samedi 22 octobre 2022

Ou a-t-on vu qu'E.MACRON ait levé les bras (donc pourquoi les baisser alors?) Les Français qui ne savent que râler votent si mal que c'est devenu une maladie incurable

 

FOG – La dépression du président

ÉDITO. Loin d’être une personnalité forte et dominatrice, Macron, empêtré dans les différentes crises, semble avoir baissé les bras.

VOILA A QUOI SERT DE NE PLUS SAVOIR CHOISIR ET VOTER POUR DES POLITICIENS DE TOUS BORDS MEDIOCRES DE CETTE CLASSE POLITIQUE LAMENTABLE DEPUIS DES SEPTENNATS ET QUINQUENNATS POUR ELIRE DES CHEFS D’ETAT QUI SE PRENNENT POUR DES MONARQUES DANS CETTE VEME REPUBLIQUE DEVENUE MONARCHIQUE DIGNE DE L’ANCIEN REGIME ANCESTRAL DONT ON N’ARRIVE PAS À SE DEBARASSER MALGRE UNE REVOLUTION ANCIENNE QUI A FAIT LONG FEU EN NOUS REDONNANT DES EMPIRES NAPOLEONIENS SUIVI DE REPUBLIQUES SANS PRESIDENT AVEC GOUVERNEMENT INSTABLE ET CETTE DERNIERE VEME GAULIENNE USEE OBSOLETE QUI POUSSENT LES FRANÇAIS A VOTER COMME DES ANES ?!

MACRON EST UN PERDANT PAS UN GAGNANT CA C’EST SUR TANT PIS POUR NOUS CAR C’EST DE NOTRE FAUTE À NOUS TOUS FRANCAIS !

Est-ce la France ou le président qui est en dépression ? Les deux. Alors que notre pays est entré dans un de ces psychodrames sociaux qui rythment son histoire récente, Emmanuel Macron semble en pilotage automatique, la tête ailleurs.

Président n'est pas un métier facile, surtout en France, nation émeutière, monarchiste et régicide. Ce travail consiste, pour l'essentiel, à prendre des horions ou des coups de pied dès que le temps se couvre. Depuis le soir de sa réélection, Macron semble avoir épuisé les joies de la fonction.

Malmenés que nous sommes par la « cégécécité », syndrome développé par un syndicat absurde qui a déjà détruit une partie du tissu industriel français, on peut comprendre la mélancolie présidentielle. La panne d'essence qui frappe la France, ces jours-ci, s'est doublée d'une panne de la raison.

Cégétiste ou insoumise, l'extrême gauche n'est plus de ce monde. Que Philippe Martinez , le secrétaire général, ait osé dire, après être rentré d'urgence de Naplouse, qu'il avait dû « se faufiler » pour « échapper » aux « balles des militaires israéliens » qui, après enquête, n'existaient que dans son imagination, voilà bien le signe qu'il vit comme ses épigones dans un monde fantasmagorique. Ces bouffons veulent nous convaincre que la France - où tout ne va certes pas bien - vit toujours à l'heure de Germinal. Et ils font pleurer Margot sur le sort des affidés de la CGT qui gagnent quand même au moins quatre fois le smic net (en moyenne) mais qui ont bloqué les raffineries, dans une grève « préventive », avant les négociations annuelles. Bien installés dans leurs places stratégiques, les cégétistes font d'abord grève contre l'État, pour le grand soir. Contrairement à ce que pensent nos chers confrères qui ne donnent jamais la parole aux autres, leur centrale n'est plus le premier syndicat français mais le deuxième, après la CFDT .

Comment réformer un pays qui est champion du monde de la grève, de la dépense publique et de la consommation d'antidépresseurs, trois records qui sont peut-être liés ? Avant de les brûler, notre pays adore les personnalités fortes, sûres d'elles-mêmes et dominatrices, qui savent où elles vont. Macron n'est pas de ce bois-là, et c'est tout son problème. Sur la plupart des sujets, il flotte, godille, cabote. Il fait songer aux trois sœurs de Tchekhov qui, dans la pièce éponyme, rêvent d'aller à Moscou, la ville de leur enfance heureuse, mais ne font rien pour réaliser leur projet. Elles parlent, elles procrastinent et le temps passe.

