lundi 17 octobre 2022

Les Français n'aiment pas les aboyeurs de foire dont en fait il ne sort rien de concret que du vent médiatique que fait MELENCHON vieux tribun ex socialiste !?

 

Marche de la Nupes : Mélenchon fait « pschitt »

Le chef des Insoumis imaginait ce défilé comme une démonstration de force du peuple contre Macron. La colère était palpable, mais le nombre n’y était pas.

LOGIQUE LES ABOYEURS QUI CRIENT ET FONT DU GRAND SPECTACLE ET CEUX QUI PARLENT TROP COMME LE PRESIDENT LES FRANÇAIS N’Y CROIENT PLUS MALGRE QU’ILS NE SAVENT PAS POUR QUI CHOISIR CHEZ CES POLITICIENS DE TOUS BORDS QUI LES GRUGENT DEPUIS + DE 40 ANS ?!

Ce n'était pas un bide, mais certainement pas un triomphe. La manifestation organisée le 16 octobre à Paris par la Nupes « contre la vie chère et l'inaction climatique » a rassemblé 140 000 personnes selon les organisateurs, et 30 000 selon la police, dont l'évaluation est confirmée par le cabinet Occurrence, mandaté par un collectif de médias. Jean-Luc Mélenchon voulait ce cortège depuis juillet. Il a redit sur son blog le 11 octobre qu'il entendait en faire « le moment clef de la séquence politique » actuelle, « celui qui montrera le rapport de force central de la société : Macron contre le peuple/le peuple contre Macron ».

La ligne a été tenue. Les traditionnels slogans contre l'extrême droite ont été inexistants durant les quatre heures qu'a duré le défilé. Tout au long du cortège, qui s'étirait de la place de la Nation jusqu'à la place de la Bastille, c'est la politique du gouvernement et le patronat qui étaient ciblés, pas le RN. « Macron change rien, je sens qu'ça bien », disait une pancarte portée par une manifestante. Les banderoles aux couleurs des Insoumis étaient omniprésentes, tout comme les visuels de la Nupes et ceux des communistes. La direction du PCF a décidé, il y a une semaine seulement, d'appeler à participer. Cela répondait manifestement à une demande de la base.

EELV discret, le PS invisible

La direction confédérale de la CGT avait annoncé qu'elle ne viendrait pas. Elle y était quand même en force (à égalité avec Solidaires), représentée par différentes sections, en particulier celle de la fonction publique et d'EDF, mais aussi par la secrétaire confédérale Céline Verzeletti. Le sénateur PCF Vincent Gay, grand défenseur de l'électricien national, marchait près des électriciens, écharpe tricolore en bandoulière. Sandrine Rousseau, venue discrètement, s'est fait traiter par un manifestant, sans excès d'animosité, de « révolutionnaire de salon ».

Sandrine avant Rousseau, la modérée déconstruite

Les drapeaux EELV brillaient par leur discrétion et ceux du PS, par leur absence totale. Sur la base du défilé du 16 octobre, le Nouveau Parti anticapitaliste donne l'impression de peser plus lourd que la vieille maison de Jean Jaurès, gestionnaire de plusieurs centaines de villes partout en France. François Ruffin, de son côté, jouait effrontément sa partition en solo, après plusieurs prises de position marquant une prise de distance avec LFI ces derniers jours. En fin de cortège, une camionnette avançait, porteuse d'un immense ballon rouge, « Picardie Debout – Avec François Ruffin ». L'intéressé n'était pas visible, mais des bénévoles distribuaient des numéros de sa revue, Fakir.

Tensions palpables

La manifestation s'est terminée presque furtivement. À l'approche de Bastille, le cortège se dispersait instantanément, ce qui fait que la place emblématique des luttes sociales est restée au trois quarts vide tout au long de la journée. En réalité, les rangs se sont éclaircis tout au long des quatre heures qu'a duré le défilé, conséquence probable d'une tension palpable. À 18 h 30, la préfecture de police déplorait très peu d'incidents. Et pour cause : plus de 2 000 policiers, CRS et gendarmes étaient mobilisés. Le faubourg Saint-Antoine était strictement encadré, toutes les rues perpendiculaires, jusqu'à la moindre venelle, étant fermées par des barrages de gardes casqués, armés, porteurs d'équipement de protection et de boucliers. Un des slogans les plus entendus durant la journée a été « tout le monde déteste la police ».

François Ruffin : « Macron est un artiste sans œuvre »

Les revendications en faveur de l'environnement, quant à elles, se trouvaient noyées dans la masse des mots d'ordre sociaux. Les tentatives répétées visant à faire de l'écologie une nouvelle lutte des classes prendront peut-être un jour, mais le chemin risque d'être plus long qu'un Nation-Bastille.

En début de soirée, dans un tweet, le ministre de l'Intérieur a remercié les forces de l'ordre d'avoir « assuré la sécurité des personnes et empêché la dégradation de commerces durant la manifestation ». Les commerces ont effectivement été respectés. Les banques, un peu moins.

Les black blocs s'en sont pris à deux agences qui se trouvaient sur le parcours. Les forces de l'ordre sont intervenues pour protéger la première, BNP Paribas. La deuxième, Société générale, a eu moins de chance. Dans le but probable de ne pas créer de mouvement de foules, les policiers ont regardé à bonne distance les antifas intégralement habillés de noir s'acharner sur les vitrines de la banque, symbole du capitalisme honni. Les brigades de répression des actions violentes motorisées (Brav) étaient visibles, prêtes à intervenir. Composées de binômes à moto, redoutées des black blocs, elles se sont tenues en retrait.

