En tant que ministre de l’intérieur ce n’est pas un des plus mauvais il a fait son métier (ingrat) comme il a pu car détesté des 2 cotés sans oublier cette  politique politicienne inexistante déplorable des gouvernements en place et délinquances et voyoucratie criminelle et gestion des forces de l’ordre républicaines le tout pas libre totalement de ses mouvements car driver par un président faux monarque d’une nullité crasseuse en matière de régalien et du reste de sa gouvernance déplorable !?

Donc il a changé d’idée SUR le sujet de sa carrière hypothétique mais il n’y a PAS plus bête que ceux qui ne veulent pas changer d’avis comme par exemple l’affreux LEMAIRE qui en plus ment comme un arracheur de dents !?

Tout cela n’étant qu’une parenthèse pour médias en mal de scoop sans beaucoup d’intérêt dans cette « macronnie cul par-dessus tête » comme avait dit si élégamment notre pseudo monarque donneur de leçon qui déteste les Français car sans amour propre et qui ferait mieux de démissionner cela nous ferait une pierre 3 coups avec une présidentielle et nous gagneraient un temps précieux au lieu d’attendre 2027 ?!

Il ne faut pas rêver ce président est surement celui qui se sera le plus moqué des Français qui le méritent tant ils sont des naïfs incurables c’est désespérant (ils mériteraient pire avec une démocrature par exemple pour les punir bien que je ne le souhaite pas bien sûr !?)

Jdeclef 28/06/2024 13h39


C’est très facile pour des chroniqueurs divers ou journaleux médiocres soi-disant féru en économie et des médias qui jettent de l’huile sur le feu pour faire du scoop car cela les fait vivre et leur rapporte :

 

La France bientôt sous la tutelle du FMI ? Oui ce ne serai pas étonnant HELAS mais là les Français se rendraient compte ce que serait leurs vie pour la majorité d’entre eux  que de faire la queues aux associations caritatives pour simplement manger à sa faim  ils y en déjà qui sont dans cette situation personnelle mais comme on vit dans un pays d’égoïsme et d’argent roi c’est difficile d’intégrer cela pour des citoyens lambda moyens Car leurré depuis +de 40 ans par leurs dirigeants de tous bords c’est inconcevable et incompréhensible car on est près de la chute finale voir faillite de notre pays (et j’espère me tromper !?)

Pierre-Antoine Delhommais

Une victoire des partis extrémistes NFP et RN aux élections législatives nous plongerait dans une crise de dette et placerait la France sous la menace d’une mise sous tutelle de la troïka.

Publié le 28/06/2024 à 06h30

C'est au printemps 2010 qu'avait été mise en place, lors de la crise grecque, une « troïka » réunissant des experts de la Commission européenne, de la Banque centrale européenne et du FMI afin d'auditer la situation économique et financière du pays et de mettre en place des mesures de redressement. Elle était intervenue dans la foulée en Irlande, au Portugal et à Chypre, confrontés eux aussi, en raison de l'envolée de leurs taux d'intérêt, à de graves difficultés de financement.

Les « hommes en noirs » de la troïka ont vite acquis une réputation de personnages détestables, travaillant de façon antidémocratique dans l'opacité et le secret, sans cœur, indifférents au malheur de peuples auxquels ils imposaient des remèdes d'une grande brutalité sociale.

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Panique générale sur les marchés financiers

Une sage précaution serait qu'ils emportent avec eux des habits de couleur s'ils devaient venir à Paris dans les prochains mois pour superviser un plan de sauvetage financier pour la France. Le pire n'est pas toujours certain, mais il est utile de s'y préparer au vu des projets économiques follement dépensiers du Rassemblement national et du Nouveau Front populaire.

Avec la victoire de l'un ou de l'autre aux élections législatives, l'extrême nervosité des marchés financiers constatée depuis l'annonce de la dissolution de l'Assemblée nationale, et illustrée par l'élargissement spectaculaire du spread de taux OAT-Bund, risque de basculer en panique générale. Et de pousser nos créanciers étrangers, qui détiennent un peu plus de la moitié de notre dette, à vendre massivement leurs obligations assimilables du Trésor, propulsant nos taux d'intérêt à des niveaux si élevés que la France se trouverait rapidement confrontée à une tempête financière d'une ampleur inédite. Les Français auraient tort de penser que les crises de dette, ça n'arrive qu'aux autres.

