dimanche 30 octobre 2022

Il y a assez de ces ex-présidents nuls et autres politiciens de tous bords comme BAYROU par exemple qui se sont fait bouler par les électeurs Français de cette classe politique d'une médiocrité lamentable :

 

Pourquoi Sarkozy est devenu un boulet pour Macron

CARNETS DU DIMANCHE. LR sont partagés : faut-il – ou pas – saisir la main tendue par Emmanuel Macron sur les conseils de l'ancien président ? Avis de tempête dans les crânes.

CE FIER TOUJOURS AUX MEMES POLITICIENS ELUS DE TOUS BORDS DE CETTE CLASSE POLITIQUE USEE ET UNE ERREUR ET UNE MAUVAISE HABITUDE DES FRANCAIS LAMBDA CE N’EST PAS COMME CELA QU’ILS AURONT LES CHANGEMENTS QU’Il RECLAMENT DEPUIS PLUS DE 40 ANS !?

Il est toujours périlleux pour un président de promettre, à l'approche d'une émission de télévision, un « exercice de pédagogie ». C'est déjà avouer qu'on a du mal à se faire comprendre. La prestation d'Emmanuel Macron, mercredi soir sur France 2, a montré un président à la recherche d'une cohérence, préoccupé d'expliquer qu'en dépit des tourmentes qui s'enchaînent, sa politique a gardé le même cap. « Objectivement, les crises l'ont aidé à se faire réélire, mais maintenant, elles l'empêchent de donner de la lisibilité à ce qu'il fait : il est toujours en réaction, il faudrait qu'il se montre en action », me confiait la veille un ministre important.

Le résultat ? La forme était plutôt réussie, jusque dans son hommage (inconscient ?) à Giscard quand il a brandi ses graphiques, mais l'efficacité en est incertaine : là où le candidat de 2017 portait la promesse d'une « modernisation » du pays, le chef d'État de 2022 ne parle plus que de « protection » – notamment pour justifier sans le dire ses revirements sur le « protectionnisme européen », qu'il appelle de ses vœux, ou sur l'immigration, qu'il dit vouloir maîtriser en promettant une nouvelle loi (celle dont l'examen a été différé par Élisabeth Borne pour s'ouvrir « au premier semestre »). Difficile, dans ces conditions, de prôner la continuité dans un monde en plein bouleversement.

Bonne audience pour France 2, mais pas pour un président

De même, Macron semble encore hésiter sur son positionnement institutionnel : veut-il rester en surplomb pour fixer les grandes perspectives et arbitrer, ou bien descendre dans l'arène et se coltiner en personne les difficultés au côté des Français qui les subissent ? Présider ou gouverner ? Les deux « en même temps », apparemment. Mais pourquoi parler à la télévision sans une seule grande annonce à sortir de son chapeau ? La Première ministre a présenté le lendemain de nouvelles aides pour les entreprises et les collectivités face à la hausse des prix de l'énergie – fallait-il vraiment lui laisser cette priorité ?

« Macron veut un accord avec LR pour sauver son quinquennat »

« Il veut l'aider à s'imposer », m'explique simplement le même ministre. Admettons. Mais alors, peut-être était-ce à elle de brandir des tableaux devant Caroline Roux. Macron n'a en tout cas pas attiré les foules : 4 millions de téléspectateurs, c'est beaucoup pour une émission politique, peu pour un président récemment réélu.

Deux moments de clarification me semblent tout de même devoir être retenus. D'abord, son coup de colère (bien préparé mais vivifiant) sur la motion de censure votée conjointement par la gauche et le RN, dont il s'est servi pour s'adresser aux électeurs « socialistes, écologistes et communistes » – parions qu'il aura l'occasion de le refaire. Ensuite, la réforme des retraites, qu'il a défendue avec conviction et qu'il est décidé à maintenir, quitte à en amodier les termes, mais sans descendre en dessous de 64 ans (rappelons toujours que l'Allemagne a déjà reculé l'âge de départ à 67 ans).

Pour cela, il lui faudra les voix de la droite et pour la première fois, il a déclaré à ce propos : « Je souhaite qu'il y ait une alliance. » De cela aussi, on peut supposer qu'il aura à reparler dans les mois à venir. Quand arriveront les textes sur l'immigration et la sécurité, les Républicains devront eux aussi trouver une cohérence : entre leurs idées et leurs votes.

