lundi 10 octobre 2022

C'est bien çà un des défauts de la France mal gouvernée par des politiciens nuls usés que l'on traine comme des boulets alors qu'on est en pleine crise nationale et internationale !

 

Coignard – Présidentielle : nous sommes déjà en 2027 !

CHRONIQUE. Un président qui ne peut pas être candidat, des prétendants qui jouent des coudes. Pourtant, la France ne peut pas supporter quatre ans de campagne.

ON N’AVAIT BIEN REELU MITERRAND QUI AVAIT RATE SES 2 SEPTENNATS ALORS LES AUTRES AVEC LEURS QUINQUENNATS ILS N’ONT PAS FAIT MIEUX LES FRANCAIS SONT LES PLUS MAL VOTANTS DE L’UNION EUROPEENNE CA CE CONFIRME DOMMAGE QU’IL Y A UNE CRISE INTERNATIONALE A NOS FRONTIERES CAR CES POLITICIENS ILS S'EN FICHENT DE LA FRANCE ET DE SES FRANCAIS D'EN BAS !

Emmanuel Macron vient à peine d'être réélu. Le premier budget du quinquennat n'est pas encore voté. Mais déjà son autorité vacille. Parce qu'interdit de troisième mandat, il ne peut pas être l'acteur principal des grandes manœuvres à venir. Dans son propre camp, les prétendants se bousculent sur la scène politique et dans les médias pour prendre la tête d'une course qui ne démarrera officiellement que dans plus de quatre ans.

Ce sont Édouard Philippe et François Bayrou qui ont fait sensation, chacun à sa façon, ce week-end. L'ancien Premier ministre met en avant sa loyauté depuis son premier jour à Matignon. Un peu trop, peut-être, pour être cru sur parole. Dans une interview au Parisien, il n'en fait pas moins la leçon au chef de l'État, qu'il incite à plus d'audace : « Il faut bouger sur les retraites, bouger beaucoup. » Loyal mais libre, le maire du Havre, selon sa propre expression ? Surtout libre, et de plus en plus.

Exhorter Emmanuel Macron au courage réformateur ne peut sonner que comme une insolence. Surtout quand à cette supplique s'ajoute une déclaration d'indépendance totale vis-à-vis du parti présidentiel. Édouard Philippe prévient : il ne se sent nullement lié au processus de désignation que mettra en place Renaissance, l'ex-LREM, en vue de 2027. Son mouvement Horizons sélectionnera son propre candidat – le suspense est insoutenable ! – sans passer par une case « primaire ». Ainsi, le décor est planté. Celui d'un soutien sans faille au président de la République, mais d'un soutien sous conditions, donc à durée déterminée.

Édouard Philippe milite toujours pour la retraite à 67 ans

Le costume du fringant candidat

Pour qu'on ne l'oublie pas, François Bayrou joue la partition opposée, celle de la concertation et des petits pas. À chacun selon son image. Surtout, il se déclare « prêt » à repartir à l'assaut de l'Élysée. Ni ses trois échecs passés ni son âge en 2027 (76 ans) ne semblent de nature à le dissuader : « Je crois que la France va mal et je crois qu'elle pourrait aller très bien. Et donc je ferai tout ce que je peux et dans toutes les échéances et dans toutes les fonctions nécessaires. » On ne saurait être plus clair. Cela doit faire un drôle d'effet à Emmanuel Macron de voir son aîné de 26 ans sortir de la posture du vieux sage adoptée durant le premier quinquennat pour prendre le costume du fringant candidat que lui-même ne pourra plus être !

Le président a tout le loisir, en conseil des ministres, d'observer d'autres jeux d'ambition. Ceux des ministres de l'Économie et des Finances, d'une part, et de l'Intérieur, d'autre part. Tous deux se montrent irréprochables mais font entendre leur petite musique. Bruno Le Maire tente d'incarner, au long cours, le sérieux budgétaire, Gérald Darmanin l'inflexibilité sécuritaire. Chacun dans son couloir de nage, comme on dit. Pour l'instant, en attendant que bougent les lignes d'eau…

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Tous bords que l'on ne cesse d'élire et réélire de surtout depuis les derniers quinquennats par des Français qui n'ont pas assez de choix et ne savent plus pour qui voter depuis 40 ans en plus et qui ont donné trop de pouvoir à un seul homme ( on voit ce que ça donne ailleurs) et à nos aux présidents en place et surtout le dernier qui ne se gêne plus pour jouer au monarque presque absolu il ne lui manque plus que la couronne décidant de tout nommant des ministres qui même s'ils font des fautes ne sont a pas sanctionnés car en attente de la fameuse présomption d'innocence que l'on adapte en fonction des sujets traités et  de jugement par notre justice si lente (qu'on dit indépendante reste a leurs postes par le bon vouloir de notre majesté ( qui avait pourtant dit le contraire lors de son 1er quinquennat ?)

Notre pays sans s'en rendre compte glisse vers une démocrature qui ne veut pas dire son nom (car ce ne serait pas bien) mais devenue monarchique normal en fait de par notre histoire ancienne qui nous colle aux basques malgré une révolution éphémère mais surtout pour hériter d'empires napoléoniens totalitaires mais dont on applique encore beaucoup de lois de par notre code civil que l'on appelle aussi Napoléon toujours d'actualité bien que modifié par les 4 républiques et la V eme usée et obsolète avec son élection au suffrage universel des derniers présidents depuis le seul valable de Gaulle que les Français n'ont même pas su conserver !

Le dernier en place élu et réélu par défaut étant décevant pour ne pas dire autre chose se comportant presque comme dans une pseudo monarchie (plutôt un ersatz de démocrature si à la mode dans le monde actuel) Quant à nos 1er ministres hommes ou femmes ce ne sont que des portes manteaux serviles pour notre majesté si bavarde donneur de leçon bienpensant comme il se doit !

Jdeclef 10/10/2022 14h57


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