mardi 14 juin 2022

Que n'a-t-il pas fait pendant les 5 ans passés et à sa décharge ces prédécesseurs quel que soit leurs couleurs politiques !? Imprévoyance habituelle macronienne bavarde !

 

Loi de programmation militaire : Macron va-t-il cramer la caisse ?

À Villepinte, le président de la République a insisté sur la nécessité de réévaluer le budget militaire, afin d’adapter la France au contexte géopolitique.

AVEC MACRON IL EST PLUS FACILE DE PARLER POUR NE RIEN DIRE QUE D’AGIR OU FAIRE DES CHEQUES EN BLANC SANS PROVISION ?!

Lundi à Villepinte, en inaugurant le salon de l'armement terrestre Eurosatory, Emmanuel Macron a pris acte des effets de la guerre en Ukraine sur la défense française. Évoquant « une économie de guerre dans laquelle nous allons durablement devoir nous organiser », il en précise les contraintes pour l'industrie : « il faudra aller plus vite, réfléchir différemment sur les rythmes, les montées en charge, les marges, pour pouvoir reconstituer plus rapidement ce qui est indispensable pour nos forces armées, pour nos alliés et pour celles et ceux que nous voulons aider. Une économie dans laquelle nous ne pouvons plus vivre au rythme et avec la grammaire d'il y a même un an. Tout a changé ».

On le sait depuis bien avant la guerre en Ukraine : la France a financé sa défense au cours des dernières années en puisant des ressources budgétaires dans la réduction des stocks, la vente de son patrimoine foncier et immobilier, en achetant des équipements modernes mais en quantités réduites, en baissant ses effectifs tout en continuant ses opérations extérieures. Nos voisins allemands ont décidé de doter leurs armées de cent milliards d'euros supplémentaires. Avec des différences de taille par rapport à la France : ils n'interviennent hors de leurs frontières que de façon marginale et surtout, ne disposent pas de l'arme nucléaire. À ce stade, le président de la République et chef des armées se contente d'annoncer un effort à venir. Et précise : « J'ai demandé au ministre [des Armées, Sébastien Le cornu, NDLR] et au chef d'état-major des Armées [le général Thierry Burckhard, NDLR] de pouvoir mener dans les semaines qui viennent une réévaluation de cette loi de programmation militaire à l'aune du contexte géopolitique. » Il appelle de ses vœux « un investissement dans la durée, clair et fort, de la nation ». Sans avancer le moindre chiffre sur le montant de cet investissement. Et sans évoquer non plus d'augmentation du budget.

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Courbe cohérente

Emmanuel Macron va devoir jouer serré sur le budget de la défense, qui doit cohabiter avec les autres, dont ceux de la santé, de l'éducation, de la justice, etc. La loi de programmation militaire LPM 2019-2025 prévoyait, comme c'est classique, une « bosse » budgétaire pour les trois dernières années de son exécution. Le budget 2022 de 40,9 milliards d'euros (hors pensions) devra être abondé de 3 milliards d'euros en 2023, et ainsi de suite jusqu'en 2025, pour atteindre 50 milliards d'euros. Il faudra d'abord que ces futurs budgets soient votés, sachant que l'affectation des sommes nouvelles est déjà décidée : il s'agira pour l'essentiel de financer la modernisation de la force de dissuasion nucléaire, notamment des quatre futurs sous-marins nucléaires lance-engins de troisième génération (SNLE 3G).

La phase de réalisation de ce programme a été lancée en février 2019, pour une mise en chantier prévue l'an prochain et une entrée en service du premier bâtiment en 2035. Le dernier doit être opérationnel en 2050. On a un peu oublié que cette question budgétaire était au cœur des protestations du chef d'état-major des armées démissionnaire en 2017, le général Pierre de Villiers. Il avait réclamé sans succès une augmentation régulière des budgets et avait vivement regretté de ne pas avoir été entendu. Il avait déclaré après son départ : « Si cette courbe cohérente n'était pas tenue, on se présenterait en 2022 avec la nécessité d'une érection brutale pour y arriver en 2025. On ne fait pas la guerre sans équipement, sans munitions, sans logistique, sans personnel instruit, formé et entraîné. » On y est…

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Pas bien partis

Le président de la République a beau se prévaloir d'avoir augmenté le budget des armées durant son premier quinquennat, son niveau n'est pas en adéquation avec les ambitions stratégiques de la France, qui entend continuer à jouer un rôle important dans les affaires du monde. Ce n'est pas si simple et on le voit bien avec l'Ukraine : le soutien de Paris existe certes, avec une publicité minimale et l'espérance d'un financement via la Facilité européenne pour la paix, mais c'est le Royaume-Uni que vante Kiev pour la qualité de son appui.