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Bardella et Mélenchon, idolâtres de la dépense publique

Un tel scénario catastrophe est d’autant moins à exclure que nos finances publiques se trouvent déjà dans un état d’extrême fragilité qui a conduit fin mai Standard & Poor’s à dégrader la note de la France. En cela, d'ailleurs, le risque actuel de crise de dette apparaît bien plus grand qu'en 1981, époque à laquelle celle-ci ne représentait que 21 % du PIB (110 % fin 2023), et où il existait des marges de manœuvre budgétaires pour faire de grosses bêtises de politique économique sans risquer le défaut de paiement. Elles ont aujourd'hui entièrement disparu.

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Avec la nomination à Matignon de Jordan Bardella ou de Jean-Luc Mélenchon, qui ont au moins en commun l’idolâtrie de la dépense publique, ce n’est pas cette fois d’un cran, mais de plusieurs, que la note de la France pourrait se trouver brutalement abaissée. Pour justifier sa décision, S&P avait reproché au gouvernement de Gabriel Attal de manquer d’ambition pour réduire les déficits, que l’application des projets du RN ou du NFP ne manquerait pas de creuser de façon mécanique et démesurée.

Alors que le dérapage incontrôlé des comptes publics nécessiterait, de l'aveu même d'économistes keynésiens, de prendre des mesures d'économies d'urgence, les deux camps de l'extrémisme économique proposent au contraire d'augmenter massivement les dépenses, au risque d'achever le malade.

Les Français, habitués à croire aux mirages

Il est au fond assez cohérent que les Français votent à une très large majorité pour des partis qui leur promettent d'abroger une réforme des retraites à laquelle ils étaient eux-mêmes aux trois quarts farouchement opposés, hostilité dont l'agence Fitch avait déjà noté qu'elle témoignait du poids considérable et inquiétant « des forces radicales et anti-establishment » en France.

Il n'est guère étonnant non plus que le manque total de sérieux budgétaire et financier des programmes du RN et du NFP n'effraie pas grand monde dans un pays habitué à vivre depuis cinquante ans au-dessus de ses moyens et qui n'a connu depuis 1974 que le régime du déficit. Guère étonnant enfin que la plupart des Français se contrefichent éperdument des problèmes de déficits et de dette, refusent toute forme de rigueur budgétaire après plusieurs années de politique du « quoi qu'il en coûte » leur ayant donné le sentiment que l'État disposait de moyens financiers illimités.

 Dette : les États-Unis déposent l'Europe et donnent une leçon d'économie à Macron

L'humiliante dégradation de notre dette

Le camp macroniste en paie aujourd'hui électoralement très cher la facture. En conduisant, à deux semaines du scrutin européen, à l'humiliante dégradation de la dette de la France, les excès du « quoi qu'il en coûte » ont non seulement fait perdre au président sa réputation de gestionnaire compétent, mais aussi relativisé le coût délirant des mesures proposées par le RN et le NFP pour les législatives.

Ils nous ont collectivement projetés dans un monde économique parallèle et une réalité financière imaginaire, ils ont définitivement chassé tout bon sens et toute rationalité, permettant aux énormes bobards racontés par les partis d'opposition sur leur capacité à doper le pouvoir d'achat d'être gobés aussi facilement.

 Législatives : que contient le programme du Nouveau Front populaire ?

Le retour sur terre promet d'être brutal en cas d'envolée des taux d'intérêt, aux effets immédiatement dévastateurs sur des secteurs économiques majeurs comme l'automobile, le bâtiment et l'immobilier et, in fine, sur la croissance et l'emploi. Devant ce mur de l'argent qui se dresse à l'horizon, certains dénoncent d'ores et déjà la dictature des marchés et leur ingérence inacceptable dans la vie démocratique, passant sous silence le fait que sans ces abominables créanciers étrangers nos professeurs de collège et nos aides-soignantes hospitalières ne seraient plus payés depuis des lustres.

