FOG
– La dépression du président
ÉDITO. Loin d’être une personnalité forte et
dominatrice, Macron, empêtré dans les différentes crises, semble avoir baissé
les bras.
VOILA A
QUOI SERT DE NE PLUS SAVOIR CHOISIR ET VOTER POUR DES POLITICIENS DE TOUS BORDS
MEDIOCRES DE CETTE CLASSE POLITIQUE LAMENTABLE DEPUIS DES SEPTENNATS ET
QUINQUENNATS POUR ELIRE DES CHEFS D’ETAT QUI SE PRENNENT POUR DES MONARQUES DANS
CETTE VEME REPUBLIQUE DEVENUE MONARCHIQUE DIGNE DE L’ANCIEN REGIME ANCESTRAL
DONT ON N’ARRIVE PAS À SE DEBARASSER MALGRE UNE REVOLUTION ANCIENNE QUI A FAIT
LONG FEU EN NOUS REDONNANT DES EMPIRES NAPOLEONIENS SUIVI DE REPUBLIQUES SANS
PRESIDENT AVEC GOUVERNEMENT INSTABLE ET CETTE DERNIERE VEME GAULIENNE USEE
OBSOLETE QUI POUSSENT LES FRANÇAIS A VOTER COMME DES ANES ?!
MACRON
EST UN PERDANT PAS UN GAGNANT CA C’EST SUR TANT PIS POUR NOUS CAR C’EST DE
NOTRE FAUTE À NOUS TOUS FRANCAIS !
Est-ce la France ou le président qui est en dépression
? Les deux. Alors que notre pays est entré dans un de ces
psychodrames sociaux qui rythment son histoire récente, Emmanuel Macron semble
en pilotage automatique, la tête ailleurs.
Président n'est pas un métier facile, surtout
en France, nation émeutière, monarchiste et régicide. Ce travail consiste, pour
l'essentiel, à prendre des horions ou des coups de pied dès que le temps se
couvre. Depuis le soir de sa réélection, Macron semble avoir épuisé les joies
de la fonction.
Malmenés que nous sommes par la «
cégécécité », syndrome développé par un syndicat absurde qui a déjà détruit une
partie du tissu industriel français, on peut comprendre la mélancolie
présidentielle. La panne d'essence qui frappe la France, ces jours-ci, s'est
doublée d'une panne de la raison.
Cégétiste ou insoumise, l'extrême
gauche n'est plus de ce monde. Que Philippe Martinez , le secrétaire général,
ait osé dire, après être rentré d'urgence de Naplouse, qu'il avait dû «
se faufiler » pour « échapper » aux «
balles des militaires israéliens » qui, après enquête, n'existaient
que dans son imagination, voilà bien le signe qu'il vit comme ses épigones dans
un monde fantasmagorique. Ces bouffons veulent nous convaincre que la France -
où tout ne va certes pas bien - vit toujours à l'heure de Germinal.
Et ils font pleurer Margot sur le sort des affidés de la CGT qui gagnent quand
même au moins quatre fois le smic net (en moyenne) mais qui ont bloqué les raffineries,
dans une grève « préventive », avant les négociations annuelles. Bien installés
dans leurs places stratégiques, les cégétistes font d'abord grève contre
l'État, pour le grand soir. Contrairement à ce que pensent nos chers confrères
qui ne donnent jamais la parole aux autres, leur centrale n'est plus le premier
syndicat français mais le deuxième, après la CFDT .
Comment réformer un pays qui est
champion du monde de la grève, de la dépense publique et de la consommation
d'antidépresseurs, trois records qui sont peut-être liés ? Avant de les brûler,
notre pays adore les personnalités fortes, sûres d'elles-mêmes et dominatrices,
qui savent où elles vont. Macron n'est pas de ce bois-là, et c'est tout son
problème. Sur la plupart des sujets, il flotte, godille, cabote. Il fait songer
aux trois sœurs de Tchekhov qui, dans la pièce éponyme, rêvent d'aller à
Moscou, la ville de leur enfance heureuse, mais ne font rien pour réaliser leur
projet. Elles parlent, elles procrastinent et le temps passe.