Paris, qui réclame à cor et à cri une défense européenne renforcée, a bien du mal à se faire entendre. Emmanuel Macron préside aux destinées d'un pays où 200 000 personnes sont employées dans les industries d'armement, et qui vend bien ses équipements militaires à l'exportation, mais pas en Europe. Pour autant, le président français regrette que pour ses équipements les plus sophistiqués, notamment l'aviation de combat, les Européens préfèrent se tourner vers les États-Unis : « Nous avons besoin de renforcer une industrie et une base industrielle et technologique de défense européenne beaucoup plus forte et beaucoup plus exigeante, sinon nous construirons les dépendances de demain (…) J'aime construire les partenariats que je choisis, j'aime moins les dépendances que nous avons massivement et méthodiquement parfois préparées. » Sauf que les projets à ossature franco-allemande comme le système de combat aérien du futur (Scaf) et le futur char de combat (Main Ground Combat System MGCS) ne sont pas bien partis.

Les difficultés qui s'annoncent ne sont pas minces. Se préparer aux combats de haute intensité que la France a négligés depuis la fin de la Guerre froide exige un changement de pied. Financer un effort sérieux de reconstitution des stocks de matériels et de munitions – que, pour certaines, la France ne fabrique plus – exigera des ressources non prévues à ce stade. Il en va de même pour les personnels, qu'il faut sans relâche recruter, former et entraîner dans un marché de l'emploi tendu. Emmanuel Macron ne l'ignore pas, quand il déclare : « Notre monde est en désordre. Il faut donc être plus fort pour tenir la paix, tenir l'Europe et tenir notre pays. »

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Le monde et l'Europe occidentale depuis les après-guerres mondiales, la chute du mur de BERLIN et la fin de la guerre froide se sont dotés de dirigeants Bisounours donneurs de leçons surtout pour la France depuis les derniers quinquennats et même avant depuis 2001 avec aux USA et ces attentats catastrophiques a NEW YORK avec la montée du terrorisme islamique et les résultats d'attentats induits après en 2015 en France Europe et USA dont nous terminons pour la FRANCE un procès fleuve dont seul notre pays a le secret et sa justice filandreuse inefficace voir laxiste montre les résultats dont les auteurs (ceux que l'on a pu arrêter se fiche car fanatisés par des doctrines religieuses obscurantistes et moyenâgeuses) et dont nous subissons encore d’autres attentas isolés périodiquement !

Et maintenant vient de se greffer sur ces évènements dangereux, la folie expansionniste de ce dictateur russe Poutine éminemment dangereux car dérangé qui menace de la 3 eme guerre mais nucléaire par nostalgie de son ancien empire russe perdu s’en prenant à l’Ukraine qui voudrait se rapprocher de l’Europe et être protéger par l’OTAN !

Maintenant E.MACRON voudrait rehausser le budget militaire de notre pays à la traine avec un sorte « de quoi qu’il en coute » militaire pour rattraper un retard car accumulé depuis des années de décennies et qui ne s’intéresse pas au régalien préférant peut-être verser de larmes de crocodiles sur les corps ou victimes de soldats ce qu’il sait bien faire ou civils ayant subi des drames !

Car la situation internationale l’exige la guerre en UKRAINE et autres pays en ébullition l’exige en RUSSIE ASIE avec la CHINE, TAYWAN la COREE DU NORD etc.

Auquel il faut prévoir un changement de gouvernement aux USA avec J. BIDEN fragilisé et D.TRUMP qui tape a la porte pour sa réélection  aux élections à mi-mandat en novembre 2022 !?

Notre président n’est qu’un des nombreux diplomates passés qui ont privilégié en beaux parleurs le profit l’argent roi et la mondialisation à tout va qui leur revient dans la face et en 2008 on a eu en Europe et USA une vraie alerte économique mais on n’en a pas assez tenu compte comme d’habitude !

Alors « pour préserver la paix il faut préparer la guerre et ne pas dire que cela sent mauvais quand on a le nez dedans » car on revient sans s’en rendre compte 75 ans en arrière !

Les Français ont réélu le même président qui ne nous protègera pas mieux mais les Français avaient peu de choix avec la kyrielle de politiciens médiocres de tous bords déjà trop connus !?

Jdeclef 14/06/2022 13h03


1 commentaire:

  1. Quand on énonce de simples faits logiques et vérifiés sur les éventuelles décisions d'E.MACRON quand il se risque à en faire on est automatiquement censuré par les modérateurs du Point bornés et excités car le seul nom de MACRON est le mot ou nom déclencheur de leur logiciel de censure débile initiée par leur rédaction pro macronienne bien que nous soyons dans un pays libre ou la liberté d'expression est inscrite dans notre constitution et que notre président ne peut être réélu en 2027 car ayant fait deux mandats autorisé et peut faire ce qu'il veut pendant ce dernier quinquennat pitoyable réaction d'un hebdo d'information rétrograde !

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