dimanche 16 octobre 2022

2 eme épisode dans ces mouvements sociaux ou le gouvernement est « cul par-dessus tête » comme a dit notre président car dépassé comme d’habitude ce qui n’est pas nouveau ?!


 

« Si le feu continue de couver… » : le pouvoir macroniste face à la rue :

Serein avant la marche à l’appel de la Nupes, l’exécutif reste attentif au risque d’explosion sociale, sur fond d’inflation et d’appels à la grève.

SI LE GOUVERNEMENT SANS IDEES NOUVELLES JOUE AU POURISSEMENT DES MOUVEMENTS SOCIAUX IL COMMETTRA UNE ERREUR DE TROP ?!

CAR LES QUERELLES POLITICIENNES DE BAS ETAGES OU D’AFFAIRES DOUTEUSES DE CERTAINS LEADERS POLITIQUES DE TOUS BORD LES FRANCAIS S’EN FICHENT A RAISON COMME CELLES DU GOUVERNEMENT ET AVEC UN PRESIDENT IMPREVOYANT TROP BAVARD ET SI UNE DISSOLUTION DU GOUVERNEMENT AU PARLEMENT INTERVENAIT CE NE SERAIT PAS PIRE ?!

L’ERREUR DES FRANCAIS C’EST D’AVOIR ELU ET REELU LES MEMES ET CE N’EST PAS LA 1ERE FOIS DANS CETTE VEME REPUBLIQUE D’AILLEURS LFI/NUPES ONT BIEN SU TROUVER DE L’ESSENCE POUR LEURS CARS POUR AMENER LEURS MANIFESTANTS PLUS NOMBREUX À PARIS !

La grogne sociale est-elle passagère, ou plus profonde ? En ces temps troublés, l'exécutif peine à appréhender le degré de sensibilité du pays. La guerre en Ukraine, l'inflation, la crise énergétique, le blocage dans les raffineries et les appels à la grève qui se multiplient « forment un cocktail détonnant », juge une figure de la majorité. « Il y a un climat de peur, de morosité et d'angoisse dans la population », observe cet élu. De là à déclencher une révolte dans la rue ?

La mobilisation dimanche à l'initiative de Jean-Luc Mélenchon apportera un début de réponse. Le porte-drapeau des Insoumis appelle à manifester « contre la vie chère et l'inaction climatique ». Toutes les composantes de la Nupes battront le pavé parisien pour mettre la pression sur le gouvernement. Parmi les revendications : hausse des salaires, retraite à 60 ans, taxe sur les superprofits.

Prudence sur le 49.3 et les réquisitions

Dans un contexte incertain, le ministre de l'Intérieur Gérald Darmanin a préféré annuler un week-end militant dans le Nord pour suivre le déroulement du cortège depuis Beauvau. À ce stade, le pouvoir ne craint pas une manifestation d'ampleur. Selon les estimations du ministère de l'Intérieur, quelque 30 000 opposants devraient défiler. « Je ne suis pas sûr que ce soit un grand succès et qu'on soit à la veille d'un grand soir social… La Nupes est divisée, LFI pâtit de ses folies et de ses conneries », grince un député parisien de la majorité. Les parlementaires l'ont remarqué : depuis l'affaire Quatennens, les Insoumis « ne sont plus les mêmes ». « Ils sont clairement affaiblis. »

Avec sa marche du 16 octobre, la Nupes joue son avenir

On n’allait pas faire de la marche nuptiale une marche contre la dictature !Un familier de l’Élysée

Reste que le mouvement dans les raffineries depuis une dizaine de jours et les appels à la grève mardi dans plusieurs secteurs (transports, nucléaire, école, fonction publique…) sont autant d'éléments susceptibles de grossir les rangs de la gauche radicale. La CGT, en première ligne dans le conflit syndical, n'a toutefois pas souhaité participer à la marche politique de dimanche.

Signe de l'extrême prudence du gouvernement : le 49.3, indispensable pour adopter le budget, n'a toujours pas été dégainé à l'Assemblée, en dépit des revers en cascade du camp présidentiel dans l'hémicycle. Le recours aux réquisitions pour débloquer l'approvisionnement en carburant a été manié avec la plus grande vigilance. « Il y a clairement eu la volonté de laisser filer les débats à l'Assemblée pour ne pas avoir à sortir le 49.3 avant la marche, de ne pas envoyer la force publique trop tôt. On ne va pas donner d'arguments supplémentaires au mécontentement ! » souffle un conseiller de l'exécutif. « On n'allait pas faire de la marche nuptiale une marche contre la dictature ! » ironise un familier de l'Élysée.

