Coignard –
Élisabeth Borne : une semaine pour tout changer ?
CHRONIQUE. Elle
doit consulter, écouter, rallier, remanier…, tout cela en quelques jours. Et,
pour elle, échouer n’est pas une option acceptable.
PAUVRE E.BORNE UN FUSIBLE QUI S’EST PEUT ETRE FAIT AVOIR C’EST
CA QUI NE SEMBLE PAS ACCEPTABLE ?!
Ils
étaient partis à 245, ils se retrouvent déjà à 250, voire 252 dans
cette majorité relative. Comme il est de coutume à chaque début de législature,
les députés décident de leur inscription dans un groupe parlementaire, au-delà
de l'étiquette qui figurait sur leurs affiches électorales et leur matériel de
campagne. Ces quelques jours d'installation sont donc essentiels pour
l'exécutif, puisqu'ils permettent de rallier, ici et là, quelques personnalités
dont l'affiliation n'est pas déterminée à l'avance. La dernière ligne droite se
dessine aujourd'hui, puisque les groupes ont jusqu'à ce mardi soir pour arrêter
leur composition définitive, laquelle sera publiée au Journal officiel demain
matin mercredi.
Cela dit, même les décomptes les plus optimistes laissent le camp
présidentiel loin derrière la barre des 289 députés
nécessaire pour imposer la majorité absolue. Emmanuel Macron, dans son
allocution de mercredi dernier, a évoqué « une trentaine de députés »
manquants. On est en vérité plus proche de la quarantaine.
Depuis, le président s'est envolé pour l'Allemagne, où se tient le
sommet du G7, pour rallier mercredi et jeudi l'Espagne, où a lieu celui de
l'Otan. De retour à Paris en toute fin de semaine, il ne peut guère s'attendre
à voir la situation éclaircie, quels que soient les efforts déployés par sa
Première ministre.
La piste d'une coalition de gouvernement semble désormais plus
qu'improbable, et celle d'accords « au cas par cas », selon la formule
consacrée, ne se trouvera validée qu'au moment du vote de textes, dont le plus
attendu est évidemment le « paquet » promis sur le pouvoir d'achat.
Des personnalités comme le communiste Fabien Roussel ou l'écologiste Yannick
Jadot ont laissé entendre qu'ils n'étaient pas fermés au compromis. Reste à
savoir à quelles conditions et selon quelles modalités. D'autant que leur
éventuelle bonne volonté ne présume nullement de celle des leurs camarades de
parti. La Première ministre va donc poursuivre, dans les jours qui viennent,
ses consultations officielles et ses tentatives de persuasion plus officieuses.
La pirouette de
Macron pour gagner du temps
En parallèle, Élisabeth Borne, décidément assignée à des tâches
aussi multiples que difficiles, doit former une nouvelle équipe. Un sujet qui
ne peut être décorrélé du précédent. Faut-il pratiquer l'ouverture et le
« dépassement », mot fétiche d'Emmanuel Macron, ou au contraire s'en
tenir à un noyau dur de fidèles et de techniciens, à charge pour eux de ficeler
des projets de loi cohérents, mais aussi susceptibles d'être amendés pour
former des majorités de circonstance ?
C'est en tout cas le grand baptême du feu pour celle qui a voulu
demeurer à Matignon envers et contre tout. Le président lui a délégué les
tâches ingrates, sinon les missions impossibles, parce qu'il sait qu'un chef de
gouvernement doit servir jusqu'au moment où il est déclaré hors d'usage.
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Car cette
Veme république arrivée au crépuscule de sa fin usée et obsolète monarchique
doit être remplacée car ces derniers quinquennats et ses dirigeants de tous
bords l'ont achevé car elle leur avait donné trop de pouvoir sans que les
Français s'en aperçoivent depuis plus de trente ans !
Par ces
élections législatives les Français de plus en plus mécontents viennent de
montrer leurs désaccords et mécontentements pour tous leurs dirigeants et partis
ringards de tous bords !
On les
dit frondeurs, c'est peut-être le cas, mais ils descendent de générations de révolutionnaires
depuis 1789 et détestent que l'on se moque d'eux, alors ils protestent au mieux
ou se révoltent en manifestant plus ou moins violemment !
Alors
qu'ont trouvé nos dirigeants passés ou présents pour arrondir les angles nommer
des femmes car la parité et égalité en homme et femme est loin d'être acquise
en FRANCE dans de nombreux domaines mais cela fait bien dans une certaine
fausse moralité de cette classe de bobos hypocrites donneurs de leçon !
Donc une
femme 1ere ministre de la France elle est à plaindre on l’a dit techno rigide
on en a connu d’autres dans tous pays comme Cresson l’éphémère en France ou Thatcher
en GB la Dame de fer et bien sûr Merkel en RDA qui ont toutes montrées leurs
failles et erreurs dont leurs pays et ressortissants ont souffert et qui s’en
sont aperçu après la fin de leurs mandatures !
De plus en
France la 1ere ou 1er ministre n’est qu’une collaboratrice comme
avait dit un de nos anciens président car c’est lui qui décide et dirige même s’il
semble un peu perdu ces derniers temps par son revers aux élections législatives
et perte de sa majorité devenue relative !
Les Français
sont comme un tsunami qui dort et quand il se déclenche on ne le voit pas
arriver et trop tard pour le stopper !
Peut-être
un peu de bon sens retrouvé chez certains électeurs !?
Jdeclef 28/06/2022
13h26
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