Tous les observateurs ont bien sûr souligné que cet appel explicite à un élargissement de la majorité (il a aussi mentionné le groupe centriste Liot) survenait au lendemain de la proposition d'un « accord politique » formulée par Nicolas Sarkozy dans le JDD. L'enchaînement chronologique peut donc sembler cousu de fil blanc. Sauf qu'à y regarder de plus près, le rapprochement suggéré par Sarkozy est fragilisé… par Sarkozy !

Les députés LR n'ont d'ailleurs pas tardé à exprimer leur désaccord avec sa proposition. « Sarkozy reste une référence pour nous, mais il n'a plus la même capacité d'entraînement, son leadership ne pèse plus comme avant », m'expliquait récemment Gilles Platret, vice-président de LR, peu après son entrevue avec l'ancien président.

« On le fera plus facilement sans lui »

Le fait est que, depuis qu'il a refusé de soutenir Valérie Pécresse à l'élection présidentielle, Sarkozy a perdu beaucoup de crédit dans son parti. « S'être laissé submerger par ses émotions a nui à son autorité ; il n'a pas voulu appeler à voter pour Pécresse parce qu'il ne l'a jamais aimée et surtout, parce qu'il savait qu'elle allait perdre. Maintenant, nos militants disent : “Sarkozy, il ne pense qu'à lui” », m'a soufflé avec regret un de ses partisans de toujours. Façon d'admettre que sa proposition d'accord avec Macron ressemble davantage à un cadeau fait à Macron qu'à une porte de sortie pour LR.

Résultat : ceux qui, au sein de LR, peuvent être tentés d'épauler Macron dans la difficulté ne veulent surtout pas avoir l'air de suivre Sarkozy. C'est par exemple le cas de Gérard Larcher. Le président du Sénat a envoyé plusieurs signaux clairs vers l'Élysée et Matignon pour élaborer des consensus sur certains textes à venir (la sécurité et les retraites, en premier lieu). Il ne rate pas une occasion de dire à quel point il apprécie la relation de travail avec Élisabeth Borne ni de sermonner les élus de droite tentés par la surenchère avec le RN et la Nupes. « Si on doit sceller des accords, on le fera plus facilement avec Larcher, qui a un vrai statut à droite, qu'avec Sarkozy », diagnostique crûment un macroniste de haut rang.

Coignard – Macron tend la main aux LR : merci, mais non merci !

Le pari de l'ex-président était, on s'en souvient, d'apporter à Macron quelques cohortes de députés LR dès avant la présidentielle. Il a échoué. Aujourd'hui, des passerelles existent en dehors de lui entre la macronie et la droite, via l'influence personnelle de Gérald Darmanin, Sébastien Lecornu et Thierry Solère, tous mandatés par l'Élysée pour travailler en coulisse à des rapprochements individuels, et les grands élus du Sud (Renaud Muselier, Christian Estrosi et Hubert Falco) qui ont déjà franchi le Rubicon – d'autres, comme le maire de Toulouse Jean-Luc Moudenc et le président de la région Grand Est Jean Rottner attendent leur heure. Sans compter le sas qu'offre Édouard Philippe à ceux qui ne voudraient pas passer directement de la droite à Macron et chercherait un positionnement de type « soutien critique » – et inutile de préciser qu'il y a peu de sarkozystes au sein d'Horizons…

Même Éric Ciotti, de plus en plus favori pour la présidence de LR, et Laurent Wauquiez, les deux seuls responsables du parti dont Sarkozy dise du bien, sont embarrassés par son initiative. Pour eux, qui veulent incarner une ligne d'opposition intransigeante dans l'espoir d'instaurer un rapport de force (convenons qu'ils en sont loin pour l'instant), toute négociation avec Macron ressemblerait à une compromission.

Quant à ceux qui n'ont d'autre ambition, pour l'heure, que de sauvegarder l'appareil, les fiefs et les moyens qui vont avec, ils sont persuadés que moins ils coopéreront avec le pouvoir, plus leurs électeurs leur resteront fidèles. Pour toutes ces raisons, l'accord politique « en bonne et due forme » proposé par Nicolas Sarkozy a été rejeté « en bonne et due forme » par tous les chefs de la droite. Conclusion de l'un d'entre eux : « Sarkozy fait semblant de vouloir nous rendre service tout en aidant Macron ; en réalité, il ne veut rendre service qu'à lui-même et comme tout le monde le sait, ça n'aide pas Macron. »

Les pleins pouvoirs pour les magistrats ?