 La dette explose, les services publics se dégradent, Macron regarde ailleurs

Le risque de contagion en Europe

D'autres, à l'inverse, expliquent qu'une crise de dette serait un électrochoc salutaire, et éloignerait les bonimenteurs et les marchands de rêves. C'est oublier que les crises de dette ont un terrible coût économique et social. Pour surmonter la sienne, la Grèce avait dû, entre autres, baisser de 22 % le salaire minimum, réduire d'un quart le nombre de fonctionnaires, reporter de cinq ans l'âge de départ à la retraite. Mais, malgré le redressement économique spectaculaire qu'elle connaît depuis plusieurs années, son PIB reste aujourd'hui encore inférieur de plus de 10 % à son niveau de 2009.

C'est oublier, surtout, qu'une flambée des taux d'intérêt en France déstabiliserait dangereusement par contagion tous les pays d'Europe du Sud, jusqu'à menacer l'existence même de la monnaie unique. Un futur Premier ministre issu du RN ou du NFP subira, à peine installé, une énorme pression non seulement des marchés, mais aussi de la BCE et de nos partenaires européens exaspérés par le laxisme budgétaire français, afin qu'il renonce à appliquer son programme économique.

La France, mauvaise élève

La France faisait déjà partie des pays les plus mal gérés de la zone euro. L'application du programme du RN ou du NFP, tous deux très dépensiers, creuserait un peu plus le déficit budgétaire et gonflerait notre dette.

Car les Français ne semble pas avoir assez peur ou pas compris que ce soit même pour leur insécurité d’ailleurs qui grandit quotidiennement malgré des embryons d’émeutes ou grèves sporadiques mêmes après des attentats islamiques terroristes 2001/2015 mais qui en fait n’ont pas cessés jusqu’à maintenant dans le monde voir des protestations qui n’ont rien à voir pour faire une comparaison avec 1968 comme d’autre vieux FRANÇAIS lambda comme moi ont connu !?

Nous sommes dans un des pays les plus libres et démocratiques du monde il faut que les FRANÇAIS lambda ouvrent enfin les yeux car c’est déjà presque trop tard pour faire simple et pour ceux qui ne savent pas compter en économie cette dette pharaonique de 3200 MILLIARDS est mathématiquement irremboursable alors les Français n’y croitent pas comme pour le reste qu’on leur promet de la part de ces politiciens de tous bords car nous sommes mal gouvernés et mal protégé dans cette VEME REPUBLIQUE rétrograde devenue pseudo monarchique digne de l’ancien régime avec des présidents qui se prennent pour des monarques sans couronne en plus bavards donneurs de leçons hypocrites s’écoutant parler comme nos dirigeants actuels ou celui en place qu’ont a eu le tort de réélire jusqu’en 2027 (ce qui d’ailleurs n’apportera pas de solution de fait d’ici là et ce n’est pas en votant pour ces partis ringards extrémistes RN LFI NUPES etc. Ou autres qui changent de noms comme de chemises sales !?)

Il faudrait changer de république on pourrait le faire dans les 3 ans à venir car la dégringolade de notre pays n’a pas cessé depuis la fin des années 1970 c’est un fait chiffré là c’est une mascarade de plus à cause de notre dernier président à qui on a donné trop de pouvoir comme aux autres avant lui depuis l’après de Gaulle en 1969 mais les autres n’étaient pas mieux chez nos ex présidents et nous aussi Français lambda qui les avons élus et réélus car d’incurables égoïstes partisans « du chacun pour soi » se croyant les meilleurs !?

J’ai honte bien sûr mais ma vie de vieux citoyen est derrière moi !?

Jdeclef 28/06/2024 12h11

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jeudi 27 juin 2024

Cela ne fait que confirmer que ce président est perdu et ne sait plus où il va ?! alors avant de faire des coalitions fumeuses il faut balayer à l’Elysée et dans notre gouvernement « macronien » voir passer le karcher comme avait dit un de nos anciens présidents (mais là ce n’est pas la même zone !?)

 

Législatives : Macron et le fantasme de la coalition des modérés ? Mais pour l’instant il nous fait perdre un temps précieux ou notre pays va de plus en plus à la dérive jusqu’en 2027 s’il ne démissionne pas car de toute façon le temps est déjà perdu et ne se rattrape pas car il faudra au mieux actuellement créer un nouveau gouvernement avec un 1er ministre fantoche s’il reste en place avec ce président irresponsable car c’est une honte dans notre pays qui va déjà si mal vraiment pauvre FRANCE !?

