jeudi 19 décembre 2013

ENCORE UN ÉLU (SÉNATEUR) QUI SE CROYAIT A L’ABRI ET TOUT PERMIS !


Jean-Vincent Placé doit régler environ 18.000 euros de PV en souffrance

POLITIQUE - Le sénateur EELV de l'Essonne affirme avoir réglé «le capital» des amendes dès août 2010 et avoir demandé une «négociation sur les pénalités», mais être sans nouvelles depuis «du service automatisé de Rennes» avec lequel il avait eu ces échanges... Jean-Vincent Placé (EELV) doit régler environ 18.000 euros d'amendes à la suite d'une centaine d'infractions routières, datant d'avant 2010, information révélée par Le Canard Enchaîné ce mercredi, le conseiller régional se disant auprès de l'AFP «prêt à payer depuis le début». L'hebdomadaire satirique reproduit un document où la région Ile-de-France (propritéaire du véhicule) relancerait l'élu écologiste, lui demandant «en urgence de régulariser sa situation».
Le Conseil régional d'Ile-de-France, présidé par le PS Jean-Paul Huchon, a reçu en «octobre dernier une relance de la préfecture de police», a déclaré à l'AFP l'entourage de Jean-Paul Huchon, précisant toutefois que le courrier publié n'était «qu'au stade de projet, pas encore paraphé et qu'il n'avait donc pas été envoyé à Jean-Vincent Placé». «Il s'agit d'une procédure administrative classique de relance, dans laquelle la région ne joue qu'un rôle de transmission», a-t-on fait valoir de même source.

Il affirme avoir réglé «rubis sur l'ongle» «le capital» des amendes

Jean-Vincent Placé a affirmé à l'AFP qu'il était «responsable» de ces infractions: «Je ne le conteste pas, je suis d'accord pour payer depuis le début». Ce début remonte à 2010 quand une facture «pour 22.000 euros d'amendes était arrivée à la région», se souvient Michèle Sabban, vice-présidente PS à la région, en charge de l'administration. En effet, la préfecture de police se retourne vers le propriétaire du véhicule, en l'occurrence la Région), qui ensuite se retourne vers le conducteur.

Curieusement Mr PLACE (peut être parce que c'est un élu) n'a pas été inquiété depuis 3 ans ?


Il se croyait peut être à l'abri en tant que sénateur comme d'autre protégé indirectement par leur fonction ou mandat!


Une honte de plus de cette France de nantis et de privilégiés qui se croit tout permis!


JDECLEF19.12.2013 -

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