jeudi 16 juin 2022

Pas une information mais une logique après ces élections législatives : Le président ne peut rien faire d'autre car perdu et tergiversant comme d'habitude !

 

INFO LE POINT. Remaniement en vue à l’Élysée

Depuis la présidentielle, certains conseillers ont quitté le Château, d’autres sont sur le départ. Emmanuel Macron réfléchit à « repolitiser » la présidence.

AVEC CE PRESIDENT AGIR ET DECIDER RAPIDEMENT DEVIENT MISSION IMPOSSIBLE ON L'A VU LORS DE SON DERNIER QUINQUENNAT !

Communicant reparti dans le privé, plume sur le départ, conseillère culture promue ministre… Depuis la réélection d'Emmanuel Macron, le Château se vide petit à petit et l'organigramme de la présidence se retrouve rempli de trous. « On bricole, il y a plein de gens qui manquent », narre un collaborateur, tandis qu'au sein du pouvoir, ils sont nombreux à expliquer le flottement du début de second mandat par une équipe atrophiée au sommet de l'État. Le sort des conseillers encore en poste est suspendu à une vaste restructuration du cabinet du président de la République. Tous ont signé un avenant prolongeant leur contrat jusqu'au 15 juillet. « Comme des footballeurs ! » sourit l'un d'eux.

Au-delà, c'est le grand flou. Certains ont fait part de leur désir de quitter l'Élysée, essorés par le précédent quinquennat, ou simplement désireux de passer à autre chose. D'autres, au contraire, ont clairement indiqué à Emmanuel Macron qu'ils étaient disponibles pour poursuivre l'aventure… En sus des questions personnelles et de ressources humaines, le président planche, selon nos informations, sur une vaste réorganisation de la présidence. « Ce sera le dernier étage de la fusée. Il a géré les investitures, composé son gouvernement. Après les législatives, il va devoir remplacer d'éventuels ministres battus et pourvoir les postes encore vacants, secrétariats d'État ou ministres délégués. Ça devrait prendre dix jours. Ensuite, il va s'atteler à la restructuration de l'Élysée », confirme-t-on dans l'entourage du chef de l'État. « Il veut voir quel est l'environnement politique avant de décider quel sera son cabinet, le rôle de son secrétaire général », ajoute un proche.

Les Républicains sur Macron : « Il va regretter ses Playmobil ! »

En effet, le patron des Marcheurs a exprimé la volonté de réinventer le fonctionnement du Château, qu'il juge trop lourd et donc pas assez efficace. Quand il s'échappe le week-end à La Lanterne avec son épouse, Emmanuel Macron part bien souvent avec 50 à 60 notes sous le bras. Des documents bien trop bavards qu'il annote et qui repartent ensuite sur le bureau des conseillers concernés, pour être retravaillés. Désormais, il voudrait les voir en direct pour éviter ces allers et retours permanents. Le président considère aussi que ses collaborateurs passent un temps démesuré dans les réunions interministérielles à Matignon. « Les RIM, c'est son obsession du moment », confie un proche du chef de l'État. « Pour lui, les conseillers doivent être force d'imagination et de proposition, pas d'application. Le président veut donc des conseillers moins techniciens, plus imaginatifs. » En clair, le locataire de l'Élysée cherche à « repolitiser » la maison, à en faire un lieu d'émulation et d'impulsion moins cloisonné et moins bureaucratique. Voilà les prétendants prévenus.

Remaniement

En dépit des critiques en interne, Alexis Kohler, le puissant secrétaire général de la présidence, est conforté à son poste. Et même plus : le bras droit historique d'Emmanuel Macron, la « tour de contrôle », a son mot à dire sur cette restructuration. À la faveur des changements à venir, le haut fonctionnaire souhaite notamment augmenter le nombre de conseillers communs entre l'Élysée et Matignon. Au début du quinquennat précédent, le chef de l'État avait décidé qu'une dizaine de collaborateurs techniques seraient partagés entre la rue du Faubourg-Saint-Honoré et la rue de Varenne. « AK » met aussi son nez dans la composition des cabinets ministériels. « Il livre des organigrammes clé en main aux nouveaux ministres », raconte un conseiller de l'exécutif.

