jeudi 2 avril 2015

TAUBIRA: ÇÀ PAR EXEMPLE , QUAND FRANÇOIS HOLLANDE EST ARRIVÉ AU POUVOIR IL A COMMIS SA 1ERE ERREUR DE LA NOMMER A CE POSTE!


La ministre de la Justice Christiane Taubira à Matignon.

Taubira : la "faute" de la gauche


Dans un entretien donné à "L'Obs", la ministre de la Justice déplore que la gauche ait renoncé "à l'idéal, aux utopies" au nom du "pragmatisme".


La gauche a commis une "faute" en adoptant "les mots de la droite" depuis une dizaine d'années et en renonçant "à l'idéal, aux utopies" au nom du "pragmatisme", déplore Christiane Taubira dans un entretien à paraître jeudi dans L'Obs. Interrogée par l'hebdomadaire sur les raisons des succès du Front national, la ministre de la Justice répond : "La gauche a subi depuis une dizaine d'années des défaites culturelles et sémantiques terribles. La gauche a adopté les mots de la droite - c'est une faute - parce qu'elle a cru qu'elle devait constamment démontrer ses capacités gestionnaires. Elle a renoncé à l'idéal, aux utopies."
Selon elle, la gauche "a voulu montrer qu'elle faisait toujours des choses équilibrées, ce qui est exactement le contraire du mouvement, et qu'elle était pragmatique, un qualificatif qui est vraiment un parent très pauvre de la politique". Lorsque L'Obs lui fait remarquer que le pragmatisme est "le mot que Manuel Valls utilise pour définir la gauche moderne", Christiane Taubira se dit "solidaire de l'action du Premier ministre", "mais ce n'est pas le vocabulaire dans lequel je puiserais pour définir la gauche".
Pour autant, "je ne crois pas que la gauche puisse mourir", "l'idéal de la gauche, c'est-à-dire la lutte contre les injustices, les inégalités, le souci de la justice sociale, ne peut pas disparaître", estime la garde des Sceaux. "Toute l'action du gouvernement va dans ce sens", assure-t-elle, évoquant le plan de lutte contre l'exclusion et la pauvreté, le plan pour les quartiers et le développement des bourses.

"La gauche, ce n'est pas le césarisme"

La ministre, souvent présentée comme la caution de gauche d'un gouvernement social-libéral, prend soin de soutenir la politique économique mise en oeuvre. "Le gouvernement a choisi de relancer l'activité économique, car la prospérité est la condition de la redistribution", dit-elle. "Les frondeurs ne remettent pas en cause le principe des efforts ni celui de l'injection de moyens dans l'activité économique. Simplement, il y a des discussions [...], la gauche, c'est le débat, ce n'est pas le césarisme."
"Il y a des tas de textes sur lesquels je me bats à l'intérieur [du gouvernement, NDLR] et je remporte de vraies victoires. Mais je ne vais pas m'en vanter. Le jour où je ne voudrai plus me battre à l'intérieur, je m'en irai", conclut-elle.
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Mais il a continué à la conserver comme ministre on sait pourquoi de la simple politique électorale politicienne!


Il a eut l'occasion de s'en débarrasser à deux reprises et plus et malgré l'antagonisme subit de celle-ci avec M.VALLS!


Elle a démoli la justice et la pénitentiaire elle a fait trainer en longueur pendant 6 mois, le débat sur le" mariage pour tous" avec les manifestations que cela a déclenché, elle a menti etc etc …

Mais le président la garde "cette dame patronnesse arrogante "ou il doit être masochiste? 

Mais F.Hollande n'est pas à une erreur près hélas!


Elle parle souvent de s'en aller alors qu'elle le fasse !!!!


Jdeclef 02/04/2015

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