mercredi 29 juin 2022

Et alors ! Qui a initié cette soi-disant politique du pire pour Effrayer les Français lambda majoritaires qui subissent celle-ci !? NOS dirigeants passés et présents que nous avons élus en plus !

 

Coignard – Commission des Finances : la politique du pire

CHRONIQUE. Un extrémiste à la tête de la commission des Finances à l’Assemblée ? Le camp présidentiel est-il prêt à en assumer la responsabilité ?

QUI SE SENT MORVEUX CE MOUCHE ET TANT PIS SI CELA SENT MAUVAIS ?!

Le vote aura lieu jeudi matin. Il est lourd de conséquences. Les 72 membres de la commission des Finances à l'Assemblée nationale éliront leur président. Le règlement exige que ce soit un élu issu d'un groupe parlementaire de l'opposition. Jusqu'alors, c'était simple : la majorité absolue ne participait pas au vote, et la présidence revenait au candidat du principal groupe d'opposition. Les LR Gilles Carrez puis Éric Woerth sous les deux dernières mandatures, les socialistes Didier Migaud puis Jérôme Cahuzac sous la présidence de Nicolas Sarkozy.

Mais aujourd'hui, ce sont le RN et LFI qui se disputent le poste, de la première importance puisqu'il permet non seulement d'effectuer des contrôles sur pièces et sur place dans tous les ministères, mais d'obtenir des informations fiscales confidentielles sur les entreprises comme sur les particuliers. Une déclaration d'Éric Woerth dans Le Figaro, la semaine dernière, a suscité un certain émoi : « Je ne préfère pas un RN à un FI, il ne faut pas me faire dire cela. Je ne suis pas un extrémiste. Je dis simplement que les Insoumis ont visiblement en tête de faire du contrôle fiscal. Ce que je n'ai pas entendu au RN. »

L'hypothèse Louwagie

Ce fatalisme affiché, qui se résume à choisir entre l'extrême gauche et l'extrême droite, semble s'imposer dans la mesure où la Première ministre Élisabeth Borne a assuré que, conformément à l'usage, les élus de la majorité présidentielle ne prendraient pas part au vote. Il est permis de se demander si cette posture est bien raisonnable, et bien responsable.

ILa commission des Finances, le nerf de la guerre

Côté RN, le prétendant, Jean-Philippe Tanguy, a un passé d'apparatchik auprès de Nicolas Dupont-Aignan puis de Marine Le Pen. Côté Nupes, une candidate s'imposait en la personne de la socialiste Valérie Rabault, rapporteure du budget entre 2014 et 2017. Mais elle a été zappée au profit du mélenchoniste Éric Coquerel, déjà membre de la commission des Finances sous la précédente législature. Celui-ci se défend – mollement – de vouloir pratiquer l'inquisition fiscale, mais déclare quand même vouloir « travailler efficacement pour comprendre comment et qui évite l'impôt ».

Pour éviter de devoir choisir entre la peste et le choléra, des personnes de bonne volonté soutiennent la candidature de la députée LR de l'Orne Véronique Louwagie, reconnue pour son sérieux et sa modération. Le calcul est simple : avec 72 votants, personne n'obtiendra la majorité absolue nécessaire aux deux premiers tours. Ensuite, chaque député de la commission devra se déterminer en son âme et conscience, au cours d'un troisième tour qui se joue à la majorité relative. Selon les décomptes disponibles ce matin, les votants se répartissent ainsi : 11 RN, 18 Nupes (dont 10 LFI), 8 LR, 21 Renaissance, 7 MoDem, 4 Horizons, 3 ou 4 autres députés.

Chez LR, « on a perdu les élections mais on n'a pas perdu l'avenir »

C'est donc la majorité présidentielle qui portera, in fine, la responsabilité de l'élection d'un représentant des extrêmes à ce poste hautement stratégique. Et de pratiquer, d'une certaine façon, la politique du pire.

Toutefois, si les députés Renaissance (ex-LREM) choisissent d'obéir à l'exécutif, ceux du MoDem et d'Horizons peuvent ne pas s'y sentir obligés. Cette indépendance les honorerait. Et à ceux qui font valoir que ce n'est pas à la majorité de choisir son opposition, il est possible de rétorquer que ladite majorité n'est pas absolue mais relative, comme l'ont seriné sur tous les tons le RN comme LFI. Cette configuration inédite change la donne. Et ne manquera pas d'agiter les esprits dans les 24 heures qui précèdent ce scrutin.

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Si ce n’est que (le ou les) pouvoirs en place dans cette V eme république obsolète et devenue en plus pseudo monarchique à l’image de l’ancien régime !?

Et ce depuis plus de trente ans et l’après MITTERRAND malgré des quinquennats qui n’ont pas amélioré cette gestion du pays en donnant en plus trop de pouvoirs aux présidents élus qui se sont pris pour des pseudo monarques discoureurs bavards s’écoutant parler gonflé de leurs égos démesurés !

Ce n’est que l’enchaînement logique d’un pays de comptables en manches de lustrine style IXX eme siècle et sa révolution industrielle lointaine perdue qui piochent dans un tiroir-caisse déjà vide et gèrent de l’argent roi virtuel d’une dette pharaonique irremboursable !?

Donc que font nos dirigeants (après leurs prédécesseurs pas meilleurs qu’eux) et surtout nos politiciens dirigeants 1ers ministres et ministres de tous bords c’est de penser à eux pour des postes si lucratifs mêmes pour les simples députés qui briguent des sièges à l’Assemble Nationale sans compter notre SENAT et ses sénateurs repus hors âge comme le cognac qu’ils boivent ou les cigares qu’ils fument en attendant leurs retraites !

Les Français (enfin) se sont peut-être rebiffés par leurs votes protestataires aux élections législatives contre le pouvoir présidentiel qui se moquait trop d’eux !?

Mais cela sent le point de non-retour et va peut-être sonner le glas de cette V eme république française qui ne convient plus aux Français avec cette démocratie kafkaïenne qui veut remplacer les vraies libertés déjà mal encadrées ou tout le monde convoite ce qu’il désire glissant vers une anarchie rampante !?

Jdeclef 29/06/2022 11h29LP


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