Revers, divisions : la majorité relative perd pied à l'Assemblée

« Le blocage de dépôts pétroliers a changé la donne à l'Assemblée, confirme au Point Laurent Marcangeli, président du groupe Horizons. Mais je n'ai pas peur de la marche de dimanche. Je suis moins inquiet par une manifestation organisée par un parti politique que lorsque les Français ne peuvent pas normalement remplir leur réservoir d'essence. » Bien qu'ayant tout fait pour dédramatiser l'usage du 49.3, le pouvoir ne minimise pas l'effet brutal d'un tel couperet, attendu pour la semaine prochaine. « Ça peut nous péter à la gueule », redoute-t-on dans la majorité.

Quelle pourrait être l'étincelle qui met le feu au pays ? La réforme des retraites et la volonté du président de reporter l'âge légal de départ à 65 ans ? L'exécutif marche sur des œufs et se méfie d'une contagion sur fond de revendications salariales. « Cette marche dimanche ne changera pas les choses. Mais ça va gonfler le ballon, donner de l'énergie aux Insoumis. C'est un jalon qui se prolonge mardi avec une journée de grèves et le risque que ça dure », s'inquiète un ministre de l'aile gauche.

Même dans le privé, des dirigeants remarquent que les NAO (négociations annuelles obligatoires) se sont parfois déroulées dans un climat particulièrement tendu. « L'opinion est énervée plus qu'éruptive », veut croire un spécialiste de la communication, quand un autre parle de « crise sociale existentielle » à propos du travail.

Si le feu continue de couver, c’est la réforme des retraites qui devra passer à l’as.Un ténor de la majorité

Difficile d'y voir clair. « La réforme de l'assurance-chômage passe crème. Et en même temps, on sent bien que la question des salaires monte, tout le monde perçoit que les prix augmentent, ceux de l'énergie vont encore croître en janvier, c'est très difficile de prévoir ce qui peut arriver », reconnaît-on dans un ministère de premier plan. « Les révoltes sociales éclatent quand il y a plein d'argent à redistribuer. Or, avec la crise économique qui arrive, ce n'est pas le moment, se rassure-t-on dans les couloirs du pouvoir. La CGT et La France insoumise sont en total décalage. »

Christophe Béchu sur les grévistes : « Il y a une tentative de radicalisation »

Édouard Philippe avait donné l'alerte, le 28 septembre, lors du dîner organisé à l'Élysée sur la réforme des retraites. Attention, avait prévenu en substance l'ancien Premier ministre. Des grèves commencent à s'organiser dans le BTP, certaines collectivités… Nous y sommes. Avec la question, en creux, de la capacité réformatrice du macronisme et de l'autorité du président, défiée par ses opposants. « Si le feu continue de couver, c'est la réforme des retraites qui devra passer à l'as », lâche, défaitiste, une voix importante du groupe Renaissance.

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Il est certain que les mécontentements sociétaux si divers font monter la pression dans la cocote minute des partis politiques de tous bords et syndicats (qui eux n'étaient pas associés lors de la crise des gilets jaunes) mais poussent à la roue sur leurs revendications nombreuses dues indirectement à la crise internationale et pouvoir d'achat à revaloriser entre autres qui risque d'exploser par un gouvernement macroniste qui n'a pas de solution tergiverse peut être comme notre président et son habitude bavarde et s’écoutant parler et peut être attendant les congés de la Toussaint si les blocages d'approvisionnement ne s’améliore pas !

Car ça va mal dans trop de domaines de sociétés et quand la goutte fait déborder le vase déjà trop plein et comme notre président parvenu bourgeois n'a toujours pas compris les Français lambda gens de peu ou dans bas comme disent si bien certains politiciens dans le passé qui les ont qualifiés et un président actuel qui les dédaigne !

La société française est encore malade après cette pandémie de la Covid toujours là avec cette 8eme vague et cette crise internationale dangereuse qui est venue se greffer sur nos crises intérieures énergétiques et une économie en déclin par une inflation avec un risque de guerre à nos frontières européennes avec nos dirigeants de tous bords imprévoyants sur tous ces sujets nombreux qui risque d'augmenter si les grèves diverses s'étendent à d'autres secteurs professionnels pour développer une anarchie rampante et une inégalité que les français ne supporte plus et se réfugient pour ceux qui le peuvent derrière le chacun pour soi et le fait qu'élire ou réélire un même président avec trop de pouvoir ne convient plus dans cette V eme république devenue monarchique obsolète usée !

La France est le pays des grèves ce n'est pas faux mais pour l'instant ils sont désunis par mouvements divers mais en 1968 ils s'étaient regroupés nos dirigeants devraient en prendre acte avant qu'il ne soit trop tard !

Jdeclef 16/10/2022 10h33

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