Où va Macron ? Que veut-il ? À force de se fuir et de se chercher « en même temps », il en est réduit à faire du surplace en se contemplant dans son beau miroir. Au début de ce second mandat apparemment mal engagé, on se demande si là n'est pas la principale activité de cet homme qui, tel Narcisse, est retranché du monde et absent de lui-même. D'où ce sentiment diffus que le pays n'est pas gouverné, tandis que les dossiers s'accumulent. D'où l'atmosphère crépusculaire qui règne aujourd'hui en France.

Comme le jongleur qui a perdu ses boules mais continue à faire le geste de les lancer en l'air, Macron est dans le déni. C'est pitié de voir un homme aussi brillant - à l'oral s'entend - comme « empêché » par Dieu sait quoi, une dépression, une inaptitude à trancher, une main qui tremble devant les défis à relever. Alors que les mauvaises nouvelles nous gâchent de plus en plus souvent nos matins, observez comme il a parfois le regard fixe du lapin devant les phares de la voiture qui fonce à toute blinde sur lui.

La neurasthénie est une affection que le Larousse définit comme « un état de fatigabilité physique et psychique extrême ». À ne pas confondre avec l'aboulie qui, selon le même dictionnaire, est un « affaiblissement de la volonté ». Si Macron est atteint seulement de la première et non de la seconde, tout n'est pas perdu. Il contre-attaquera un jour. Il est assez probable que, devant les frondes à répétition de l'Assemblée nationale, il finira par dissoudre l'année prochaine. Sera-t-on bien avancé pour autant ?

« Un tsunami de délocalisations et de faillites », provoqué par la crise de l'énergie, pourrait, selon Laurent Wauquiez , l'un de nos présidentiables, président de la région Auvergne-Rhône-Alpes, faire office de « choc terminal de désindustrialisation ». Il aurait fallu y penser avant de déstabiliser notre filière nucléaire. Au pouvoir macroniste de réparer ses fautes.

La réindustrialisation, voilà une grande cause nationale pour laquelle il faut se réveiller enfin et mobiliser tout le monde. Puisse Macron en finir avec sa gestion ectoplasmique et s'attaquer à tous les problèmes, à commencer par le délitement de l'autorité, qui sont en train, à bas bruit, de déstructurer notre société. Gouverner, ce n'est pas seulement choisir. C'est aussi anticiper.

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En tant que président incapable de décider qui procrastine sans cesse par ces bavardages et discours creux en voulant jouer au bienpensant donneur de leçon hypocrite mauvais monarque à qui on a donné trop de pouvoir comme des idiots qu'il dédaigne et que nous avons réélu dans cette V eme république monarchique obsolète de cette Pauvre France qui régresse !

Avec le fait qu'il est incapable de nous protéger dans une situation internationale hyper tendue et des crises économiques inflationnistes et énergétiques !

Certains diront qu'il y en avait d'autres pas meilleurs avant lui ce qui n'est pas faux mais prouve depuis 40 ans que les Français ne savent pas choisir dans une classe politique lamentable de ces politiciens médiocres de tous bords et ne savent plus voter en réfléchissant mieux qu’ils le font et la France continue à glisser vers le fond qui se rapproche mais pas assez parce qu'ils ne s'en rendent pas compte encore (peut être encore trop gâtés mais cela ne va pas durer !?)

Alors s'il fait une dépression qu'il consulte ou demande à son épouse de le requinquer car bien des Français dont le nombre augmente ont autre chose à faire que se regarder le nombril comme ce petit bourgeois élu par défaut et opportuniste !

jdeclef 22/10/2022 11h30


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