dimanche 23 octobre 2022

Qui va écouter MICHEL RICHARD ou même lire son livre bien étayé sur les défauts de la voiture électrique !? Les français gogos incurables bornés si mal gouvernés !?

 

Michel Richard – Voiture électrique, moteur à explosion sociale

CHRONIQUE. Fin du thermique, zones à faible émission… Attention à ne pas créer des automobilistes de second rang !

C’est déjà le cas on ne prête qu’aux riches et les pauvres s’endetteront merci Mr le Président !

Le bon sens en France n’existe plus car aux mains des profiteurs au pouvoir ou illuminés divers écolos politique voir extrémistes de tous bords de cette classe politique lamentable que nous élisons mal pour notre malheur (car c’est nous qui votons ne l’oublions donc ne nous plaignons pas !)

On n'avait nul besoin de la panne de carburant dans les stations-service pour le savoir. Mais ces trois interminables semaines de pénurie ont démontré à quel point la voiture individuelle – sans oublier pour autant les transports routiers, les cars scolaires et les engins agricoles – structurait fondamentalement la vie des Français. Et parmi eux, avant tout, les Français de territoires ne disposant pas de moyens de locomotion alternatifs, ceux qui n'habitent pas, autrement dit, dans des métropoles.

Tout s'écroule sans voiture : se rendre à son travail, déposer les enfants à l'école, les conduire au judo ou au foot, faire ses courses hebdomadaires, se faire soigner. Sans voiture, ces Français-là sont tout simplement empêchés d'habiter vraiment où ils habitent, d'y vivre convenablement, d'y mener leurs activités normales, celles qui font une vie normale.

« On rentre dans le dur » : l'exécutif sur un volcan

Les gouvernements, les experts, les écologistes et les idéologues feraient bien d'y réfléchir très sérieusement s'ils ne veulent pas, fût-ce avec de bonnes intentions, provoquer la sécession d'une grande partie de la population. En lançant vendredi son plan « France nation verte », Élisabeth Borne s'est dite soucieuse de ne stigmatiser personne et de ne laisser personne « désemparé ». Il vaudra mieux.

Car rien n'est plus incandescent que les mesures touchant à la voiture : taxes, vignette, péages… Tout gouvernant sait ça. On a vu les dégâts des 80 kilomètres/heure décrétés par Édouard Philippe… Or, les discours ambiants, les perspectives, les décisions concernant la voiture sont aujourd'hui tout ce qu'il y a de plus anxiogène. À côté, l'interdiction au 1er juillet 2022 d'installer de nouvelles chaudières au fioul n'a provoqué qu'un soubresaut par rapport à ce que provoquera l'interdiction à la vente, dès 2035, de toute voiture à moteur thermique.

Révolution industrielle à marche forcée

Passons sur cet emballement pour la voiture électrique, objet de nos soins exclusifs. L'environnement y trouvera sans doute son compte, quoique l'on passe peut-être un peu vite sur quelques interrogations, y compris écologiques, pour l'extraction du lithium, indispensable aux batteries par exemple (voir Voiture électrique : ils sont devenus fous, de François-Xavier Pietri, aux éditions de l'Observatoire).

Une révolution industrielle s'engage à marche forcée au risque d'une menace sur l'emploi et au prix, on le craint, d'un traumatisme sociétal. Car les aides de l'État, outre qu'elles profiteront avant tout à la Chine (grande productrice de batteries), ne compenseront pas le surcoût de ces véhicules. Et le leasing à 100 euros par mois reste à construire. Il ne faudrait pas qu'un mur financier rende difficile l'usage de voitures électriques à ceux qui ne peuvent s'en passer.

Voiture électrique : les bornes de recharge à l'essai

Une frontière de plus car, déjà, dès 2023, les véhicules à essence immatriculés avant le 1er janvier 2011 seront interdits à la circulation dans le Grand Paris. Et déjà, les voitures Crit'Air3 sont interdites dans les zones à faibles émissions (ZFE), c'est-à-dire à circulation restreinte, qui se multiplient.

Qui pourra s'indigner de pareille politique visant à faire baisser de 40 % la pollution de l'air en ville dès 2025 ? Personne, bien sûr, tant cet objectif est salutaire, mais il faudra s'inquiéter avec la même priorité du ressenti, sinon du ressentiment, d'une grande partie de la population, qui se vivrait exclue, oubliée de cette politique conquérante, menacée dans ses modes de vie.

Le géographe Christophe Guilluy nomme cette classe moyenne qui ne se reconnaît plus dans ce qui se prépare et qui a « peur de perdre ce qu'elle a et ce qu'elle est » d'un nom effrayant : les Dépossédés (éd. Flammarion). Dépossédés, entre autres, de leurs lieux de vie, regardés de travers, polluants, interdits de cité. Cette sorte de confinement serait explosive.

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Ce seront encore les gogos qui boiront les paroles de notre président nomarque avec trop de pouvoir qu'on lui a donné qui décide de tout et met comme d'habitude la charrue avant les bœufs en privilégiant les plus riches qui pourront se l'offrir et favoriseront la Chine et son dictateur affairiste intelligent qui justement produit ces batteries censées remplacer les carburants divers par l’électricité mais oubliant les infrastructures pharaoniques bornes nettement insuffisantes à tarifs divers !

Et qu'à fait notre petit président bourgeois parvenu c'est d'annoncer que les voitures thermiques ne seront plus construites en 2035 ce qui est une insulte moqueuse aux français (pour leur dire comme çà vous ne ferez plus la queue aux stations-services !?)

Bien sûr à marche forcée sur de reformes faites trop tard comme celle des parcs éoliens qui met notre pays à la traine des autres pays de l'U.E. et de ne nos centrales nucléaires vieillissantes mal entretenue et que certains écolos illuminés sectaires empêcheurs de tourner en rond voulaient fermer !

J’arrête là le panel des erreurs de gouvernances et gestion de notre pays qui s'accumulent et en plus avec les crises internationales de guerres aux frontières de l'Europe et crises économiques inflationnistes énergétiques que nos dirigeants ou politiciens de tous bords ne savent pas régler ni ce qui est plus grave nous protéger !

Notre président peut bien rester jusqu'en 2027 c'est son 2eme quinquennat réélu par défaut il ne sert à rien et est dépassé il l'avait déjà démontré en 2019 il est perdu et s'en rend compte lui-même !?

Élire un seul dirigeant avec trop de pouvoir est une erreur qui se confirme et pas seulement en FRANCE pays démocratique (encore libre !)

Jdeclef 23/10/2022 11h52


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