Coignard –
49.3 : beaucoup d’émoi pour rien !
CHRONIQUE.
Le 49.3 ? Un geste attendu, qui déclenche de la part de l’exécutif et des
oppositions des torrents de dramaturgie qui n’ont pas lieu d’être.
EN FRANCE
ON BAVARDE TROP ET ON N’AVANCE PAS ON PIETINNE CAR AYANT TROP DE PROBLEMES QUI S’ACCUMULE
DE TOUT ORDRE QUE NOS DIRIGEANTS OU ELUS DEPASSES SONT INCAPABLES DE GERER OU
REGLER INTERNATIONAUX OU NATIONAUX !
C'est la chronique d'un 49.3 annoncé.
Depuis l'été, les oppositions, LR compris, ont annoncé qu'elles ne voteraient
pas le budget, quelle qu'en soit la teneur. Restait, pour l'exécutif, à en
fixer les modalités. Déclenchement rapide, pour en finir vite et éviter des
heures de débat de pure forme, puisque le vote n'aurait pas lieu. Temporisation,
pour ne pas tomber dans la caricature du pouvoir solitaire qui n'écoute ni ne
dialogue.
C'est le second scénario, désiré par la Première ministre, qui l'a emporté.
Avec l'espoir de faire des oppositions, et notamment à La France insoumise, des
fauteurs de blocage. Car, au bout du compte, le seul suspense consistait à
savoir qui porterait, aux yeux de l'opinion, la responsabilité de ce passage en
force. C'est pour cette raison que Gabriel Attal, le ministre des Comptes
publics, a lancé les « Dialogues de Bercy », où il invitait les
parlementaires des commissions des Finances à discuter, en amont, des
orientations du texte. C'est pour cette raison aussi que les oppositions,
initialement peu enclines à se rendre à ce rendez-vous, ont consenti à l'honorer,
afin de ne pas donner le sentiment de faire de l'anti-jeu.
« On
rentre dans le dur » : l'exécutif sur un volcan
La comédie de la dramatisation
Chacun a tenu son rôle jusqu'au bout dans cette comédie de la dramatisation.
Les députés de la majorité présidentielle ont trouvé le leur un peu exigeant,
avec cette obligation de présence dans l'hémicycle destinée à éviter que les mises
en minorité se multiplient. Ceux de l'opposition n'ont pas surjoué
l'obstruction, afin de compliquer la tâche de la Première ministre quand
elle déclencherait l'arme fatale.
Il est un peu plus de 17 heures ce mercredi. « Les oppositions ont
toutes réaffirmé leur volonté de rejeter le texte. En responsabilité, nous
devons donner un budget à notre pays », déclare Élisabeth Borne devant les
députés. « Aussi, sur le fondement de l'article 49 alinéa 3 de
la Constitution, j'engage la responsabilité de mon gouvernement pour la
première partie du projet de loi de finances pour 2023. »
Budgets :
jusqu'à neuf 49.3 en perspective…
Aussitôt, la dramaturgie reprend. « Déni de
démocratie », s'indigne Fabien Roussel, secrétaire national du PCF.
« Coup de force antidémocratique », dénonce le président LFI de la
commission des Finances à l'Assemblée, Éric Coquerel. Trahison « de la
volonté populaire », tonne Marine Le Pen. Finalement, c'est le président
du groupe LR à l'Assemblée nationale qui a fait preuve de sagesse et de
lucidité, en se contentant de ce commentaire minimaliste : « Ce n'est
pas une surprise. »
En effet ! L'exécutif sait depuis le début qu'il sera accusé de mépris
envers le Parlement. Les oppositions n'ignorent pas qu'elles risquent de se
voir reprocher tout refus du compromis. C'est la dure loi de la majorité
relative à l'Assemblée nationale, qu'avait éprouvée, de manière certes moins aiguë,
Michel Rocard à la fin des années 1980. L'ancien Premier ministre a eu
recours à l'article 49.3 vingt-huit fois pendant les trois années
qu'il a passées à Matignon. Il serait donc temps, pour tous les acteurs du
débat parlementaire, majorité comme opposition, d'être économes de leurs émois.
--------------------------------------------------------------------------------------------------------------------
Car même
si le gouvernement tombait Le président en nommerait un autre équivalent à la
politique politicienne déplorable de ces élus de tous bords qui ne font que
bavarder comme des empêcheurs de tourner en rond !
Car les
Français qui élisent un président qui peut changer de gouvernement comme il le
veut lors des remaniements présidentiels ou même en cas de dissolution !
Seul le
choix pour les Français c'est d’apprendre à mieux voter ou à choisir un
président à qui il donnent trop de pouvoir à la présidentielle ce qu'ils
n'arrivent pas à faire comme le montre leurs divisions au saint de l'Assemblée
par leurs députés élus !
On est en
pleine crise internationale et nationale économique inflationniste énergétique
et que ce soit nos politiciens de tous bords ou même les français lambda qui ne
font que bavarder en ce regardant le nombril ils sont tous trop gâtés ne se
rendant pas compte que la France régresse et devient un pays de seconde zone
dans la communauté mondiale et c'est lamentable et dangereux quand on voit des
démocratures d'autres pays menaçant les occidentaux avec nos dirigeants hors
sol qui nous gouvernent mal et nous protègent pas car dépassés et pleutres
Jusqu'à un président qui vente la voiture électrique et les conducteurs pendant
ce temps qui font la queue aux stations-services il continue à se moquer de
tout le monde de ces Français qui ne savent
plus choisir ou voter pour des présidents qui gèrent la France et son peuple
qui veut un chef mais qui comme d'autres avant lui ce prend pour un monarque de
l'ancien régime dont on arrive pas à se débarrasser dans cette V eme république
devenue monarchique !
Avec les problèmes
nombreux actuels la France est près d'un abime sans fond et les Français ne
s'en rendent pas encore compte prémices de pire comme en 1929 après 1939
et 2eme guerre mondiale !?
Jdeclef
20/10/2022 12h36LP
+++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire