mercredi 9 juillet 2014

CETTE SELECAO BRÉSILIENNE ÉTAIT "UN ÉPOUVANTAIL DE PAILLE" QUI A PRIS FEU ET EST PARTIE EN FUMÉE !

La défense brésilienne abattue lors de la demi-finale contre l'Allemagne le 8 juillet 2014.

Brésil-Allemagne: Le ciel est tombé sur la tête de la Seleçao

FOOTBALL - Balayée (1-7) par la Mannschaft...
Peu importe ce qu’il passera dimanche soir à Rio, lors de la finale: de cette Coupe du monde, on ne retiendra rien d’autre. Dans 50 ans, les livres d’Histoire ne parleront que de «l’humiliation du siècle», du «tremblement de terre de Belo Horizonte», de cette soirée où le Brésil a implosé dans sa propre Coupe du monde (1-7), de ces 90 minutes où l’Allemagne a détruit sans la moindre compassion le rêve de tout un peuple.
Comme sidéré, éberlué, il a regardé le ciel tomber sur la tête de son équipe. L’absence du délicieux Neymar, blessé, peut éventuellement expliquer la faiblesse technique de la Seleçao, elle ne justifie certainement pas à elle seule un tel cataclysme. La gifle est de toute façon bien trop violente pour être excusée, et encore moins pardonnée. Les semaines à venir vont être terribles pour ceux qui étaient considérés jusqu’à ce 8 juillet comme des dieux vivants. Hier soir, ils étaient plus en face.
Standing-ovation pour l’Allemagne
Cette équipe d’Allemagne, on la disait moins flamboyante mais plus complète. Elle en a fait hier soir une démonstration hallucinante. Avant même la demi-heure de jeu, elle déjà avait marqué cinq fois, dont une fois par Klose, nouveau seul meilleur buteur dans l’histoire de la Coupe du monde. Sur corner, par des actions construites, après des ballons récupérés au pressing, le Mannschaft aura tout fait… On n’ira pas jusqu’à dire comme à l’entraînement, ce serait manquer de respect aux plots de la Fédération allemande, probablement plus efficaces que la défense brésilienne mardi soir.
Au bout du septième, une frappe sublime de Schürrle dans la lucarne, l’impensable a tourné au surréaliste. Debout pour applaudir l’adversaire, le si chauvin public brésilien a ponctué par des «Olé» chacune des passes allemandes pendant cinq minutes. L’affront ultime

Depuis le début de cette coupe du monde, on voyait cette équipe brésilienne depuis les 1ers matchs qu'elle a disputée en difficulté à marquer sa différence et peut être même jouer à minima non décontractée et tendue subissant la pression de l'enjeu!

Ceci étant, ce n'est que du football, ce qui prouve que malgré les "spécialistes fumeux experts" qui sont légions pour analyser, pronostiquer, sans compter la multitude de sélectionneurs et entraineurs en ajoutant ceux qui sont dans leur canapé devant la télé, bière à la main: 


Ce sport est très loin d'être une science exacte! (Qui ne fait que le bonheur des bookmakers..!)


Mais pour rire, quand on voit les allemands qui ont joué comme à un match amical d'entrainement sans complexe, on peut regretter que la France n'est pas remporté son 1/4 de finale, c'était dans leurs cordes aussi, au vue de cette "seleçao" dont on nous rebat les oreilles parce que du Brésil pays du football que l'on croyait imbattable!

Et l'absence de deux bons joueurs de leur équipe n'explique pas tout, surtout avec un tel écart de but!


Enfin pour eux et en plus pays organisateur une défaite comme celle là, est le pire camouflet qu'ils pouvaient subir, qui ne fera pas passer la pilule des dépenses dispendieuses engagées aux brésiliens!

Bravo à l'Allemagne qui mérite d'aller jusqu'au bout, car c'est une équipe professionnelle équilibrée qui pratique un football européen aussi efficace que celui des sud américain!

jdeclef09.07.2014 -

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