Après avoir exercé le pouvoir de manière hégémonique puis échoué à décrocher des alliés pour constituer une majorité, le président se prend à rêver d’un rassemblement des républicains face aux extrêmes.

Par Mathilde Siraud

Publié le 27/06/2024 à 07h16, mis à jour le 27/06/2024 à 07h33

Emmanuel Macron rêve d'une coalition à l'allemande, mais elle risque d'être mathématiquement très compliquée si les résultats sont proches des projections des sondages. © J.E.E/SIPA / SIPA

Vœu pieux ou réelle alternative ? Faute d'être en mesure de décrocher la majorité absolue le 7 juillet, les représentants du « bloc central », pris en étau entre le Rassemblement national et ses alliés et le Nouveau Front populaire, appellent à constituer une coalition de gouvernement qui rassemblerait les modérés de tous bords. Une sorte de « troisième voie », partant de l'hypothèse où le parti de Marine Le Pen échouerait à obtenir 289 sièges au moins, tout comme la gauche, ainsi que les sondages le prédisent à l'approche du premier tour.

 Le RN prend le large, la participation grimpe : les enseignements de notre dernier sondage « On a changé d'univers politique. L'esprit de responsabilité doit prévaloir. La coalition qu'on n'a pas obtenue par la parole, on peut la forcer par les urnes », dit-on à l'Élysée, où le système politique allemand fait désormais figure de modèle.

Mains tendues et débauchages

Une gageure, tant les sept années de macronisme ont donné à voir une gouvernance verticale, faisant fi des corps intermédiaires comme des oppositions politiques. Le chef de l'État, se posant au centre de l'échiquier politique, a cherché à détruire le Parti socialiste et Les Républicains, jamais à composer avec eux. Ces partis le lui ont bien rendu, il faut le dire, en refusant à plusieurs reprises les quelques timides mains tendues. Les débauchages à répétition, notamment à droite, ont fini de nourrir un sentiment d'humiliation très puissant, source aujourd'hui d'une rupture profonde entre le camp au pouvoir et des personnalités pourtant a priori compatibles – ou pas loin de l'être –, comme Valérie Pécresse, Gérard Larcher, Xavier Bertrand ou Bernard Cazeneuve.

 Valérie Pécresse : « La droite républicaine est le seul vote utile » L'ode à la coalition, dans cette campagne précipitée, vise à donner l'illusion qu'Emmanuel Macron aurait changé d'état d'esprit. Dans sa lettre aux Français, le président dit vouloir construire après ces législatives un gouvernement qui réunirait « les républicains de sensibilités diverses qui auront su par leur courage s'opposer aux extrêmes ». Des appels qui, pour l'heure, restent sans réponse : les LR « non-ciottistes » campent une ligne d'indépendance et les sociaux-démocrates en rupture de ban avec l'accord de gauche n'ont pas pour autant rallié le locataire de l'Élysée, dont la force d'attraction se retrouve considérablement diminuée.

« Emmanuel Macron est en situation de récupérer peu de gens. Qui veut encore s'afficher avec lui ? » s'interrogeait à voix haute un ancien Premier ministre, il y a quelques jours. La manœuvre qui consiste à mettre en avant un chimérique rassemblement vise aussi à piéger ces représentants politiques, qui seraient donc astreints à choisir entre les extrêmes ou le « bloc central », au risque de se retrouver broyés.

J’ai déjà proposé dix fois à Valérie Rabault (PS) d’être ministre ! Si elle a refusé jusqu’alors, je ne vois pas comment elle pourrait accepter maintenant.Un membre du gouvernement

