jeudi 20 octobre 2022

Ce 49/3 fumisterie parlementaire qui ne fait que ralentir les votes des députés sur les sujets importants pour faire avancer la France alors qu’elle n'a pas de temps à perdre

 

Coignard – 49.3 : beaucoup d’émoi pour rien !

CHRONIQUE. Le 49.3 ? Un geste attendu, qui déclenche de la part de l’exécutif et des oppositions des torrents de dramaturgie qui n’ont pas lieu d’être.

EN FRANCE ON BAVARDE TROP ET ON N’AVANCE PAS ON PIETINNE CAR AYANT TROP DE PROBLEMES QUI S’ACCUMULE DE TOUT ORDRE QUE NOS DIRIGEANTS OU ELUS DEPASSES SONT INCAPABLES DE GERER OU REGLER INTERNATIONAUX OU NATIONAUX !

C'est la chronique d'un 49.3 annoncé. Depuis l'été, les oppositions, LR compris, ont annoncé qu'elles ne voteraient pas le budget, quelle qu'en soit la teneur. Restait, pour l'exécutif, à en fixer les modalités. Déclenchement rapide, pour en finir vite et éviter des heures de débat de pure forme, puisque le vote n'aurait pas lieu. Temporisation, pour ne pas tomber dans la caricature du pouvoir solitaire qui n'écoute ni ne dialogue.

C'est le second scénario, désiré par la Première ministre, qui l'a emporté. Avec l'espoir de faire des oppositions, et notamment à La France insoumise, des fauteurs de blocage. Car, au bout du compte, le seul suspense consistait à savoir qui porterait, aux yeux de l'opinion, la responsabilité de ce passage en force. C'est pour cette raison que Gabriel Attal, le ministre des Comptes publics, a lancé les « Dialogues de Bercy », où il invitait les parlementaires des commissions des Finances à discuter, en amont, des orientations du texte. C'est pour cette raison aussi que les oppositions, initialement peu enclines à se rendre à ce rendez-vous, ont consenti à l'honorer, afin de ne pas donner le sentiment de faire de l'anti-jeu.

« On rentre dans le dur » : l'exécutif sur un volcan

La comédie de la dramatisation

Chacun a tenu son rôle jusqu'au bout dans cette comédie de la dramatisation. Les députés de la majorité présidentielle ont trouvé le leur un peu exigeant, avec cette obligation de présence dans l'hémicycle destinée à éviter que les mises en minorité se multiplient. Ceux de l'opposition n'ont pas surjoué l'obstruction, afin de compliquer la tâche de la Première ministre quand elle déclencherait l'arme fatale.

Il est un peu plus de 17 heures ce mercredi. « Les oppositions ont toutes réaffirmé leur volonté de rejeter le texte. En responsabilité, nous devons donner un budget à notre pays », déclare Élisabeth Borne devant les députés. « Aussi, sur le fondement de l'article 49 alinéa 3 de la Constitution, j'engage la responsabilité de mon gouvernement pour la première partie du projet de loi de finances pour 2023. »

Budgets : jusqu'à neuf 49.3 en perspective…

Aussitôt, la dramaturgie reprend. « Déni de démocratie », s'indigne Fabien Roussel, secrétaire national du PCF. « Coup de force antidémocratique », dénonce le président LFI de la commission des Finances à l'Assemblée, Éric Coquerel. Trahison « de la volonté populaire », tonne Marine Le Pen. Finalement, c'est le président du groupe LR à l'Assemblée nationale qui a fait preuve de sagesse et de lucidité, en se contentant de ce commentaire minimaliste : « Ce n'est pas une surprise. »

En effet ! L'exécutif sait depuis le début qu'il sera accusé de mépris envers le Parlement. Les oppositions n'ignorent pas qu'elles risquent de se voir reprocher tout refus du compromis. C'est la dure loi de la majorité relative à l'Assemblée nationale, qu'avait éprouvée, de manière certes moins aiguë, Michel Rocard à la fin des années 1980. L'ancien Premier ministre a eu recours à l'article 49.3 vingt-huit fois pendant les trois années qu'il a passées à Matignon. Il serait donc temps, pour tous les acteurs du débat parlementaire, majorité comme opposition, d'être économes de leurs émois.

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Car même si le gouvernement tombait Le président en nommerait un autre équivalent à la politique politicienne déplorable de ces élus de tous bords qui ne font que bavarder comme des empêcheurs de tourner en rond !

Car les Français qui élisent un président qui peut changer de gouvernement comme il le veut lors des remaniements présidentiels ou même en cas de dissolution !

Seul le choix pour les Français c'est d’apprendre à mieux voter ou à choisir un président à qui il donnent trop de pouvoir à la présidentielle ce qu'ils n'arrivent pas à faire comme le montre leurs divisions au saint de l'Assemblée par leurs députés élus !

On est en pleine crise internationale et nationale économique inflationniste énergétique et que ce soit nos politiciens de tous bords ou même les français lambda qui ne font que bavarder en ce regardant le nombril ils sont tous trop gâtés ne se rendant pas compte que la France régresse et devient un pays de seconde zone dans la communauté mondiale et c'est lamentable et dangereux quand on voit des démocratures d'autres pays menaçant les occidentaux avec nos dirigeants hors sol qui nous gouvernent mal et nous protègent pas car dépassés et pleutres Jusqu'à un président qui vente la voiture électrique et les conducteurs pendant ce temps qui font la queue aux stations-services il continue à se moquer de tout le monde de ces Français  qui ne savent plus choisir ou voter pour des présidents qui gèrent la France et son peuple qui veut un chef mais qui comme d'autres avant lui ce prend pour un monarque de l'ancien régime dont on arrive pas à se débarrasser dans cette V eme république devenue monarchique !

Avec les problèmes nombreux actuels la France est près d'un abime sans fond et les Français ne s'en rendent pas encore compte prémices de pire comme en 1929 après 1939 et 2eme guerre mondiale !?

Jdeclef 20/10/2022 12h36LP

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