Parmi les postes clés à pourvoir au Château, celui de conseiller en communication du chef de l'État. L'ancien stratège Clément Léonarduzzi, qui s'est imposé comme le chef d'orchestre de la campagne présidentielle d'Emmanuel Macron, est reparti chez Publicis au sein du comité exécutif au début du mois de juin. Quitterie Lemasson, conseillère presse, assure l'intérim, en attendant que le président trouve un remplaçant qui lui convienne. « On avait une Rolls à la com, et il n'y a que des deux-chevaux qui postulent », se lamente un conseiller au fait des tractations. « Il cherche un pro de la com. » Jusqu'ici, aucun prétendant extérieur n'a donc été jugé suffisamment solide pour être reçu au Palais. Pierre-Olivier Costa, conseiller spécial et actuel directeur de cabinet de Brigitte Macron, pourrait assurer le job. Cet ancien collaborateur de Bertrand Delanoë à la mairie de Paris fait partie des noms cités, mais le président aurait à cœur de confier sa com à un « homme neuf », qui ne fait pas déjà partie de son dispositif.

Présidentielle : les hommes du président-candidat Macron

Autre départ symbolique du cabinet d'Emmanuel Macron : celui de Jonathan Guémas, l'actuelle « plume » du président. Le conseiller discours, très apprécié du président, va rejoindre son ancien compère Clément Léonarduzzi chez Publicis, comme l'a révélé L'Opinion. Une perte pour le chef de l'État, tant le jeune normalien s'est révélé indispensable dans son équipe et durant la campagne. « C'est une plume inspirée et rapide. Il écrit ce que va dire le président avant que lui-même n'y ait pensé », encense l'un de ses collègues. Ancien proche de Gérard Collomb, Jonathan Guémas a hésité à se présenter aux élections législatives en Ille-et-Vilaine. Avant de lui accorder son bon de sortie, Emmanuel Macron l'a chargé de travailler sur les contours du Conseil national de la refondation et sur une éventuelle prise de parole sur le sujet. Jonathan Guémas a aussi rédigé à la hâte, avec le président, sa déclaration surprise depuis le tarmac de l'aéroport d'Orly appelant les Français à lui donner une majorité dimanche. Preuve de la confiance qu'il accorde à son protégé, le chef de l'État lui a aussi demandé de plancher avec l'eurodéputé Stéphane Séjourné sur la future charte des valeurs du parti Renaissance.

Après la nomination de Rima Abdul-Malak comme ministre de la Culture, Emmanuel Macron doit trouver un nouveau conseiller en la matière. Emmanuel Bonne, sherpa et conseiller G20, en première ligne depuis le début de l'offensive russe en Ukraine, serait aussi sur le départ. Un temps cité comme démissionnaire, le directeur de cabinet, Patrick Strzoda, en poste depuis 2017, pourrait finalement conserver ses fonctions. L'ancien journaliste Bruno Roger-Petit, en charge du volet mémoriel, devrait poursuivre à son poste. Quant au conseiller politique informel Thierry Solère, il pourrait bien avoir renoncé à se représenter aux élections législatives pour être officiellement intégré à l'organigramme.

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Difficiles pour le président qui risque d'avoir une majorité relative et donc moins de pouvoir pour gouverner le pays à sa guise !?

Ce remaniement ministériel est presque obligatoire car trop issu de l’ancien gouvernement de « pattes cassées » serviles inféodés ou président et qui devra composer avec la majorité (si relative) et pas majoritaire au président et à sa 1ere ministre si elle est encore en poste !?

L’issue de ces élections législatives donnera le ton du nouveau gouvernement choisit par le président, car il paiera son peu d’implication dans ces campagnes que ce soit la présidentielle ou ces législatives croyant que la gestion de son quinquennat 2022/2027 coulait de source après son 1er quinquennat pourtant médiocre !

Et par sa faute s’étant trop moqué des Français lambda comme d’habitude en propulsant en avant les extrémistes de tous bords qu’il disait combattre fiasco intellectuel de sa part contre M LE PEN qui avec quand même 42 % de suffrage à la présidentielle et surtout l’opportuniste plus malin que lui en 2017 avec MELENCHON et son parti LFI qui a réussi à fédérer sous la même bannière fourretout des mécontents en cette « NUPES » !?

Car là ces Français qui réclament le changement depuis 40 ans ont votés différemment et quelque soit le résultat laissera des traces jusqu’en 2027 !

À moins que le président dissolve l’Assemblée nationale mais que de temps perdu alors que notre pays est en situation difficile inflationniste et en économie de guerre avec une épée de DAMOCLES au-dessus de nos têtes que notre petit pseudo monarque ne saura pas parer ne sachant que bavarder !

Qui aurait cru que ces législatives seraient « la cerise sur un gâteau déjà empoisonné » on verra le 19/6 !?

Jdeclef 16/06/2022 14h28


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