mercredi 26 octobre 2022

Voila ce que l’on récolte à voter pour des dirigeants incapables qui ne font que de la mauvaise politique de partis ringards et qui ne pensent qu’à eux et à leur avantage confortable et réélection !

 

En Europe, le « come-back » du nucléaire

Un peu partout en Europe, les gouvernements se tournent vers l’énergie nucléaire, en retardant la fermeture de centrales ou en lançant de nouveaux projets.

IL EST BIEN TEMPS QUAND LE MAL EST FAIT DE FAIRE COMME DES CHIENS PERDUS QUI COURENT APRES LEURS QUEUES DE LA PART DE NOS DIRIGEANTS DE TOUS BORDS !

Même Greta Thunberg s'y met. Le 12 octobre, la jeune activiste est invitée à débattre sur ARD, la chaîne de télévision allemande, de la politique énergétique qui agite le pays. À une question de la journaliste sur l'intérêt, aujourd'hui, de l'énergie nucléaire, la jeune femme répond, de façon inattendue : « Puisque [les centrales nucléaires] sont là, ce serait une erreur de les fermer et de recourir aux centrales à charbon. » Greta Thunberg fait sans nul doute preuve de bon sens : dans l'urgence, surtout depuis que les prix du gaz s'envolent et frappent au porte-monnaie les entreprises et les particuliers allemands, très dépendants du gaz russe, mieux vaut faire fonctionner ces réacteurs plutôt que des centrales à charbon. Les premiers rejettent environ 70 fois moins de CO2 dans l'air que le charbon, ce qui est un argument de poids pour la militante suédoise du climat.

En France comme ailleurs, les pronucléaires sautent sur l'occasion, avec parfois un peu de mauvaise foi. À l'Assemblée nationale, Marine Le Pen lance, sans crainte d'exagérer : « Les associations antinucléaire vont toutes devenir pronucléaire. J'ai lu que leur gourou vient de dire que, pour finir, elle est pour le nucléaire, merci Mademoiselle Thunberg ! » En Allemagne, la déclaration fait aussi l'effet d'une bombinette. La droite en profite pour redemander la prolongation de trois réacteurs destinés à la fermeture, même si les Verts et la SPD, membres de la coalition gouvernementale, s'y opposent. Cinq jours après la sortie de Greta Thunberg, et après des semaines de débats, le chancelier Olaf Scholz ordonne aux ministres compétents de présenter les bases légales pour prolonger les trois centrales nucléaires du pays qui devaient fermer le 31 décembre 2022. Deux d'entre elles, pour l'heure, devraient l'être au plus tard jusqu'au 15 avril 2023, soit plus d'un an après la date initialement prévue.

EXCLUSIF. Macron face au poison lent du nucléaire

Dans ce but, le cabinet des ministres a adopté le 19 octobre 2022 une modification de la loi atomique (Atomgesetz). Elle nécessite encore l'approbation du Bundestag, prévue en novembre. Cette décision ne signifie pas pour autant la relance du nucléaire outre-Rhin : elle ne s'est accompagnée d'aucune commande de nouveau combustible, preuve que la fermeture à court terme reste l'objectif. La population, en tout cas, approuve : les enquêtes d'opinion montrent que plus de la moitié des sondés est favorable à ce maintien (67 %, selon un sondage de l'ARD-DeutschlandTrend). Même les écologistes allemands soutiennent en majorité cette décision…

L'Allemagne est sans doute l'exemple le plus frappant de l'intérêt retrouvé pour le nucléaire en Europe. L'après-Fukushima, en 2011, avait signé l'arrêt de mort de l'atome outre-Rhin. À la place, Berlin s'est lancé dans un ambitieux plan en faveur des énergies renouvelables, qui nécessitent d'importants moyens complémentaires, comme le charbon et le gaz, majoritairement russe. L'Allemagne a ainsi relancé pour près de 7 gigawatts (GW) de centrale à charbon (l'équivalent de six à sept réacteurs nucléaires) et 1, 9 GW de capacités au lignite, une hérésie environnementale.

Mais le retour du nucléaire en Europe n'est pas seulement lié à l'invasion de l'Ukraine, en février. Le phénomène est antérieur, et plus profond. « L'Agence internationale de l'énergie parle d'ailleurs de come-back du nucléaire, explique Valérie Faudon, déléguée générale de la Société française d'énergie nucléaire (Sfen). On peut dater ce retour de l'an dernier. D'abord, l'Union européenne a rehaussé ses ambitions climatiques, avec le plan Fit for 55, qui vise à réduire de 55 % des émissions de gaz à effet de serre d'ici à 2030 ; ensuite, les pays se sont rendu compte qu'ils ne pourraient produire leur électricité uniquement avec des énergies renouvelables. À la COP 26, à Glasgow [en novembre 2021, NDLR], le nucléaire était mis en avant comme jamais auparavant. »

Le Parlement européen rehausse les objectifs environnementaux

Les écologistes finlandais pronucléaire

À l'image de l'Allemagne, certains pays ont retardé la fermeture programmée de leurs réacteurs. C'est le cas des Pays-Bas : le gouvernement néerlandais a décidé de prolonger une centrale, et réfléchit à surseoir à la fermeture de deux autres. La Belgique a, elle aussi, décrété le maintien en activité de deux réacteurs sur les sept du pays, opérés par Engie. L'un a malgré tout été fermé, sous la pression de la ministre de l'Énergie, très opposée à l'atome. Plusieurs associations militent toutefois pour que le démantèlement du réacteur arrêté ne soit pas entamé, afin de garder la possibilité de le remettre en route.

