mardi 22 juillet 2014

DANS UNE FRANCE DES LIBERTÉS ET DES DROITS DE L'HOMME "ALIBI BIEN PRATIQUE" IL EST DIFFICILE D'INTERDIRE DES MANIFESTATIONS MÊMES DANGEREUSES !

Des heurts sont survenus après une manifestation de soutien au peuple palestinien, le 19 juillet 2014 à Paris.

Violences à Paris et Sarcelles: Fallait-il interdire les manifestations de soutien au peuple palestinien?

SOCIETE - De nombreuses voix s'élèvent, tandis que deux manifestations sont encore prévues cette semaine...
Des scènes de violence urbaine à Paris samedi, des commerces attaqués à Sarcelles dimanche, et à l’issue du week-end, une belle polémique pour le gouvernement. L’exécutif est sous le feu des critiques pour avoir décidé d’interdire ces deux manifestations, qui ont été suivies de nombreux débordements.
Certains membres de la majorité n’ont pas hésité à mettre en doute le choix du gouvernement, le député PS Razzy Hammadi parlant par exemple d’«erreur». «L’interdiction (de la manifestation de samedi à Paris) est venue nourrir une certaine radicalité», a-t-il indiqué. En dehors du gouvernement, il ne se trouve guère que des personnalités de l’UMP – le secrétaire général du parti Luc Chatel, Eric Ciotti, Christian Estrosi, Xavier Bertrand - pour défendre l’interdiction. Et encore… «J’ai dit (…) que l’interdiction des manifestations ne me semblait pas une bonne idée, que la liberté de manifester était un principe constitutionnel et qu’il ne fallait pas y toucher», a lancé Bruno Le Maire, candidat à la présidence du parti d’opposition. Toujours à droite, Yves Jégo (UDI) a même parlé de «provocation» du gouvernement.

Les troubles de la rue de la Roquette en ligne de mire

Le ministre de l’Intérieur l’a affirmé ce lundi: il «assume totalement» son choix. «Ce n’est pas l’interdiction des manifestations qui a occasionné la violence, c’est les violences qui se sont produites préalablement à l’occasion de manifestations autorisées qui ont été à l’origine de cette décision d’interdire», a expliqué le ministre de l’Intérieur sur BFMTV. Car l’interdiction de manifester ne peut se décider que lorsque deux conditions sont réunies: l’existence d’un réel danger de troubles graves et l’absence d’un autre moyen efficace pour maintenir l’ordre public.

Bien sur qu'il faudrait les interdire mais:


Le problème, c'est que pour ces interdictions "ou non" notre gouvernement et ses forces de l'ordre ne sont pas capables de se montrer simplement efficaces pour garantir l'ordre ou faire respecter les ordres de la république, ni même simplement les encadrer pour en éviter les débordements!


De plus quand on arrive à interpeller (peu) de trublions malgré une comparution immédiate après, devant une justice laxiste et tolérante, ils n'écopent que de peines avec sursis (dont ils se moquent carrément bien sur!) 

De toute façon comme l'on sait, il n'y a pas assez de place dans les prisons (mais on pourrait au moins les forcer à réparer les dégâts en les forçant à travailler à ces réparations!)


A çà, ajoutons le peu d'arrestations par rapport aux nombres de fauteurs de troubles, s'en est même ridicule!


Alors le gouvernement qui ne sait que faire et qui coure comme "un chien après sa queue" va autoriser à nouveau, ces manifestations, en les encadrant tant bien que mal, de toute façon que se soit le 1er ministre le gouvernement ou le président, perdre la face sans amour propre, ils ne sont plus à çà près!

Ils continueront à faire des discours "d'offusqués" en employant à qui mieux mieux les vocables "intolérables, insupportables" etc, jusqu’aux prochains incidents sur d'autres manifestations de ce style!


En France nous avons la malchance d'avoir des politiciens "que nous avons élus "hélas, médiocres ne nous en prenons qu'à nous mêmes!

jdeclef22.07.2014 -

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