Où va Macron ? Que veut-il ? À force de
se fuir et de se chercher « en même temps », il en est réduit à faire du
surplace en se contemplant dans son beau miroir. Au début de ce second mandat
apparemment mal engagé, on se demande si là n'est pas la principale activité de
cet homme qui, tel Narcisse, est retranché du monde et absent de lui-même. D'où
ce sentiment diffus que le pays n'est pas gouverné, tandis que les dossiers
s'accumulent. D'où l'atmosphère crépusculaire qui règne aujourd'hui en France.
Comme le jongleur qui a perdu ses boules mais
continue à faire le geste de les lancer en l'air, Macron est dans le déni.
C'est pitié de voir un homme aussi brillant - à l'oral s'entend - comme «
empêché » par Dieu sait quoi, une dépression, une inaptitude à trancher, une
main qui tremble devant les défis à relever. Alors que les mauvaises nouvelles
nous gâchent de plus en plus souvent nos matins, observez comme il a parfois le
regard fixe du lapin devant les phares de la voiture qui fonce à toute blinde sur
lui.
La neurasthénie est une affection que
le Larousse définit comme « un état de fatigabilité physique et
psychique extrême ». À ne pas confondre avec l'aboulie qui, selon
le même dictionnaire, est un « affaiblissement de la volonté ».
Si Macron est atteint seulement de la première et non de la seconde, tout n'est
pas perdu. Il contre-attaquera un jour. Il est assez probable que, devant les
frondes à répétition de l'Assemblée nationale, il finira par dissoudre l'année
prochaine. Sera-t-on bien avancé pour autant ?
« Un tsunami de délocalisations et de faillites »,
provoqué par la crise de l'énergie, pourrait, selon Laurent Wauquiez , l'un de
nos présidentiables, président de la région Auvergne-Rhône-Alpes, faire office
de « choc terminal de désindustrialisation ». Il aurait
fallu y penser avant de déstabiliser notre filière nucléaire. Au pouvoir macroniste
de réparer ses fautes.
La réindustrialisation, voilà une
grande cause nationale pour laquelle il faut se réveiller enfin et mobiliser
tout le monde. Puisse Macron en finir avec sa gestion ectoplasmique et
s'attaquer à tous les problèmes, à commencer par le délitement de l'autorité,
qui sont en train, à bas bruit, de déstructurer notre société. Gouverner, ce
n'est pas seulement choisir. C'est aussi anticiper.
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En tant
que président incapable de décider qui procrastine sans cesse par ces
bavardages et discours creux en voulant jouer au bienpensant donneur de leçon
hypocrite mauvais monarque à qui on a donné trop de pouvoir comme des idiots qu'il
dédaigne et que nous avons réélu dans cette V eme république monarchique
obsolète de cette Pauvre France qui régresse !
Avec le
fait qu'il est incapable de nous protéger dans une situation internationale
hyper tendue et des crises économiques inflationnistes et énergétiques !
Certains
diront qu'il y en avait d'autres pas meilleurs avant lui ce qui n'est pas faux
mais prouve depuis 40 ans que les Français ne savent pas choisir dans une
classe politique lamentable de ces politiciens médiocres de tous bords et ne
savent plus voter en réfléchissant mieux qu’ils le font et la France continue à
glisser vers le fond qui se rapproche mais pas assez parce qu'ils ne s'en
rendent pas compte encore (peut être encore trop gâtés mais cela ne va pas
durer !?)
Alors
s'il fait une dépression qu'il consulte ou demande à son épouse de le
requinquer car bien des Français dont le nombre augmente ont autre chose à
faire que se regarder le nombril comme ce petit bourgeois élu par défaut et
opportuniste !
jdeclef 22/10/2022
11h30
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