Signe préoccupant de la colère sourde qui gronde dans la masse pacifique des militants de gauche, personne n'est intervenu pour empêcher les antifas de casser du verre. Au contraire. « C'est des policiers infiltrés », lançait sans conviction une militante LFI quinquagénaire venue de l'Yonne pour la journée, alors que son amie applaudissait les jeunes en action.

Avec sa marche du 16 octobre, la Nupes joue son avenir

Une explication complotiste démentie par des observations élémentaires. Les black blocs étaient présents dès le début dans le cortège, facilement repérables à leurs tenues noires et à leurs visages masqués. Personne n'a cherché à les exfiltrer. Ceux qui s'en sont pris aux agences bancaires semblaient tous se connaître. Pendant que les uns opéraient, les autres veillaient sans ménagement à ce que personne ne prenne de photo dans la foule.

Sur cette manifestation au moins, il n'est pas du tout question d'éléments infiltrés et encore moins d'une manœuvre de déstabilisation du mouvement social par une quelconque officine. Les violences ont commencé alors que le cortège s'était mis en marche depuis une heure et demi à peine. La manifestation n'a pas « dégénéré ». Les casseurs font partie de la famille et, dans leur registre, ils agissent avec discernement. Le mobilier urbain a été épargné, tout comme les épiceries de quartier et les bistrots, qui n'avaient même pas fermé les terrasses. Symboles du capitalisme, les banques étaient ciblées, et elles seules.

Entrain forcé

Deux cents mètres en aval de ces incidents, les leaders Insoumis (Jean-Luc Mélenchon, Alexis Corbière, Raquel Garrido, Danielle Simonnet, le président de la commission des Finances Éric Coquerel, etc.) marchaient devant un camion sono qui diffusait des musiques festives. Le cœur n'y était pas. Les sourires de circonstance masquaient mal la crainte d'un mouvement de foule, qu'aurait inévitablement provoqué une charge de CRS. Sur la plateforme du camion, quelques cadres Insoumis se déhanchaient sans trop de conviction sur Britney Spears. Ils surplombaient des manifestants aux yeux rougis par les effluves de gaz lacrymogènes, qui cherchaient à s'esquiver par des voies latérales.

« Si le feu continue de couver… » : le pouvoir macroniste face à la rue

En fin de manifestation, la police a chargé deux fois place de la Bastille, mais brièvement. Personne ne semblait presser de s'attarder sur les lieux. En conclusion de la journée, les prises de parole des leaders Insoumis ont été très brèves, les organisateurs appelant à se retrouver le mardi 18 octobre pour la prochaine manifestation, organisée cette fois par les syndicats. Jean-Luc Mélenchon s'est exprimé depuis le camion amiral pendant la manifestation (pour dénoncer le recours au 49-3 et la réforme des retraites), mais il n'a pas pris le micro à Bastille.

Lors de son allocution, il se tournait déjà vers le 18 octobre, présentant la manifestation qui s'annonce comme l'occasion de créer « la conjonction de la mobilisation populaire, de la mobilisation syndicale et de la crise institutionnelle », ce qui revient à admettre que le 16 octobre n'a pas atteint cet objectif. Sur son compte Twitter, il parlait au soir du défilé d'un « immense succès ». Il est vraiment permis de se demander s'il y croit lui-même.

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usé et surtout trop vieux  comme un peu ses extrémistes de tous poil comme le fameux ZEMMOUR arrivé comme un cheveux sur la soupe aigre de cette classe politique très médiocre qui n’a été qu'un pétard mouillé qui s'est éteint ou mêmes ces autres extrémistes vers écolos empêcheurs de tourner en rond illuminés  et M.LE PEN cette leader charismatique de son RN ex front national qui aiguillonnait les pouvoirs en place de ces dernières décennies car n'éyant été seule a le faire faisant partie des vieux meubles de la classe politique française  usée comme la V eme république en essayant de retrouver une honorabilité de parti politique dite normale !

Pour autant les Français ne la plébiscitaient pas pour être présidente par une peur de cette extrême droite que l'on dit infréquentable (surtout pour ceux qui l'on connus chez nos anciens dans l'occupation pendant notre dernière grande guerre mondiale !)

Pour autant MACRON bien que beaucoup de ces Français ne l'aiment pas car élu une 1ere fois par defaut et opportunisme du fait qu'il n'avait aucun opposant chez les politiciens de tous bords en 2017 et son prédécesseur qui ne se représentait pas !?

Là ce qui est moins compréhensible après un 1er quinquennat médiocre passé et sa réélection par defaut de la part des Français qui est une mauvaise habitude ancienne déjà commise avec les septennats de MITTERAND ou CHIRAC ce qui fait penser que les Français sont trop gâtés ?!

Qui râlent et manifestent après chaque présidentielle ne sachant plus pour qui voter et choisir ce qui leur conviendrait et en fait savent bien que ce n'est pas MELENCHON semeur de trouble qui ne roule que pour lui tirant la couverture à lui qui les sortira de l'ornière par leur votes nuls depuis + de 30 ans !

jdeclef 17/10/2022 14h27 LP


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