Où s'arrêtera l'ivresse de pouvoir qui a saisi les magistrats ? Dans un communiqué stupéfiant diffusé cette semaine pour s'alarmer de la réforme de la police judiciaire présentée par Gérald Darmanin, le Conseil supérieur de la magistrature (CSM) estime que « toute réforme touchant à la PJ dans un État de droit doit respecter un ensemble de garanties » destinées à préserver « l'indépendance de l'autorité judiciaire ». Parmi celles-ci, il mentionne « la direction et le contrôle de la police judiciaire par les magistrats », « le libre choix du service d'enquête par les magistrats du parquet et les juges d'instruction » et « la définition et la mise en œuvre des politiques pénales sur les territoires par les procureurs généraux et les procureurs de la République ».

Emmanuel Macron à la recherche du second souffle

Présentée comme une évidence par ses doctes auteurs, chargés de garantir l'indépendance de la justice, cette affirmation est ni plus ni moins qu'une négation flagrante de notre ordre constitutionnel. Placés sous l'autorité du gouvernement, les parquets n'ont aucunement le pouvoir de « définir » la politique pénale dans notre pays. Ils en sont les exécutants, les relais, parfois les interprètes, en aucun cas les concepteurs – tel est d'ailleurs l'enjeu principal du débat récurrent sur l'indépendance des procureurs. La loi du 25 juillet 2013 définit ainsi les attributions des représentants du ministère public : « En tenant compte du contexte propre à son ressort, le procureur de la République met en œuvre la politique pénale définie par les instructions générales du ministre de la Justice, précisées et, le cas échéant, adaptées par le procureur général. »

Venant après le conflit ouvert avec le garde des Sceaux, Éric Dupond-Moretti, et les plaintes déposées contre lui par les deux principaux syndicats de magistrats qui ont abouti à sa mise en examen et à son renvoi pour être jugé par la Cour de justice de la République, pareil lapsus ne peut qu'attirer l'attention. Que le CSM veille à ce que les enquêtes de la police demeurent sous le contrôle de la justice est sain et légitime. Qu'il s'autorise, ce faisant, à revendiquer la haute main sur la politique pénale en France relève au mieux d'un abus de langage, au pire d'un abus de pouvoir. Emmanuel Macron, que la Constitution charge de garantir « le fonctionnement régulier des pouvoirs publics », ne devrait pas laisser sans réponse un tel dérapage.

-----------------------------------------------------------------------------------------------------------------

Il y a assez de ces ex-présidents nuls et autres politiciens de tous bords comme BAYROU par exemple qui se sont fait bouler par les électeurs Français de cette classe politique d'une médiocrité lamentable

Avec en plus pour certains avec des casseroles qu'ils trainent encore en attente que la justice passe !?

Ils ont été battus qu'ils profitent de leur retraite grassement payée par les FRANÇAIS qui ont besoin de changement qu'ils réclament depuis des décennies partout y compris cette Veme république qu'il faut réformer en changeant ses institutions en faisant place nette car grabataire et obsolète devenue monarchique comme les gouvernements qui la composent depuis les derniers quinquennats et avant depuis + 40 ans !

Car notre président qu'ils ont réélu par défaut par manque de choix dans cette classe politique de tous bords lamentable et par le fait d'une situation internationale plus que tendue avec une guerre à nos frontières dont ils ne prennent pas encore la mesure du risque évident et des crises économiques inflationnistes en augmentation + 6,2 % et énergétiques qu'ils ne sentent pas encore assez par un été indien exceptionnel mais qui ne durera pas jusqu'en 2023 qui vont leur revenir dans la face avec les vœux du président qui se moquera encore d'eux (car ayant déjà prévenu du serrage de ceinture) avec un discours de plus alambiqué dont il a le secret qui ne sortira pas la France de l’ornière ni les français bien sûr !?

Car le prix des denrées alimentaires prennent de la température très vite aux fils des semaines  et comme dit le proverbe (« quand il n'y a plus de foin aux râteliers les chevaux se battent ») car un peuple qui a faim c'est difficile à raisonner et notre petit président bourgeois bon chic bon genre risque de subir un vent glacial d'hiver car il n'a pas donné l'impression d'avoir des solutions efficaces pendant son 2 eme passage à la télévision publique à 20h20 lui étant là jusqu'en 2027 (peut-être ..!?) Si son gouvernement tient !?

Jdeclef 30/10/2022 17h17

+++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire