dimanche 5 juin 2011

CE MONSIEUR TRON N’EST PAS NET C’EST LE MOINS QUE L’ON PUISSE DIRE…

Georges Tron, l'ex-secrétaire d'Etat à la Fonction publique

Georges Tron: Après le grand déballage, l'affaire se poursuit en justice

Cinq femmes souhaitent être entendues en qualité de témoins, pour des faits prescrits...(Çà fait beaucoup... !)

Près d'une semaine après sa démission express du gouvernement, Georges Tron, resté maire UMP de Draveil (Essonne), fait toujours l'objet d'une enquête qui dira si sa passion pour la réflexologie s'est muée en harcèlement sexuel ou s'il a fait les frais de dénonciations inspirées par l'affaire DSK.

Les deux ex-employées municipales qui ont porté plainte contre lui le 25 mai, ont maintenu leurs accusations d'agression sexuelle devant les enquêteurs de la police judiciaire de Versailles. L'audition de Georges Tron et d'une collaboratrice, également visée par la plainte, ne sont en revanche pas encore programmées.

A la différence avec l’affaire DSK dont nous n’avons pas encore assez d’éléments probants notamment de la part de la victime pour ce faire un idée des faits reprochés

D'après les plaintes déposées par ses ex employées Mr TRON semble bien être un personnage glauque à la limite d'obsédé sexuel pathologique assisté indirectement par notamment, cette Brigitte Gruel (son adjointe à la Culture).

Bien que les dires de celles ci puissent bien sur être exagérées par les victimes du fait des griefs quelles ont contre lui (et quelles ont sur le cœur)

Tout repose bien sur ces témoignages et d’autres qui se font jour au fil de cet enquête qui traîne à se mettre en place par la justice

Si tout cela peut être prouvé cela est quand même grave te semble entrer dans le cadre :

De harcèlement sexuel en milieu de travail qui peut se définir de façon générale comme étant une conduite de nature sexuelle non sollicitée qui a un effet défavorable sur le milieu de travail ou qui a des conséquences préjudiciables en matière d'emploi pour les victimes de harcèlement. […] Le harcèlement sexuel en milieu de travail est un abus de pouvoir tant économique que sexuel. Il devient une pratique dégradante qui inflige un grave affront à la dignité des employés forcés de le subir. ''

DONC IL FAUT QUE LA JUSTICE PASSE SANS TROP TARDER (ET NE CHERCHE PAS A DISSIMULER CELUI-CI DU FAIT DE SA QUALITÉ DE EX MINISTRE ET DE MAIRE D’UNE VILLE)
Il y a trop en France semble-t-il de tels agissements souvent cachés au détriment des victimes !

Il est temps de remettre les pendules à l’heure ! 
Car les victimes hésitent à tort de ne pas relater les faits dont elles sont ou ont été l’objet sous prétexte de honte, ce que l’on peut comprendre de la par de femmes que souvent l’on ne veut pas croire hélas !

RESTE A PROUVER CEUX-CI BIEN SUR, CE QUI N’EST PAS FACILE  
(car c’est souvent la parole de la victime contre celle de son agresseur)

jdeclef 05.06.2011 -

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