vendredi 17 juin 2011

LA GRÈCE, L’EURO, L’EUROPE, EST-CE LE DÉBUT DE LA FIN ?

Grèce: la conférence de presse de Nicolas Sarkozy et d'Angela Merkel

Nicolas Sarkozy prend la parole. Les deux pays "défendent la même position" sur la Grèce et la zone euro. Le chef de l'Etat assure ainsi à son tour que la France et l'Allemagne défendront envers et contre tout l'euro et la stabilité de la zone euro. Nicolas Sarkozy souhait également un nouveau programme pour aider la Grèce. "Il n'y a pas de temps à perdre". Il faut dire que si la Grèce ne reçoit pas de prêts extérieurs, elle ne pourra plus rembourser ce qu'elle doit et fera donc défaut, c'est-à-dire faillite. 

Angel Merkel affirme que l'Allemagne et la France veulent aboutir à une solution rapide dès le sommet européen la semaine prochaine à Bruxelles. Elle rappelle qu'elle milite pour durcir les contraintes budgétaires imposées au pays européens et éviter une nouvelle crise grecque dans un autre pays fragile, comme le Portugal, l'Irlande ou l'Espagne.
La chancellière réaffirme qu'elle n'a pas l'intention de laisser tomber la monnie unique. "Nous ferons tout pour maintenir la sécurité de l'euro".  Angela appelle donc à un nouveau programme pour aider la Grèce, sous la condition bien sûr, qu'elle respecte ses engagements très durs en matière de rigueur. 

La Grèce tire l'Europe vers le fond et bien sur la mort peut être de l'euro !

Mais depuis la crise mondiale de 2008 Nos dirigeants n'ont pas voulu prendre des mesures drastiques contre la spéculation bancaire ils ont essayé chacun de leur coté de tirer la couverture à eux Mme Merkel en tête 

Il faudrait bien comprendre enfin que ce n'est pas l'Allemagne et la France qui feront l'Europe 

Et de toute façon ce n'est pas les américains qui lèveront le petit doigt bien sur, eux s'en sortiront toujours avec leur billet vert $, l'Euro et l'Europe étaient une menace si elle périclite, cela ne les gênent pas bien au contraire de toute façon leur dette faramineuse est déjà détenue par la Chine

On ne veut pas s'attaquer à cette spéculation virtuelle on ne veut pas réguler la finance mondiale donc les plus petits tombent en 1er, mais les autres suivront et cela arrive chez nous par effet domino, les USA comptent les points hypocritement

ET EN PLUS QUAND ON VEUT JOUER AUX GRANDS COMME N.SARKOZY QUI S'ENGAGENT A FAIRE DES GUERRES DE GENDARMES DU MONDE QUI COÛTENT DES FORTUNES ET DONT ON A PLUS LES MOYENS DE FAIRE, CELA N'ARRANGENT PAS LES CHOSES POUR L'AVENIR !

Si j'étais politicien je ne précipiterais pas à vouloir la place de président de notre pays en 2012, car cela ne sera vraiment pas un cadeau !

Qui sait DSK avait peut être senti le vent venir ?

jdeclef 17.06.2011 - 

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