mercredi 29 février 2012

UN FAIT DIVERS DÉPLORABLE ORDINAIRE HÉLAS PAS ÉTONNANT EN CETTE PÉRIODE ÉLECTORALE

La journaliste Audrey Pulvar aux côtés de son compagnon Arnaud Montebourg (PS), au moment de son discours le soir du premier tour de la primaire socialiste, le dimanche 9 octobre 2011.

Audrey Pulvar et Arnaud Montebourg agressés par des sympathisants FN à Paris

La journaliste raconte la scène sur Twitter...
«Angle du boulevard Murat et de la rue Molitor, rentrant à pied avec mon compagnon, nous avons été pris à partie par une quinzaine d'individus. Aux cris de La France aux Français et autres "Le Pen président". Parmi les chants scandés sur notre passage: "Jean-Marie nous a donné la permission de minuit pour chasser les youpins de Paris", ou encore "Juden, Juden, Juden!"» [«juif», en allemand].
La scène est racontée par la journaliste Audrey Pulvar sur le compte Twitter de son émission 6-7, sur France Inter. La compagne d'Arnaud Montebourg écrit encore: «Nous avons essuyé des jets de verres qui se sont brisés dans notre dos avant intervention de quelqu'un du personnel à moins que ce ne soit le chef de la meute ? Mme Le Pen cautionnez-vous?»

Plainte déposée au commissariat

Quand on veut faire de la politique et notamment en plus dans une campagne électorale, il faut savoir encaisser les coups, les menaces les insultes etc..

Tout le monde n'est pas beau et gentil (il y a malheureusement une catégorie de voyous imbéciles qui se défoulent lâchement quand ils sont en bande, un peu comme certains supporters de foot de cet acabit à certain matchs de foot) 

C'est une campagne présidentielle ou tous les coups bas fusent A.MONTEBOURG et A.PULVAR comme tous les candidats ou non politiciens impliqués doivent s'attendre à des insultes imbéciles pouvant venir de toutes parts et bien sur des extrémistes !

Alors bien que ses propos ou actes soient répréhensibles et stupides, cela fait de la pub aux extrémistes de tout poils, ils feraient mieux de mépriser et d’ignorer ceux de qui ça vient, cela n'en vaut pas la peine, ils ont porté plainte à raison (mais entre nous qu'en sortira-t-il ?)


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