Sur le terrain, la perspective d'une large alliance anti-RN et anti-LFI peine à convaincre. « Les gens doutent qu'on puisse y arriver, et nous demandent avec qui nous pourrions gouverner. Nous n'avons pas de réponse à leur apporter », témoigne un député Renaissance qui se bat pour sauver son siège. Édouard Philippe plaide pour une coalition allant de « la droite conservatrice à la gauche sociale-démocrate », Clément Beaune a parlé de «  majorité alternative inédite à construire » à même de créer une « coalition avec des partis écologistes, socialistes, républicains modérés, centristes ». « Bon courage, car personne n'y croit ! » fait-on observer hors micro, quand un ministre de premier plan parle d'une « vaste blague » qui viserait à « se rassurer collectivement » alors qu'en réalité « ça ne tient pas ». « J'ai déjà proposé dix fois à Valérie Rabault (PS) d'être ministre, confie-t-il. Si elle a refusé jusqu'alors, je ne vois pas comment elle pourrait accepter maintenant. »

Bruno Le Maire : « Mes plus grands combats politiques sont devant moi » La donne peut-elle changer au lendemain du scrutin ? Encore faut-il que les candidats « Ensemble pour la République », la nouvelle bannière des soutiens d'Emmanuel Macron, puissent sauver les meubles. Arithmétiquement, la majorité présidentielle va revenir à l'Assemblée encore moins puissante qu'elle ne l'était, peut-être deux fois moins nombreuse. Les enquêtes d'opinion lui prédisent en effet une centaine de sièges, contre 250 actuellement. Reste que, dans environ 70 circonscriptions sur 577, les hiérarques macronistes n'ont investi aucun candidat face à des sortants de droite ou de gauche considérés comme faisant partie de « l'arc républicain ». S'ils sont réélus, ces parlementaires pourraient-ils rejoindre le « bloc central » ? C'est l'objectif. Autres potentielles forces d'appoint espérées, les futurs députés de gauche non-LFI et de droite non-Ciotti que la majorité sortante aura aidés à faire élire en se retirant dans certaines triangulaires, conformément à la stratégie d'entre-deux-tours qui se dessine.

« On a 15 % de probabilité de victoire. Reste à décoller ensuite à la louche 20 députés LR, 10 écologistes, quelques socialistes, et on forme un gouvernement anti-RN avec un Premier ministre consensuel », spécule une ancienne ministre. Dans cette configuration, dit-elle, le président du Conseil économique, social et environnemental (Cese), Thierry Beaudet, pourrait faire figure de recours pour Matignon. D'autres citent des personnalités respectées comme Bernard Cazeneuve, Claude Bartolone à gauche ou Gérard Larcher à droite. À moins qu'un profil plus centriste, un Jean-Louis Borloo ou un François Bayrou, ne soit privilégié.

Couloir de nage

À la présidence, on fait part de contacts déjà établis avec les uns et les autres en vue d'une possible coalition. Emmanuel Macron a, par exemple, échangé avec François Hollande, candidat Nouveau Front populaire. « Le lien n'a jamais été coupé entre les LR, la social-démocratie et nous. Le chef de l'État est garant de la stabilité et du temps long », fait savoir son entourage. « La responsabilité pour nous tous sera d'essayer quelque chose, pose un cadre Renaissance. Les macronistes sauvés, les LR modérés, le PS, jusqu'aux communistes. Mais ça ne fait pas 289.  » Et cela suppose par ailleurs de fissurer le bloc Nouveau Front populaire, ce qui n'est pas acquis.

 Législatives : du RN à LFI, ces candidatures qui posent problème Emmanuel Macron aurait eu mille occasions de poser les jalons de ce projet de coalition, difficilement réalisable aujourd'hui pour toutes les raisons sus-citées. Si la dissolution avait été un tant soit peu anticipée, des personnalités comme Raphaël Glucksmann, par exemple, ou Valérie Pécresse auraient pu y adhérer. « On les a contactés, mais trop tard, peste un stratège. Tout le monde était déjà parti dans son couloir de nage ! » Ce député ne décolère pas, lui non plus, en recensant toutes les opportunités manquées. Il y a un an, constatant l'impasse de la majorité relative et la droitisation du pays, il avait adressé une note au chef de l'État lui présentant le plan suivant : recevoir Olivier Marleix (ex-chef de file des députés LR) et Éric Ciotti (ex-président du parti LR) à l'Élysée pour leur proposer de bâtir, sur plusieurs mois, un contrat de gouvernance. En cas d'échec, il aurait pu activer en dernier ressort la dissolution. Emmanuel Macron ne s'est même pas donné la peine de lui répondre. Combien sont-ils à lui avoir soufflé depuis des années la solution de la coalition sans avoir été ni écoutés ni suivis ?

