Baromètre
Ipsos-« Le Point » : Emmanuel Macron, l’état de disgrâce ?
Le
président inaugure son deuxième quinquennat en baisse, et Élisabeth Borne
entame sa mission à Matignon avec des jugements plus négatifs que positifs.
ET ALORS
LES FRANÇAIS L’ONT ELU ET REELU ILS N’ONT PLUS QU’A AVALER LA PILULE AMERE !?
On pouvait s'y attendre, mais à ce point…
Tout juste réélu, Emmanuel Macron recule de 5 points dans l'indice de
confiance (42 %) du baromètre mensuel Ipsos-Le Point, et les jugements négatifs sur son
action augmentent de 6 points (54 %). Si 95 % des
sympathisants LREM lui accordent encore crédit, le chef de l'État
perd 11 points chez les pro-PS, 9 points chez les
écologistes, et 7 points chez les LR-UDI. Il chute
de 10 points chez les moins de 35 ans, et de 23 points
chez les ouvriers. « C'est un recul marqué pour le président, note
Mathieu Gallard, d'Ipsos, même si le niveau n'est pas catastrophique. Il avait,
certes, entamé son premier quinquennat avec 46 % d'opinions favorables,
mais entre la rentrée 2017 et février 2020, il n'avait jamais dépassé
les 40 %. Il était aussi à ce niveau en janvier 2022, avant de monter un
peu pendant la présidentielle. »
Déficit de
notoriété pour Borne
La promotion d'Élisabeth
Borne à Matignon est sans effet. Voire pis. La Première ministre souffre d'un
déficit de notoriété, même s'il est moindre que celui de ses prédécesseurs
(34 % des personnes interrogées n'ont pas d'opinion sur elle, contre
40 % pour Jean Castex à ses débuts et 48 % pour Édouard Philippe).
Élisabeth Borne commence avec 27 % d'opinions positives, quand son
prédécesseur était à 39 % – et à 33 % quand il est parti. Elle séduit
davantage les sympathisants LR (33 %), les 70 ans et plus
(41 %), les agriculteurs (60 %), les cadres (37 %) que les
pro-PS (27 %), les 35-44 ans (22 %), les ouvriers (15 %) et
les employés (18 %), alors que sa nomination était censée satisfaire
l'aile gauche de la macronie. Surtout, à peine en fonction, elle recueille déjà
davantage d'avis défavorables (39 %). « C'est la première fois
qu'un chef du gouvernement qui prend ses fonctions accuse un différentiel de
popularité négatif », remarque Mathieu Gallard.
Le compte à rebours a commencé :
ce qui attend Élisabeth Borne
Le maire du
Havre est le seul de notre classement de personnalités politiques à convaincre
un Français sur deux. Celui qui, à la tête de son parti Horizons, se positionne
pour la présidentielle 2027 s'impose à la tête de notre baromètre. Il
est numéro un chez les Marcheurs, gagnant 11 points positifs
(89 %). Il prend le leadership des sympathisants LR, détrônant Nicolas
Sarkozy, engrangeant 21 points de plus en un mois (84 %). « Cette
popularité peut-elle se matérialiser en votes ? Ou est-elle fragile, comme
celle de Michel Rocard ? » s'interroge notre sondeur, Mathieu
Gallard.
À gauche, celle qui tient la
corde, hormis Jean-Luc Mélenchon, c'est… Martine Aubry. La maire de Lille
gagne 7 points dans notre classement général (31 %), et se hisse
de la 18e à la 9e place, deux rangs derrière le leader
LFI. Les partisans Insoumis de celui-ci la placent juste derrière leur chef –
qui recule tout de même de 8 points (tout en gardant 86 %
d'opinions favorables) – et devant Fabien Roussel – qui
perd 11 points chez eux. Et les socialistes portent Martine Aubry en
tête de leurs suffrages, lui accordant 67 % de jugements positifs, une
hausse de 18 points !, juste devant Jean-Luc Mélenchon, qui
bondit dans ce segment de la 6e à la 2e place
(55 %). François Hollande chute de 9 points dans son camp,
passant de la place de leader au 4e rang (53 %). La gauche
radicale a-t-elle définitivement fait main basse sur le PS ?
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Il a été
réélu par des Français qui n'avaient plus le choix à cause d'une opposition de
tous bords de ses leaders plus que médiocres avec une campagne électorale
déplorable !
Mais le
résultat, il a raté son quinquennat ponctué d'événements divers nationaux et
internationaux !
Et en
plus avec le gouvernement BORDE il reprend les mêmes alors que les Français qui
l'ont élu en 2017 ils voulaient le changement qu'ils réclament depuis 40 ans et
comme il ne peut être réélu en 2027 va continuer à de se moquer du bon peuple
français niais gogos qu'il dénigre « ces gens de peu « pas de son
monde »!
En fait
les Français qui descendent de la révolution française, de la restauration, et
de l'empire reviennent dans cette Veme république redevenue monarchique ou l'on
donne trop de pouvoir à un seul homme qui se prend pour un petit monarque sans
couronne !
Et qui
peut être aurait voulu encore plus de pouvoir pour glisser vers un ersatz
démocratures qui fleurissent hélas dans d'autres grands pays !
Les
Français râlent beaucoup mais sont bons publics à tondre comme des moutons car
incurables et peureux, craignant le risque !
Jdeclef 0105/2022
12h53LP
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