LR est un parti qui a pris une grande claque avec l'affaire Fillon et ne s'en est pas remis et avec ses luttes internes de leaders médiocres sarkozistes en tête qui trainent eux aussi des casseroles

 

Coignard – LR entre deux eaux

CHRONIQUE. Pas de motion de censure, mais une opposition de principe. Le « en même temps » de LR est un exercice de contorsionniste.

LR EST DEVENU UN PARTI DE SECOND ORDRE PAR L’ORGUEIL ET LES DIVISIONS DE LEURS LEADERS USES MEDIOCRES COMME CETTE VEME REPUBLIQUE MONARCHIQUE OBSOLETE QUI A DONNE TROP DE POUVOIR A UN SEUL HOMME PETIT BOURGEOIS PARVENU PSEUDO MONARQUE SANS COURONNE !

Ce lundi, les députés LR ne voteront pas les motions de censure déposées par le Rassemblement national et la Nupes. C'est du moins ce que 53 d'entre eux (sur 62) ont déclaré ce dimanche dans une tribune publiée par le JDD. « Parce que nous respectons le vote des Français du 19 juin, et que la nouvelle Assemblée nationale a siégé huit semaines, nous ne déposerons pas et nous ne voterons pas de censure », assurent-ils. Et ce malgré un projet de loi de finances qu'ils estiment « extrêmement décevant » et qui confirme à leurs yeux « que le président Macron et le gouvernement d'Élisabeth Borne se contrefichent du redressement de nos finances publiques ».

Ils jugent même leur attitude « irresponsable », alors que « la remontée des taux d'intérêt fait courir un risque considérable sur la soutenabilité de notre dette ». Mais voilà : ils jugent tout aussi « irresponsable » d' « ajouter une crise politique institutionnelle » à celles – économique, sociale, énergétique – que connaît déjà la France aujourd'hui.

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On ne saurait leur donner tort. Mais on peine à imaginer comment une telle attitude est soutenable sur le long terme. Parti de gouvernement, LR ne peut que s'abîmer dans la surenchère populiste ou dans la performance tribunitienne. Parti d'opposition, il redoute plus que tout de passer pour un supplétif du pouvoir en place. Difficile numéro d'équilibrisme, qui confine parfois au contorsionnisme.

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Inaudible ?

LR, de surcroît, n'a plus de chef. Ses militants doivent en élire un avant la fin de l'année. Ils ont le choix entre des candidats qui n'affichent aucune identité claire. Le favori, Éric Ciotti, se disait prêt à voter pour Éric Zemmour plutôt que pour Emmanuel Macron. Le challengeur, Bruno Retailleau, incarne un conservatisme sans imagination et sans charisme. Le troisième homme, Aurélien Pradié, entend rebâtir la « droite populaire » et « reparler au peuple, aux ouvriers, aux classes moyennes, à ceux qui travaillent dur ». Vaste programme !

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Tout cela n'a jamais fait un projet étayé et entraînant. Et encore moins contribué à l'émergence d'un nouveau chef en mesure de porter loin les aspirations d'une droite de plus en plus majoritaire dans les idées, mais de moins en moins dans les urnes.

Alors, pour résoudre cette équation impossible, un homme a son idée. Cet homme, c'est l'ancien patron, l'ancienne icône du parti, Nicolas Sarkozy. Dans une interview fleuve accordée au JDD, il explique non sans cruauté que la droite manque d'incarnation, et que LR, le parti qu'il a refondé, est fait pour gouverner. « En se plaçant dans une opposition systématique, ils courent le risque d'être inaudibles, coincés entre Le Pen et Mélenchon », dit-il des députés LR. Le problème, c'est que Nicolas Sarkozy est aujourd'hui inaudible dans son propre mouvement. Les prétendants et nombre de militants lui reprochent de ne pas avoir soutenu Valérie Pécresse à la présidentielle. Ce n'est pas dans la rancœur, toutefois, qu'ils trouveront un nouveau souffle.

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LR est un parti qui a pris une grande claque avec l'affaire Fillon et ne s'en est pas remis et avec ses luttes internes de leaders médiocres sarkozistes en tête qui trainent eux aussi des casseroles :

Qui est coincé entre le parti macroniste et inébranlable RN Lepenisme qui fait partie des meubles vermoulus de la classe politique française usée comme l'est cette Veme république obsolète et usée devenue monarchique avec ce parti gaulien hérité du Général de GAULLE et n'a fait comme changement que changer de nom à peu près à chaque mandature présidentielle !

Il est devenu marginal comme d'autres obligés de faire quelque fois alliance avec le parti à majorité relative macronien qui lui aussi a changé de nom car ne possédant qu'une majorité relative pour faire passer les lois ou divers budgets et utilisant ce fameux 49/3 déjà utilisés maintes fois sous tous gouvernements de tous bords  (car si cela n'avait pas été fait les gouvernements seraient tombés à chaque rentrée d'automne avec les manifestations cycliques de mécontentement de la population de la IV eme république ou comme en ITALIE notre voisin qui change périodiquement de 1er ministre et gouvernements très souvent depuis la dernière guerre mondiale !)

Français lambda qui ne font que demander le changement n'arrivent à rien changer car individualistes incurables ne voulant pratiquer que le chacun pour soi et donc ingouvernables !?

Ils ont élu et réélu un président bourgeois parvenu pas de leur monde qui n'arrive à rien de positif car bienpensant donneur de leçons qu'il n'applique pas à lui-même se prenant pour un monarque et incapable de protéger les Français et d’empêcher la France de décliner comme elle le fait depuis le mitterandisme qui fut aussi un échec retentissant jusqu'à ces crises internationales de guerres et économiques inflationnistes et énergétiques !

E.MACRON l'inconnu opportuniste a profité de la défection de son prédécesseur et les électeurs l'ont élu et réélu (masochistes ou idiots incurables ?!)

Jdeclef 24/10/2022 12h20