Michel Richard – Voiture électrique, moteur à explosion sociale
CHRONIQUE. Fin du thermique, zones à faible émission… Attention à
ne pas créer des automobilistes de second rang !
C’est déjà le cas on ne prête qu’aux riches et les pauvres s’endetteront merci
Mr le Président !
Le bon sens en France n’existe plus car aux mains des profiteurs au pouvoir ou illuminés divers écolos politique voir extrémistes de tous bords de cette classe politique lamentable que nous élisons mal pour notre malheur (car c’est nous qui votons ne l’oublions donc ne nous plaignons pas !)
On n'avait
nul besoin de la panne de carburant dans les stations-service pour le savoir.
Mais ces trois interminables semaines de pénurie ont démontré à quel point la
voiture individuelle – sans oublier pour autant les transports routiers, les
cars scolaires et les engins agricoles – structurait fondamentalement la vie
des Français. Et parmi eux, avant tout, les Français de territoires ne
disposant pas de moyens de locomotion alternatifs, ceux qui n'habitent pas,
autrement dit, dans des métropoles.
Tout
s'écroule sans voiture : se rendre à son travail, déposer les enfants à
l'école, les conduire au judo ou au foot, faire ses courses hebdomadaires, se
faire soigner. Sans voiture, ces Français-là sont tout simplement empêchés
d'habiter vraiment où ils habitent, d'y vivre convenablement, d'y mener leurs
activités normales, celles qui font une vie normale.
« On rentre dans le dur » : l'exécutif sur un
volcan
Les
gouvernements, les experts, les écologistes et les idéologues feraient bien d'y
réfléchir très sérieusement s'ils ne veulent pas, fût-ce avec de bonnes
intentions, provoquer la sécession d'une grande partie de la population. En
lançant vendredi son plan « France
nation verte », Élisabeth Borne s'est dite soucieuse de ne stigmatiser
personne et de ne laisser personne « désemparé ». Il vaudra mieux.
Car rien
n'est plus incandescent que les mesures touchant à la voiture : taxes,
vignette, péages… Tout gouvernant sait ça. On a vu les dégâts des
80 kilomètres/heure décrétés par Édouard Philippe… Or, les discours
ambiants, les perspectives, les décisions concernant la voiture sont
aujourd'hui tout ce qu'il y a de plus anxiogène. À côté, l'interdiction au 1er juillet 2022 d'installer
de nouvelles chaudières au fioul n'a provoqué qu'un soubresaut par rapport à ce
que provoquera l'interdiction à la vente, dès 2035, de
toute voiture à moteur thermique.
Révolution industrielle à marche forcée
Passons sur
cet emballement pour la voiture électrique, objet de nos soins exclusifs.
L'environnement y trouvera sans doute son compte, quoique l'on passe peut-être
un peu vite sur quelques interrogations, y compris écologiques, pour
l'extraction du lithium, indispensable aux batteries par exemple (voir Voiture
électrique : ils sont devenus fous, de François-Xavier Pietri, aux
éditions de l'Observatoire).
Une
révolution industrielle s'engage à marche forcée au risque d'une menace sur
l'emploi et au prix, on le craint, d'un traumatisme sociétal. Car les aides de
l'État, outre qu'elles profiteront avant tout à la Chine (grande
productrice de batteries), ne compenseront pas le surcoût de ces véhicules. Et
le leasing à 100 euros par mois reste à construire. Il ne faudrait pas
qu'un mur financier rende difficile l'usage de voitures électriques à ceux qui
ne peuvent s'en passer.
Voiture électrique : les bornes de recharge à l'essai
Une frontière de plus car, déjà, dès
2023, les véhicules à essence immatriculés avant le
1er janvier 2011 seront interdits à la
circulation dans le Grand Paris. Et déjà, les voitures Crit'Air3 sont
interdites dans les zones à faibles émissions (ZFE), c'est-à-dire à circulation
restreinte, qui se multiplient.
Qui pourra
s'indigner de pareille politique visant à faire baisser de 40 % la
pollution de l'air en ville dès 2025 ? Personne, bien sûr, tant cet
objectif est salutaire, mais il faudra s'inquiéter avec la même priorité du
ressenti, sinon du ressentiment, d'une grande partie de la population, qui se
vivrait exclue, oubliée de cette politique conquérante, menacée dans ses modes
de vie.
Le géographe
Christophe Guilluy nomme cette classe moyenne qui ne se reconnaît plus dans ce
qui se prépare et qui a « peur de perdre ce qu'elle a et ce qu'elle
est » d'un nom effrayant : les Dépossédés (éd.
Flammarion). Dépossédés, entre autres, de leurs lieux de vie, regardés de
travers, polluants, interdits de cité. Cette sorte de confinement serait
explosive.
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Ce seront encore les gogos qui boiront les paroles
de notre président nomarque avec trop de pouvoir qu'on lui a donné qui décide
de tout et met comme d'habitude la charrue avant les bœufs en privilégiant les
plus riches qui pourront se l'offrir et favoriseront la Chine et son dictateur
affairiste intelligent qui justement produit ces batteries censées remplacer
les carburants divers par l’électricité mais oubliant les infrastructures
pharaoniques bornes nettement insuffisantes à tarifs divers !
Et qu'à fait notre petit président bourgeois
parvenu c'est d'annoncer que les voitures thermiques ne seront plus construites
en 2035 ce qui est une insulte moqueuse aux français (pour leur dire comme çà
vous ne ferez plus la queue aux stations-services !?)
Bien sûr à marche forcée sur de reformes faites
trop tard comme celle des parcs éoliens qui met notre pays à la traine des
autres pays de l'U.E. et de ne nos centrales nucléaires vieillissantes mal
entretenue et que certains écolos illuminés sectaires empêcheurs de tourner en
rond voulaient fermer !
J’arrête là le panel des erreurs de
gouvernances et gestion de notre pays qui s'accumulent et en plus avec les
crises internationales de guerres aux frontières de l'Europe et crises
économiques inflationnistes énergétiques que nos dirigeants ou politiciens de
tous bords ne savent pas régler ni ce qui est plus grave nous protéger !
Notre président peut bien rester jusqu'en 2027
c'est son 2eme quinquennat réélu par défaut il ne sert à rien et est dépassé il
l'avait déjà démontré en 2019 il est perdu et s'en rend compte lui-même !?
Élire un seul dirigeant avec trop de pouvoir
est une erreur qui se confirme et pas seulement en FRANCE pays démocratique
(encore libre !)
Jdeclef 23/10/2022 11h52
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