Le nouveau gouvernement suédois, quant à lui, regarde d'un œil très favorable le nucléaire : soutenu par la population, à 60 % favorable à l'atome (selon une enquête réalisée pour la filière professionnelle), il entend lancer de nouveaux réacteurs et s'interroge sur le redémarrage de deux unités fermées en 2019 et 2020. Il pourrait abandonner l'objectif « 100 % énergies renouvelables » pour celui, plus raisonnable, de « 100 % énergie bas carbone », le nucléaire n'en émettant quasiment pas.

D'autres pays découvrent les avantages du nucléaire, et investissent dans cette énergie. La Pologne, très dépendante au charbon, entend mettre en route six réacteurs, un marché sur lequel se positionne depuis longtemps EDF. La République tchèque suit cette voie, tout comme la Hongrie. La Slovaquie, de son côté, vient de mettre en activité un réacteur d'origine russe, et la Lettonie s'intéresse à la conception de petits réacteurs mobiles, les SMR. Mieux, en Finlande, ce sont les écologistes qui se sont convertis à l'atome. Leur programme électoral évoque la recherche de toutes solutions, y compris nucléaire, pour produire de l'électricité… Le gouvernement de Sanna Marin, dont font partie les écolos finlandais, entend ainsi faire passer la part du nucléaire de 30 à 50 % !

Le risque d'une logistique défaillante

Il n'y a guère que l'Autriche qui, à Bruxelles, continue à ferrailler contre l'atome. Vienne s'est opposée, il y a quelques mois, à l'inclusion du nucléaire dans la taxonomie, une nomenclature bruxelloise qui favorise les investissements vers cette énergie. L'Autriche comptait sur l'appui de l'Allemagne et du Luxembourg ; il n'est pas venu.

L'engouement pour l'atome en Europe ne va toutefois pas sans difficulté. Comme en France, où EDF se plaint de la perte de compétences professionnelles après une décennie sans chantier, les pays risquent de souffrir d'une logistique embryonnaire. Il faudra mettre en route une supply chain destinée à fournir l'ensemble des composants utilisés lors du chantier d'une centrale : transformateurs, générateurs de vapeur, valves, robinets, etc., sans compter les gigantesques quantités de béton.

À la Sfen, on se montre confiant. Hors Flamanville, les deux chantiers d'EPR en Europe (Hinckley Point en Grande-Bretagne et Olkiluoto en Finlande) ont été menés en constituant un réseau de sous-traitants locaux, pour la majorité d'entre eux. Mais il ne faudrait pas répéter les errements d'Olkiluoto : l'EPR Finlandais de 1 600 MW devrait entrer en service en décembre, après douze années de retard…

FOG – Mais qui a cassé le nucléaire français ?

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Peut importe qui est responsable alors que notre parc nucléaire nous permettait de faire face aux aléas politiques ou énergétiques climatiques et économiques qui n'ont pas manquer de se produire !

Sans compter aussi ceux d'un fou dictateur russe qui lui n'est pas gêné en matière d’énergie d'en faire une arme de guerre en fermant les robinets du gaz ou du pétrole !

Car quand on a des dirigeants de tous bords que nous élisons donc c'est de notre faute si maintenant on subit leur imprévoyance et la dégradation de ce nucléaire français qui était notre protection civile qu'on a laissé aller à vau l'eau jusqu’à fermer nos centrales comme FESSENHEIM que l'on pouvait conserver 30 ans en sécurité ou ne pas effectuer les maintenances rigoristes de suivi pour les autres qui maintenant nécessite un arrêt de certains réacteurs tout ça pour faire plaisir à des extrémistes illuminés style N.HULLOT ex ministre vert écolos pas net en plus s'engraisse avec ses produits dérivés du a ses documentaires style USHUAÏA !

Avec la fameuse cerise sur le gâteau de cet EPR de Flamanville miracle de technologie que l'on ne maitrise pas et pas encore en service depuis 15 ans ! Car les ingénieurs techniciens de ces anciens équipements nucléaires datant des années 70/80 ne sont plus là et semble-t-il on n'en n'a pas formés de nouveaux même pour la maintenance car par une mauvaise politique d'abandon du nucléaire toujours à cause de ces vert écolos !

Et cela ne date pas du jeune MACRON mais lui a pris le train en marche en disant via son gouvernement de mettre des pulls et doudoune et payez votre électricité et gaz au prix fort acheter aussi des voitures électriques et relancer donc le parc d’éolienne car il ne trouvait pas cela assez beau qui avait pris du retard sur les autres pays !

Cela confirme que nous sommes mal gouvernés et mal protégés par nos dirigeants de tous bords irresponsables et c'est une honte pour la France et les Français qui votent si mal !

Jdeclef 26/10/2022 14h41

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