Manifestation de soutien au peuple peuple
palestinien à Paris, le 19 juillet 2014.
«Nous lançons un appel national à manifester samedi prochain à 15h sur la place de la République» à Paris, a déclaré Youssef Boussoumah, l'un des porte-parole des manifestants, précisant qu'aucune déclaration n'avait encore été déposée auprès de la préfecture de police.
La déclaration de manifestation devait être déposée «dans la journée» de dimanche, ont assuré les représentants des manifestants, pour l'essentiel des responsables de petites organisations pro-palestiniennes, qui dressaient le bilan de la manifestation de samedi lors d'une conférence de presse.
«Nous n'avons pas le même récit que le gouvernement», a souligné Youssef Boussoumah, qui dénombre «de nombreux blessés». «Tout cela est à mettre au compte du grand pataquès qui a délibérément été organisé», a-t-il dénoncé.
Dix-sept policiers et gendarmes ont été blessés et 44 personnes ont été interpellées, dont 19 se trouvaient toujours en garde à vue dimanche matin. «Il y avait des forces de police devant, derrière, sans aucun possibilité de s'échapper. La tension aidant, au bout d'un moment, des frictions ont commencé. Les forces de l'ordre ont envoyé des grenades sur un sit-in qui s'installait à Barbès. Ils ont fait usage de gaz vomitifs et de flash-ball», a affirmé Youssef Boussoumah, estimant que 8.000 à 10.000 personnes avaient manifesté samedi.
Les porte-parole des manifestants ont également appelé à se rendre à une autre manifestation parisienne mercredi soir, organisée à l'initiative du «collectif national pour une paix juste et durable entre Palestiniens et Israéliens», qui regroupe un panel plus large d'associations, de partis et de syndicats.
Une nouvelle manifestation pro-palestinienne prévue samedi à Paris
SOCIETE - Les organisateurs disent n’avoir «pas le même récit» que le
gouvernement sur les événements de samedi et appellent à un nouveau
rassemblement…
Les organisateurs de la manifestation
pro-palestinienne non autorisée samedi à Paris, qui a dégénéré en heures
d'affrontements entre policiers et jeunes, appellent à un nouveau rassemblement
le samedi 26 juillet, ont-ils annoncé ce dimanche.«Nous lançons un appel national à manifester samedi prochain à 15h sur la place de la République» à Paris, a déclaré Youssef Boussoumah, l'un des porte-parole des manifestants, précisant qu'aucune déclaration n'avait encore été déposée auprès de la préfecture de police.
«Grand pataquès»
«Le cas de figure est le même: on ira manifester» même si le rassemblement est interdit, a ajouté Alain Pojolat, membre du Nouveau parti anticapitaliste (NPA), lui aussi porte-parole.La déclaration de manifestation devait être déposée «dans la journée» de dimanche, ont assuré les représentants des manifestants, pour l'essentiel des responsables de petites organisations pro-palestiniennes, qui dressaient le bilan de la manifestation de samedi lors d'une conférence de presse.
«Nous n'avons pas le même récit que le gouvernement», a souligné Youssef Boussoumah, qui dénombre «de nombreux blessés». «Tout cela est à mettre au compte du grand pataquès qui a délibérément été organisé», a-t-il dénoncé.
Une autre manifestation mercredi soir
Le gouvernement avait interdit samedi un rassemblement prévu à Paris en soutien aux Palestiniens de Gaza. Bravant cette interdiction, des milliers de manifestants ont quand même convergé dans le nord de Paris. Mais le rassemblement a rapidement basculé, laissant place à des heures d'affrontements soutenus avec les forces de l'ordre.Dix-sept policiers et gendarmes ont été blessés et 44 personnes ont été interpellées, dont 19 se trouvaient toujours en garde à vue dimanche matin. «Il y avait des forces de police devant, derrière, sans aucun possibilité de s'échapper. La tension aidant, au bout d'un moment, des frictions ont commencé. Les forces de l'ordre ont envoyé des grenades sur un sit-in qui s'installait à Barbès. Ils ont fait usage de gaz vomitifs et de flash-ball», a affirmé Youssef Boussoumah, estimant que 8.000 à 10.000 personnes avaient manifesté samedi.
Les porte-parole des manifestants ont également appelé à se rendre à une autre manifestation parisienne mercredi soir, organisée à l'initiative du «collectif national pour une paix juste et durable entre Palestiniens et Israéliens», qui regroupe un panel plus large d'associations, de partis et de syndicats.
Une interdiction de ce type de
manifestation est logique et doit être suivit de poursuites judiciaires à
l'encontre des auteurs qui sont connus, ces débordements hors du commun comme
par hasard ont eut lieu à Paris et à Sarcelles ou justement il y a une forte
concentration de communautés ayant un antagonisme connus les uns envers les
autres!
Cela suffit, la France est-elle
devenue dans certaines zones ou quartiers dit sensibles que l'on connait aussi
très bien et qui augmentent en volume depuis trente ans, mais qui profitent de
ses largesses ou avantages et qui
veulent imposer leurs lois souvent intolérantes, voire obscurantistes!
Oui ! Il faut sévir la France n'a rien
à voir avec le drame de la bande de Gaza et du peuple palestinien, oui, il ne
faut pas prendre parti et importer chez nous ce conflit et ne pas tolérer que
ces groupes de trublions se servent de cet alibi facile, pour semer le trouble
et réduire nos rues quartiers et villes en zones de batailles et d'émeutes insupportables et intolérables!
Il serait temps de penser aux français
lambda qui veulent simplement vivre dans le calme dans leur pays villes ou
quartiers, car c’est avant tout le leur, tout de même, sans avoir à subir de
telles racailles qui en fait n'aiment pas la France et prennent n'importe quel
prétexte pour semer des troubles quels qu'ils soient par la violence!
Le gouvernement doit se montrer ferme
et notamment espérons le cette justice taubirienne trop laxiste!
Et réagir avec rigueur car le FN va
encore progresser si l'on ne stoppe pas radicalement de tels évènements!
Nous sommes arrivés à un tournant dans
notre société française ou l'on veut opposer les uns contre les autres, si
certains veulent prendre le dessus et ne plus respecter rien, ni nos lois
républicaines, il ne faut pas laisser faire, car la goutte est bien au bord
d'un vase qui va déborder!
jdeclef21.07.2014 -
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