Le président François Hollande au palais
présidentiel d'Abidjan, le 17 juillet 2014, au premier jour de sa tournée
africaine
Le chef de l’Etat s’est dit préoccupé par «l’état du pays» et les «forces obscures» qui «travaillent» la société française, ont rapporté les Echos. «Arriver à unir, à fédérer, c’est le rôle qui est le mien», a-t-il insisté. «Ce n’est pas l’interdiction qui a produit la violence. C’est parce qu’il y avait déjà eu des violences qu’il y a eu interdiction», a-t-il par ailleurs rappelé à propos des manifestations qui ont dégénéré à Sarcelles et Paris. «Tout le monde est parfaitement libre d’avoir un point de vue sur ce qui se passe au Proche-Orient, mais il n’y a aucune raison de s’en prendre à d’autres Français pour des causes qui n’ont rien à voir avec ce qui s’y passe», a-t-il encore développé.
De la Russie à Gattaz en passant par Julie Gayet: Les confidences de François Hollande
POLITIQUE - Le chef de l'État s'exprimait lundi soir devant la presse
présidentielle...
François Hollande a tenu une de ses
promesses: répondre pour la deuxième année consécutive à l’invitation de
la presse présidentielle lundi soir. Le ton était plus grave que l’année
précédente, ont relevé Libération
et les Echos.
Il faut dire que l’actualité s’y prête.Le chef de l’Etat s’est dit préoccupé par «l’état du pays» et les «forces obscures» qui «travaillent» la société française, ont rapporté les Echos. «Arriver à unir, à fédérer, c’est le rôle qui est le mien», a-t-il insisté. «Ce n’est pas l’interdiction qui a produit la violence. C’est parce qu’il y avait déjà eu des violences qu’il y a eu interdiction», a-t-il par ailleurs rappelé à propos des manifestations qui ont dégénéré à Sarcelles et Paris. «Tout le monde est parfaitement libre d’avoir un point de vue sur ce qui se passe au Proche-Orient, mais il n’y a aucune raison de s’en prendre à d’autres Français pour des causes qui n’ont rien à voir avec ce qui s’y passe», a-t-il encore développé.
Des confidences, non rien de nouveau
désolé de le dire, il a parlé pour ne rien dire :
Il a fait comme bien de ses
prédécesseurs des discours creux, sans nouveautés pour occuper (un peu) la scène politique, des
bavardages de salons sans intérêt!
Car il ne peut rien dire, ne sachant
quoi dire, pensant aux vacances pour peut être affronter une rentrée qui
s'annonce surement houleuse?
D'ailleurs, qui l'écoute personne..?
JDECLEF 22.07.2014 -
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