En 2022, dans la foulée de la réélection, Bruno Le Maire avait travaillé de concert avec son conseiller parlementaire et avec l'ex-député Thierry Solère sur la carte des circonscriptions, plaidant pour ne pas investir de candidats macronistes face à une quarantaine de députés LR sortants jugés compatibles. Le ministre de l'Économie était allé défendre sa proposition auprès de Richard Ferrand, grognard du président, à l'époque chargé des investitures pour la majorité. « Je vais te créer des blocs macronistes, des blocs de granit », avait-il argué. Résultat : tous ces députés LR se sont retrouvés avec des candidats face à eux. Et la macronie a perdu la majorité absolue.

Le président a continué à décider de tout, tout seul avec Alexis Kohler.Un proche

Cette majorité relative aurait ensuite pu être l'occasion de créer du consensus et de s'élargir à de nouveaux alliés. Sauf que le président « n'en a tiré aucun enseignement, il a continué de décider de tout, tout seul avec Alexis Kohler [le secrétaire général de l'Élysée, NDLR] », griffe un proche. Légiférer est devenu un cauchemar, Élisabeth Borne, Première ministre du début du second quinquennat, n'ayant le choix que de déclencher des 49.3 impopulaires ou d'arracher des laborieux accords au cas par cas, texte par texte.

 Gabriel Attal, « sauveur » de la macronie (mais pas de Macron) ?

« On a quand même été bien cons de ne pas réussir à construire une majorité alors qu'il nous manquait 40 députés ! On se retrouve désormais à devoir faire ce qu'on n'a pas réussi à réaliser en deux ans, de façon accélérée », éructe un ex-ministre. À l'époque, un certain Olaf Scholz, chancelier allemand à la tête d'une coalition tripartite (sociaux-démocrates, écologistes, libéraux), avait envié la situation de son homologue Emmanuel Macron. « Si je pouvais avoir la même configuration que toi, je prendrais tout de suite », avait-il jalousé. En dira-t-il autant, au soir du 7 juillet ?

Naturellement ce n’est que des élections législatives qui se transformeront artificiellement en fausses élections présidentielles car certains Français lambda voteront RN simplement pour le contrer le président et sa « macronnie » fantôme alors que lui justement soit disant voulait lutter contre l’extrême droite le Peniste et ce jeune BARDELLA fringant alors que c’est toutes les extrêmes qui sont dangereuses et notamment la gauche bien plus déjantée plus pire avec cette LFI NUPES mélenchoniste et son leader vindicatif qui ne rêve que d’être président ce vieux tribun illuminé contre tous ne pensant qu’à lui !?

Moi depuis le début en 2017 je n’ai pas cru à ce président et sa « macronie » tirée au sort arrivé par de fait à cause de la défection de son prédécesseur Hollande qui n’a pas voulu se représenter et malgré cela en 2022 il a été réélu pour notre malheur par des Français que ne savent plus voter ou choisir correctement leurs politiciens élus et leurs dirigeants depuis + de 40ans çà c’est la réalité et maintenant qui nous a gratifié de cette dissolution inutile par peut être un orgueil mal placé un folie car il n’avait pas besoin de le faire puisqu’élu jusqu’en 2027 par notre constitution !?

Maintenant la France est regardée à la loupe à l’internationale par nos partenaires et opposants à l’étranger économiquement et bien sur aussi militairement car étant une puissance nucléaire de cette Europe dite UNIE avec l’Angleterre d’ailleurs pas en meilleure santé politique et près de changer de gouvernement avec un 1er ministre près de la sortie et des USA aussi en campagne électorale entre leurs 2 ex vieux présidents !?

Ce qui me console bien que ma voix n’ait que peu d’importance car j’ai assez honte comme cela ayant connu tous nos présidents passés c’est que notre président démissionne mais je n’y crois pas par son attitude car il n’aime pas les Français passant son temps à les dédaigner en se moquant d’eux alors attendons comme des naïfs les dates de ses élections du 30/6 et 07/7 pour commenter encore cette gabegie !?

Jdeclef 27/06/2024 17h22

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