jeudi 31 juillet 2014

LA POUBELLE DES" RÉSEAUX SOCIAUX" ET INTERNET A ENCORE UN PEU DÉVERSÉ DU FLUX D'ÉGOUT QU'ELLE DRAINE…

Illustration de la police.

Les parents du bébé battu dont la photo a été diffusée sur Facebook écroués

ENQUÊTE - Lors de leur garde à vue, la mère a reconnu avoir «secoué» l'enfant, et le père a expliqué qu'il frappait l'enfant le soir parce qu'il ne supportait pas ses cris...
Les parents d'un bébé d'un mois, dont une photo avec des traces de coups a été publiée sur Facebook, ont été écroués mercredi soir, conformément aux réquisitions du parquet, a-t-on appris ce jeudi auprès du parquet de Laon.
Ce couple de la commune de Tergnier (Aisne), âgé d'une vingtaine d'années, avait été mis en examen pour «violences sur mineur de moins de 15 ans ayant entraîné une incapacité permanente», selon le parquet de Laon. Le bébé, dont le pronostic vital n'est pas engagé, «aura probablement des séquelles d'ordre neurologique, sur l'étendue desquelles il est impossible de se prononcer à l'heure actuelle», avait ajouté le parquet.

«Misère sociale»

Selon une source proche de l'enquête, la police a été alertée par téléphone lundi par une personne proche de ce couple de Tergnier (Aisne), qui a déclaré avoir vu sur la page Facebook d'un de ses contacts une image du bébé qui lui semblait «anormale». Les policiers, après des vérifications, ont constaté que l'enfant semblait «mal en point» et ont convoqué la mère qui s'est présentée au commissariat avec le bébé dont l'état semblait encore plus grave que sur la photo, selon cette source.
Le père a été interpellé plus tard lundi. Devant les enquêteurs, il a reconnu les
faits et expliqué qu'il frappait l'enfant le soir parce qu'il ne supportait pas ses cris, selon la même source, qui a indiqué que les faits incriminés se seraient produits depuis la naissance de l'enfant. Lors de sa garde à vue, le père aurait expliqué avoir diffusé la photo sur Facebook pour s'amuser, a-t-on précisé de même source.

La mère a reconnu lors de sa garde à vue avoir «secoué» l'enfant, selon le parquet de Laon. Une source proche de l'enquête a évoqué une situation de «misère sociale» à propos des jeunes parents, tous deux sans emploi.

La misère sociale n’empêche pas l’accès à cette poubelle de  "Facebook" semble-t-il?


On appelle cela des "réseaux sociaux"? Beurk..!


Il arrive exceptionnellement, qu'il revienne comme un boomerang envers les utilisateurs, comme pour ce malade à enfermer! 
(Tant mieux pour une fois!)

S'en prendre à des tous petits est déjà une ignominie sans nom, ce qui est inqualifiable, mais photographier cet acte et le diffuser sur les réseaux sociaux, c'est le comble de l'horreur!


Si c'est cela, notre société française si prompte à donner des leçons à tout le monde, un grand coup de balai s'impose devant nos portes!


Mais que fera notre justice si compatissante, elle les jugera irresponsable, ce couple de malade?!

jdeclef31.07.2014 -

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire