Dictateur, métier à risque
ÉDITO.
Contre les tyrans, le courage des Iraniennes comme la résistance des Ukrainiens
témoignent de la force de l’aspiration à la liberté.
OUI
ET ALORS IL FAUT ATTENDRE QUE POUTINE FRAPPE ENCORE ET PLUS FORT L’UKRAINE JUSQU’À
L’ANEANTISSEMENT CE PAYS CE QU’IL VOULAIT AU DEBUT DE SA GUERRE CAR DANS UN
CONFLIT DEFENDRE CELA NE SUFFIT PAS IL FAUT ATTAQUER SUR LE SOL DE L’ASSAILLANT
POUR LE STOPPER ET LE BATTRE SANS QUOI CELA PEUT DURER DES ANNEES COMME NOS DERNIERES
GUERRES MONDIALES ?!
(POUR
LES EUROPEENS ET OCCIDENTAUX ET USA ON NE PEUT FAIRE UNE GUERRE PAR PROCURATION
SANS S’IMPLIQUER ET CA POUTINE LE SAIT !)
Le régime iranien tremble devant l'éruption
populaire contre le voile islamique imposé aux femmes ; en Russie, des
centaines de milliers de citoyens ont voté avec leurs pieds et fui le pays
depuis que Vladimir Poutine a décidé d'envahir l'Ukraine ; en Chine,
l'exode de Hongkong est massif depuis que Pékin y a étendu son système
répressif il y a deux ans. Il n'est pas facile de satisfaire sa population
lorsqu'on est un despote. C'est même une fonction à risque, tant l'aspiration à
la liberté individuelle est une motivation puissante chez l'être humain. « Les
dictateurs mourront, et le pouvoir qu'ils avaient pris aux peuples va retourner
aux peuples », assurait Charlie Chaplin dans le discours qui clôt son
film Le Dictateur sorti en 1940.
Les autocrates ont longtemps prétendu qu'ils étaient plus aptes que les
démocrates à garantir au peuple prospérité et sécurité. Le cas toujours cité
est celui de la Chine, qui a réussi en trois décennies à sortir massivement sa
population de la pauvreté. Mais l'émergence d'une classe moyenne nombreuse, qui
aspire à des normes de vie occidentales, pousse le régime communiste à exercer
sur sa population un contrôle social toujours plus extrême. Sous prétexte
d'épidémie de Covid-19, il est même devenu impossible aujourd'hui à la plupart
des citoyens de la République populaire de simplement voyager à l'étranger.
Xi Jinping, un Staline made in China
Pour asseoir son pouvoir, le tyran contemporain utilise les outils de notre
époque : les médias sociaux, la société du spectacle, le
« storytelling », le culte narcissique de la personnalité. Il ne
néglige pas pour autant des moyens plus anciens : la police secrète,
la torture, l'emprisonnement de masse, comme celui des Ouïgours en Chine, voire
le massacre de son propre peuple, comme le pratique le Syrien Bachar
el-Assad. Le président turc Recep Tayyip Erdogan a embastillé des opposants, ou
supposés tels, par milliers. Vladimir Poutine, lui, a longtemps privilégié
l'assassinat ciblé de dissidents.
Retours de bâton
S'il veut se maintenir, le dictateur doit éviter deux écueils. Lâcher la
bride nourrit le désir de liberté. Mais à l'inverse, trop corseter sa
population déclenche parfois des retours de bâton. La théocratie iranienne l'a
expérimenté depuis qu'elle a redoublé de rigueur dans l'imposition du voile
islamique. La mort de Mahsa Amini, 22 ans, interpellée parce qu'elle
portait « mal » son voile, a mis le feu aux poudres. En Russie,
Vladimir Poutine a fait une expérience similaire depuis qu'il a ordonné la
mobilisation de 300 000 hommes pour servir de chair à canon sur les fronts
ukrainiens. La grogne et l'inquiétude deviennent palpables dans de larges pans
de la population russe, qui s'accommodait jusque-là de la guerre sans trop se
poser de questions.
Poutine, le Staline
d'aujourd'hui ?
Un dictateur peut faire des erreurs plus facilement qu'un démocrate. Il est
souvent mal informé, car ses proches ne lui disent que ce qu'il aime entendre.
Poutine méconnaissait probablement, avant d'ordonner l'invasion du
24 février, l'état déplorable de son armée. Le numéro un iranien, Ali
Khamenei, ignorait sans doute que l'exaspération affleurait à ce point dans sa
population. Et pourtant, même dans une dictature aussi perverse que la
République islamique, qui réprime toute dissidence depuis
quarante-trois ans, il arrive que le peuple se révolte.
Le dévoilement en
Iran, la mise à nu en France
À peine un cinquième de la population mondiale vit désormais dans un pays
libre. Minée par le populisme, le nationalisme et les crises identitaires, la
démocratie ne cesse de reculer dans le monde depuis seize ans, selon l'ONG
américaine Freedom House, qui place son apogée en 2004. Les nouvelles
tribulations des despotes d'Iran et de Russie montrent cependant que le modèle
autocratique n'est pas aussi porteur qu'il ne le paraissait. Tout espoir
n'est pas perdu pour la démocratie, à condition qu'elle trouve la force de
défendre son atout maître : la liberté. Le courage des Iraniennes
contre les mollahs tout comme celui des Ukrainiens contre
l'envahisseur, montrent la voie. « Tant que les hommes mourront pour
elle, proclamait Charlie Chaplin, la liberté ne pourra pas
périr. »
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Leurs
dictatures voire démocratures ersatz des 1eres que certains trouvaient plus
fréquentables dont les pays libres et démocratiques et surtout leurs dirigeants
bienpensants quelque fois même arrogants grands donneurs de leçons n'arrivent
pas à se débarrasser au point que leur nombre augmente sans cesse !
Car
certains des peuples comme les Russes sous leur joug préfèrent avoir un chef si
dur soit il qui les protègent depuis toujours au point d'y être habitué à
baisser la tête !
A part
quelque exception comme l’Ukraine qui se défend pour sa liberté mais qui a
besoin d'aide extérieure des pays occidentaux encore libres qui bien sûr se
garde bien de répondre à cette agression de ce fou Russe dictateur sanguinaire directement
qui fait à peu près ce qu'il veut ces allies Européens et US avec leur
épouvantail OTAN ne voulant pas l'attaquer sur son sol par peur de cette menace
nucléaire alors qu'ils en possèdent une équivalente !
D'ailleurs
il reprend du poil de la bête POUTINE avec des pluies de missiles sur la
totalité de villes importantes d’Ukraine !
Certains
criaient victoire trop tôt mais cet individu dont on connait le caractère
n'accepte pas de perdre ne connait que la force et se rebiffe il a changé ces
généraux et utilise ces bombardements à outrance sur les civils pour terroriser
les populations et sa façon de faire vraiment une guerre totale !
Alors que
vont faire nos dirigeants bavards donneurs de leçons qui nous ont impliqués
dans ce conflit car à nos frontières européennes qui prend des proportions par
leur imprévoyance car le métier de dictateur est risqué mais pour qui ?!
Car ils
ne savent pas comment l'éliminer depuis le début ce qu'ils n'ont même pas
essayé ce qui est loin d’être la fin on va encore plus mal vivre car avec une
nouveauté la peur irresponsable et incontrôlable !
L'état de
guerre comme disait notre président bavard ce n'est pas la Covid c'est POUTINE
il faudrait qu'il se réveille et arrête de s'écouter parler !
Jdeclef
11/10/2022015h45
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