De la fumée s'échappe d'immeubles
palestiniens suite à l'opération terrestre dans la bande de Gaza, à Gaza le 17
juillet 2014
Cinq Palestiniens, dont un bébé, ont été tués depuis le début de l'opération terrestre, portant à au moins 246 le nombre de Palestiniens tués depuis le début de l'opération israélienne «Bordure protectrice» à Gaza le 8 juillet. Plus de 1.770 personnes, en majorité des civils, ont en outre été blessées, selon les services d'urgence locaux. Israël cherche à neutraliser la puissance de feu du Hamas, mouvement terroriste pour Israël et l'Occident, qui a frappé l'Etat hébreu avec plus de 1.000 roquettes pendant 10 jours, faisant un mort.
Le chef du Hamas en exil Khaled Mechaal a estimé pour sa part que l'offensive terrestre était vouée à l'échec. «Ce que l'occupant israélien n'a pas réussi à réaliser par ses raids aériens et maritimes, il ne le réalisera pas par son offensive terrestre qui est vouée à l'échec», a-t-il dit à l'AFP. Blindés, pièces d'artillerie et unités d'infanterie avaient été déployés massivement depuis 10 jours à la frontière. Le gouvernement a par ailleurs donné son accord pour la mobilisation 18.000 réservistes supplémentaires, portant le total de mobilisables à 65.000.
Israël lance l'offensive terrestre sur Gaza
PROCHE-ORIENT - L'Egypte, qui joue les médiateurs, a
dénoncé «l'escalade» israélienne et demandé aux belligérants
d'accepter sa proposition de trêve...
L'armée israélienne a lancé dans la nuit
de jeudi à vendredi une opération terrestre dans la bande de Gaza, après 10
jours de raids aériens meurtriers, le Hamas avertissant que l'Etat hébreu
allait «payer un prix élevé» pour cette nouvelle escalade. Le secrétaire
général de l'ONU Ban Ki-moon a déploré le déclenchement de cet assaut terrestre
et demandé à Israël d'agir «bien davantage pour faire cesser les pertes
civiles». L'Egypte, qui joue les médiateurs, a elle
dénoncé «l'escalade» israélienne et demandé aux belligérants
d'accepter sa proposition de trêve.Cinq Palestiniens, dont un bébé, ont été tués depuis le début de l'opération terrestre, portant à au moins 246 le nombre de Palestiniens tués depuis le début de l'opération israélienne «Bordure protectrice» à Gaza le 8 juillet. Plus de 1.770 personnes, en majorité des civils, ont en outre été blessées, selon les services d'urgence locaux. Israël cherche à neutraliser la puissance de feu du Hamas, mouvement terroriste pour Israël et l'Occident, qui a frappé l'Etat hébreu avec plus de 1.000 roquettes pendant 10 jours, faisant un mort.
«Le Hamas est prêt à la confrontation»
Dans un communiqué, le bureau du Premier ministre Benjamin Netanyahu a justifié le lancement de l'offensive par le «refus du Hamas d'accepter le plan égyptien pour un cessez-le-feu et la poursuite des tirs de roquettes sur Israël». L'objectif est «d'infliger un coup significatif aux infrastructures du Hamas». De son côté, le Hamas a dénoncé «une étape dangereuse, dont les conséquences sont incalculables». «Israël va payer un prix élevé. Le Hamas est prêt à la confrontation», a déclaré le porte-parole du Hamas à Gaza, Fawzi Barhoum dans un communiqué.Le chef du Hamas en exil Khaled Mechaal a estimé pour sa part que l'offensive terrestre était vouée à l'échec. «Ce que l'occupant israélien n'a pas réussi à réaliser par ses raids aériens et maritimes, il ne le réalisera pas par son offensive terrestre qui est vouée à l'échec», a-t-il dit à l'AFP. Blindés, pièces d'artillerie et unités d'infanterie avaient été déployés massivement depuis 10 jours à la frontière. Le gouvernement a par ailleurs donné son accord pour la mobilisation 18.000 réservistes supplémentaires, portant le total de mobilisables à 65.000.
«Détruire les tunnels» du Hamas
L'armée israélienne a commencé à bombarder très intensivement la bande de Gaza par air, depuis la mer et avec des tirs de chars massés à la frontière vers 22h (21h, heure française). Des salves de roquettes, certaines bruyantes, illuminaient le ciel, selon des journalistes de l'AFP, dont l'hôtel tremblait sous la force des tirs de la marine. Certains quartiers de Gaza étaient plongés dans le noir. Des témoins ont fait état de combats dans les régions de Rafah et Khan Younès (sud).
On parlait un peu vite de trêve "bidon" cela n'est pas
étonnant puisque chacun est en désaccord total et ne cède rien et qu’Israël
applique la loi du talion (coup pour coup!)
L'offensive terrestre est de fait
obligatoire pour éradiquer le plus efficacement possible la branche armée du
HAMAS par ce qu'il est impossible humainement de bombarder cette agglomération
dense dans cette bande de gaza par un tapis de bombe (comme on le faisait lors de la 2eme guerre mondiale sur Allemagne
nazie comme sur la ville de Dresde par
exemple qui avait fait entre 250 000 et 400 000 morts)
Heureusement que maintenant la
communauté mondiale freine les bellicistes de tout bord (bien qu'en Syrie çà continue de plus belle...)
Israël veut démolir les tunnels qui
amène les missiles au Hamas, via l’Égypte, les rampes de lancement, les stocks
l'approvisionnement en munition etc qui semblent importants qui n'avait pas
été assez éliminé lors d'intervention
précédente!
Alors que l’armée israélienne s’était
retirée de la bande de Gaza au terme d’une offensive qui avait duré plus de
trois semaines (27 décembre 2008-21
janvier 2009) et fait quelque 1 330 morts et 5 450 blessés côté palestinien
pour 10 soldats et 3 civils tués côté israélien!
Car le Hamas depuis 2009 a semble-t-il
a eut le temps de reconstituer ses stocks !?
La configuration géographique et
implantation immobilière sur-concentrée dans cette bande de GAZA est une plaie
pour les gazaouis eux mêmes mais aussi pour les israéliens qui sont
continuellement sur la défensive par ce HAMAS (branche armée hautement dangereux terroriste et viscéralement
anti-sioniste)
jdeclef18.07.2014
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