mardi 17 décembre 2013

ET ALORS QUI VA LES EMPÊCHER DE LE FAIRE ? SUREMENT PAS LEURS ALLIES EUROPÉENS HYPOCRITES ? CAR ILS ONT BESOIN DES USA!


Un juge américain dénonce la surveillance «quasi-orwelienne» de la NSA

(George Orwell écrivain anglais a crée 

 

le concept de Big Brother)

ÉTATS-UNIS - L'agence, elle, contre-attaque dans les médias pour rassurer l'opinion et tenter d'éviter de perdre certaines de ses prérogatives...

La NSA s'est fait pincer avec le doigt dans le pot à confiture, et cela pourrait bien lui coûter certains de ses privilèges. Lundi, un juge fédéral d'un tribunal civil de Washington a infligé un revers au programme de surveillance de l'agence américaine, estimant que la collecte de métadonnées du téléphone d'un particulier constituait une «atteinte à la vie privée» et mettant en doute sa constitutionnalité.
Dans une cinglante injonction préliminaire, le juge Richard Leon qualifie la collecte à grande échelle des métadonnées téléphoniques (numéros appelées, durée des appels etc) sans feu vert préalable de la justice de surveillance est «quasi-orwellienne». «Il est évident qu'un tel programme empiète» sur les valeurs défendues par le quatrième amendement de la Constitution américaine relatif à la protection de la vie privée, écrit le juge Leon.
Destruction des données des plaignants
Le juge a interdit «au gouvernement de collecter les métadonnées téléphoniques des comptes Verizon de Larry Klayman et Charles Strange», les plaignants. Le gouvernement devra également détruire toutes les métadonnées de ces deux Américains déjà été collectées.
Sur la question fondamentale de la constitutionnalité d'un tel programme, le juge a toutefois botté en touche en renvoyant le dossier vers une cour d'appel qui devra se prononcer.
Snowden salue la décision
La NSA contre-attaque
Au cours du week-end, un ancien employé de la NSA a expliqué sur son blog que sa mission numéro 1 était de lutter contre le terrorisme et qu'il était un «patriote». Il affirme que lorsque l'agence collecte «accidentellement» des données sur des Américains, elles sont détruites. «Les copies des emails ne sont pas vus par la police ou le FBI, par exemple, dans une enquête pour consommation de marijuana», écrit Loren Sands-Ramshaw. Cet automne, Reuters affirmait cependant que le DEA, l'agence de lutte contre les drogues, avait parfois 
accès aux données de la NSA.


Les américains adorent s'auto-flageller, ce qui ne les empêchent pas de continuer de faire ce qu'ils font (en persistant à dire que les autres aussi le font) même si ce n'est pas à la même échelle de grandeur!


Beaucoup de bruit pour rien le mal est fait !

JDECLEF17.12.2013 -

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