dimanche 29 décembre 2013

POLITIQUE INTERNATIONALE ÉGALE À SURTOUT POLITIQUE COMMERCIALE QUI FONT QUELQUE FOIS OUBLIER LES IDÉO MORALISTES HYPOCRITES …

François Hollande et le roi Abdallah d'Arabie saoudite lors de leur rencontre à Djeddah, dimanche 4 novembre 2012.

Pourquoi François Hollande retourne de nouveau en Arabie Saoudite ?

DIPLOMATIE – Il sera question de crise au Moyen-Orient, mais aussi de gros sous...

François Hollande est de retour en Arabie Saoudite. A la veille du Nouvel An, le président de la République y effectuera à partir de dimanche son deuxième déplacement, après la brève escale de novembre 2012 entre Beyrouth et le Laos. Deux jours pour évoquer avec le roi Abdallah les crises qui secouent le Moyen-Orient, à commencer par le Liban, la Syrie ou l'Egypte, mais aussi d'alléchantes perspectives commerciales.
François Hollande sera accompagné de quatre ministres, Laurent Fabius (Affaires étrangères), Arnaud Montebourg (Redressement productif), Nicole Bricq (Commerce extérieur) et Jean-Yves Le Drian (Défense) ainsi que d'une trentaine de dirigeants d'entreprises parmi lesquelles EDF, Areva, Alstom et Thales.

L'Arabie saoudite «partenaire de référence» pour la France

Au chapitre diplomatique, l'Arabie saoudite, souligne-t-on à Paris, «prend des responsabilités croissantes» au Moyen-Orient où elle fait désormais figure de «partenaire de référence» pour la France.
Le royaume saoudien veut «élargir son partenariat avec la France» alors que ses relations avec Washington sont tendues en raison des positions américaines sur la Syrie et l'Iran, souligne Abdel Aziz Saqr, directeur du Gulf Research Centre. Le Liban s'invitera sans nul doute dans les conversations, deux jours après l'attentat à la voiture piégée commis vendredi à Beyrouth et qui a coûté la vie à un proche conseiller de l'ex-Premier ministre Saad Hariri, hostile au régime syrien et à son allié le Hezbollah.
A l'égard de ce pays, les dirigeants français et saoudien devraient discuter des moyens de conjuguer leurs efforts dans deux domaines jugés «cruciaux» par l'Elysée : le soutien à l'armée libanaise et la question des réfugiés syriens. Ryad s'inquiète des interférences iraniennes dans les affaires arabes et notamment au Liban où son influence s'exerce également via le Hezbollah, tandis que la France s'oppose à un accord sur le nucléaire iranien aux conditions de Téhéran, soupçonné de dissimuler des finalités militaires.
Au-delà du Liban, François Hollande et les dirigeants saoudiens devraient balayer le champ complet des crises régionales. S'ils estiment de la même manière, selon Paris, qu'il «n'y a pas de solution politique autour de Bachar al-Assad», le numéro un syrien, ils divergent en revanche sur l'Egypte. Ryad apporte un soutien inconditionnel au nouveau pouvoir égyptien alors que Paris prône un large dialogue national.

Le royaume, premier client de la France dans la région


Pour simplement faire le VRP chez le meilleur client de la France, à qui ont peut vendre du gros matériel militaires, bateaux, sous marins, missiles etc...

Et d'ailleurs une trentaine de chef d'entreprise l'accompagne!

Ce n'est que du vulgaire commerce peut importe les orientations politiques ou autres du pays, l'argent n'a pas d'odeur surtout en période de crise, seuls ce types de pays paient rubis sur l'ongle!

jdeclef29.12.2013 -

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