François Hollande s'est rendu le 10 décembre
à Bangui (Centrafrique) pour rendre hommage aux deux soldats français tués la
veille.
Dès son arrivée à Bangui, il s'est recueilli devant les cercueils des deux soldats du 8e régiment parachutiste d'infanterie de marine de Castres (sud) à l'aéroport de la ville, où est basé l'essentiel du dispositif de l'opération française Sangaris, 1.600 hommes au total.
Les deux hommes ont été tués dans la nuit au cours d'un accrochage avec des assaillants non-identifiés dans quartier proche de l'aéroport. Il s'agit des premières pertes françaises depuis le déclenchement jeudi soir de l'intervention française Sangaris, dans la foulée d'un feu vert de l'ONU.
«Il était temps d'agir (...) Ici même à Bangui près de 400 personnes ont été tuées. Il n'était plus le temps de tergiverser», a déclaré François Hollande devant les troupes françaises, alors que la ville -placée sous couvre-feu- était survolée en permanence par des avions et des hélicoptères de combat.
Centrafrique: Une mission «dangereuse mais nécessaire» pour éviter «un carnage» (oui peut être mais le carnage avait déjà eut lieu..!)
ARMÉE - François Hollande s'est rendu à Bangui mardi, afin de rendre hommage aux deux soldats français tués la veille...
La mission de la France en Centrafrique est «dangereuse» mais «nécessaire» pour éviter «un carnage», a déclaré mardi soir François Hollande à Bangui après s'être recueilli dès son arrivée devant la dépouille des deux soldats tués la veille. «Il était temps d'agir», a ajouté François Hollande, venu d'Afrique du Sud, où il a assisté le jour-même à la cérémonie d'hommage à Nelson Mandela.Dès son arrivée à Bangui, il s'est recueilli devant les cercueils des deux soldats du 8e régiment parachutiste d'infanterie de marine de Castres (sud) à l'aéroport de la ville, où est basé l'essentiel du dispositif de l'opération française Sangaris, 1.600 hommes au total.
Les deux hommes ont été tués dans la nuit au cours d'un accrochage avec des assaillants non-identifiés dans quartier proche de l'aéroport. Il s'agit des premières pertes françaises depuis le déclenchement jeudi soir de l'intervention française Sangaris, dans la foulée d'un feu vert de l'ONU.
«Il était temps d'agir»
«L'émotion, elle est évidente après ce qui s'est produit: deux soldats qui sont morts pour la mission qui leur avait été confiée, qui se poursuit, et d'autres soldats qui sont encore en ce moment même, au moment où je suis présent, sur le terrain, pour pacifier cette ville et ce pays», a déclaré le président.«Il était temps d'agir (...) Ici même à Bangui près de 400 personnes ont été tuées. Il n'était plus le temps de tergiverser», a déclaré François Hollande devant les troupes françaises, alors que la ville -placée sous couvre-feu- était survolée en permanence par des avions et des hélicoptères de combat.
Voila, deux jeunes soldats tués hélas
dans l'exercice de leur métier pour la France, suite à une mission décidée par le
chef des armées F.HOLLANDE!
Mais on ne fait pas la guerre sans
risque, il faut s'y habituer, par contre de l'utilité de la faire, là c'est une
autre vue?!
Conclusion : maintenant, il va falloir
finir le travail jusqu'au bout (mais
surtout pendant combien de temps?)
Et pas seulement à Bangui, car le pays
est grand, même si pas trop peuplé!
Je ne crains que notre président est
pris sa décision sur une émotion peut être légitime, mais irréalisable dans
l'avenir, car ce pays est sans système
politique, anarchique et tout est à faire et les militaires à eux seuls ne
pourront y arriver!
Entre faire de l'humanitaire et
pacifier un pays en guerre civile, ce n'est pas la même chose!
felced11.12.2013 -
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