vendredi 14 octobre 2022

C’est vrai le Gaulois MARTINEZ aboyeur de foire syndicaliste comme d’autres élus de partis politiques connus inutiles nous manquait !?

 

Coignard – L’épouvantail de la « grève générale »

CHRONIQUE. En parler jamais, en rêver toujours : tel est l’état d’esprit de la CGT à l’égard de la grève générale, mot d’ordre révolutionnaire d’un emploi délicat.

LA RENTREE SOCIALE S’EST FAIT ATTENDRE MAIS LA SACRO SAINTE VOITURE DES FRANÇAIS ET LE MANQUE D’ESSENCE L’A RALLUMEE LES GILETS JAUNES AVAIENT MONTRES LA VOIE MAIS C’ETAIT POUR LE PRIX DU LITRE DE CARBURANT EN FAIT LES PROTESTATIONS VARIENT PEU A CROIRE QUE NOS CONCITOYENS PREFERENT SE PRIVER DE MANGER OU AVOIR FROID PLUTÔT QUE DE NE PAS POUVOIR ROULER DANS LEURS VEHICULES POURTANT C’EST UN TOUT ET C’EST POURQUOI ON LES DIT TROP GATES ?!

Il fallait entendre Philippe Martinez, ce jeudi matin, sur RMC. Le numéro un de la CGT pour encore quelques mois choisissait soigneusement ses mots à propos de la journée d'action qu'il s'apprêtait à lancer pour mardi prochain, le 18 octobre. Grève générale ? lui demandait la journaliste Apolline de Malherbe. Il refusait de reprendre l'expression à son compte et préférait appeler à une « généralisation de la grève ». Pourtant, la charte d'Amiens, sorte de Constitution de la CGT adoptée en 1906, y fait expressément référence : le syndicalisme « préconise comme moyen d'action la grève générale », peut-on y lire noir sur blanc.

Mercredi dernier, la députée écologiste Sandrine Rousseau n'avait pas ces pudeurs de gazelle : « J'espère que ce sera l'étincelle qui déclenchera un mouvement de grève générale parce que la colère dans le pays est telle que je pense qu'il y a vraiment matière à bloquer », disait-elle au micro de France Info à propos du mouvement social dans les raffineries et les dépôts de carburants.

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L'apanage de Sandrine Rousseau

Dans notre monde moderne, c'est une députée écolo féministe coutumière des dérapages plus ou moins contrôlés qui s'enflamme à la simple évocation d'une « grève générale », tandis que le patron de la centrale syndicale spécialisée depuis toujours dans la lutte des classes ne consent nullement à s'approprier l'expression. Étrange paradoxe, en apparence seulement.

La grève générale est une arme dangereuse à manier, pour plusieurs raisons. Son objectif final, tout d'abord : il ne s'agit pas seulement d'exposer des revendications mais de mettre un pays à genoux pour renverser le pouvoir en place. Le dernier exemple en date, Mai 68, montre que la « chienlit » qui en résulte peut finir par déplaire aux Français. Après des semaines de paralysie, la dissolution est annoncée par le général de Gaulle sous l'influence de son Premier ministre, Georges Pompidou. Au terme d'une courte campagne, le pouvoir est conforté dans les urnes. Le maintien de la grève générale dans la durée n'est pas garanti non plus : qui est prêt à « tenir » et pour combien de temps ? Sa coordination, enfin, est un art difficile : comment canaliser tous les mécontentements, toutes les colères dans l'espace et dans le temps ? Et pour quel résultat ?

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Tout syndicaliste qui se respecte est conscient qu'une grève réussie est une grève que l'on peut gagner. Or ce sont pour l'instant les abonnés aux mouvements sociaux, essentiellement titulaires d'un emploi protégé, comme à la SNCF ou à la RATP, qui cesseront le travail mardi prochain. Les autres, même les plus mécontents, suivront le mouvement par procuration, comme ce fut le cas durant l'hiver 1995. Le patron de la CFDT, Laurent Berger, a d'ailleurs dit hier son opposition à une telle initiative : « L'appel à la grève générale dont on parle, ça change quoi concrètement ? Pour les travailleurs les plus modestes, rien », a-t-il déclaré sur France Inter hier midi.

Voilà pourquoi Philippe Martinez se montre prudent. Il ne peut pas se permettre de se retrouver dans la position de Sandrine Rousseau quand elle a lancé son signe de ralliement féministe en plein hémicycle la semaine dernière… et qu'elle s'est retrouvée bien seule, en proie au ridicule.

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La CGT est un syndicat anachronique d'après-guerre qui ne fait que de la mauvaise politique politicienne pas du syndicalisme à l'image de son leader national qui va enfin passer la main en espérant que son ou sa remplaçante sera moins jusqu'au-boutiste borné car ce syndicat est devenu surtout un ramassis de d’empêcheurs de tourner en rond comme certains partis politiques habituels de cette classe politique d'une médiocrité lamentable c'est d'ailleurs pour cela qu'il a perdu la première place dans les syndicats (qu'on disait ouvriers avant) remplacé par des salariés employés techniciens qui mieux formés et éduqués ont évolués correspondant mieux à la population française actuelle qui écoute de moins en moins les syndicats hors sol pas au fait de leurs demandes ou protestations qui s'adressent plus à nos dirigeants et gouvernements considérés de plus en plus pour des incapables incompétents imprévoyants irresponsables qui sont très loin d'aider de comprendre les français lambda qui galèrent sans cesse et n’arrivent pas à changer ou à trouver des politiciens qu'ils élisent et réélisent mal car reprenant toujours les mêmes dans cette V eme république obsolète devenue monarchique digne de l'ancien régime qu'on traine comme des boulets ancestraux et des présidents que nous élisons et à qui on a donné trop de pouvoir qu'ils utilisent mal !

Soit + 30 ans après le miterrandisme qui fut un échec et dont on paie encore les conséquences à chaque rentrée après les congés d'été qui amène des mouvements sociaux d’automne et là en plus après une pandémie pas finie de cette Covid et 8 eme vague qui repart on hérite d'une guerre larvée à nos frontières toujours à cause de nos dirigeants imprévoyants qui n'ont pas  bougé assez vite contre ce dictateur russe avec des crises énergétiques économiques et inflationnistes induites que nos élus de tous bords sont incapables de régler et nous pauvres français niais trop gâtés on fait la queue pour mettre de l'essence dans nos véhicules !?

Pauvre France !

Jdeclef 14/10/2022 10h41


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