François Hollande au sommet de l'Otan, le 5
septembre 2014.
Le chef de l'Etat a souhaité apporter son «soutien et l’amitié de la France envers ce nouveau gouvernement ».
«Cette solidarité prend plusieurs formes: politique, sécuritaire et humanitaire, face a un groupe terroriste qui n’a pas de frontières mais a des interêts territoiraux. Qui veut faire la guerre à tou ceux qui ne partagent pas leur vision du monde fondé sur la terreur», a-t-il ajouté. La conférence qui s'ouvrira lundi à Paris servira à «coordoner les aides, les soutiens, et les actions pour préserver l’unité de l’irak et lutter contre ce groupe terroriste».
Hollande est accompagné du chef de la diplomatie Laurent Fabius et du ministre de la Défense Jean-Yves Le Drian.
Onze ans après avoir refusé de suivre Washington et Londres dans l'invasion de l'Irak, la France tente ainsi de revenir sur le devant de la scène dans ce pays avec lequel elle a entretenu des liens historiques forts mais ambigus, sous le régime de Saddam Hussein - renversé par l'invasion américano-britannique de 2003.
Le Premier ministre Haïdar al-Abadi est à la tête d'un gouvernement de rassemblement approuvé lundi par le Parlement irakien même si plusieurs portefeuilles clés, dont la Défense et l'Intérieur, restent à pourvoir.
Dès lundi, François Hollande retrouvera son homologue irakien à Paris pour une conférence sur «la paix et la sécurité» en Irak qu'ils coprésideront autour de trois objectifs: affirmer le soutien de la communauté internationale au nouveau gouvernement irakien, coordonner la lutte contre l'EI et engager les efforts humanitaires et de reconstruction de l'Irak.
Irak: Hollande venu apporter une solidarité «politique, sécuritaire et humanitaire» au nouveau gouvernement
IRAK - Le président français est arrivé à Bagdad pour y rencontrer le
président irakien Fouad Massoum et le Premier ministre Haïdar al-Abadi...
François Hollande est arrivé vendredi à
Bagdad où il entend témoigner du soutien de la France au nouveau gouvernement
irakien et préciser sa stratégie à l'encontre des djihadistes de l'État
islamique (EI), a constaté un journaliste de l'AFP.Le chef de l'Etat a souhaité apporter son «soutien et l’amitié de la France envers ce nouveau gouvernement ».
«Cette solidarité prend plusieurs formes: politique, sécuritaire et humanitaire, face a un groupe terroriste qui n’a pas de frontières mais a des interêts territoiraux. Qui veut faire la guerre à tou ceux qui ne partagent pas leur vision du monde fondé sur la terreur», a-t-il ajouté. La conférence qui s'ouvrira lundi à Paris servira à «coordoner les aides, les soutiens, et les actions pour préserver l’unité de l’irak et lutter contre ce groupe terroriste».
Aide humanitaire livrée à Erbil
Son avion transporte 15 tonnes d'aide humanitaire devant être livrées à Erbil, dans le nord de l'Irak, ou il se rendra plus tard dans la journée, après avoir rencontré son homologue irakien Fouad Massoum et le Premier ministre Haïdar al-Abadi.Hollande est accompagné du chef de la diplomatie Laurent Fabius et du ministre de la Défense Jean-Yves Le Drian.
Onze ans après avoir refusé de suivre Washington et Londres dans l'invasion de l'Irak, la France tente ainsi de revenir sur le devant de la scène dans ce pays avec lequel elle a entretenu des liens historiques forts mais ambigus, sous le régime de Saddam Hussein - renversé par l'invasion américano-britannique de 2003.
Le Premier ministre Haïdar al-Abadi est à la tête d'un gouvernement de rassemblement approuvé lundi par le Parlement irakien même si plusieurs portefeuilles clés, dont la Défense et l'Intérieur, restent à pourvoir.
Réponse militaire, diplomatique et humanitaire
Le président français fera également escale dans la journée à Erbil, dans les pas de Laurent Fabius qui s'était rendu le 10 août dans la capitale de la région autonome du Kurdistan irakien pour y superviser une livraison d'aide humanitaire française aux réfugiés fuyant la progression fulgurante des djihadistes de l'EI.Dès lundi, François Hollande retrouvera son homologue irakien à Paris pour une conférence sur «la paix et la sécurité» en Irak qu'ils coprésideront autour de trois objectifs: affirmer le soutien de la communauté internationale au nouveau gouvernement irakien, coordonner la lutte contre l'EI et engager les efforts humanitaires et de reconstruction de l'Irak.
F.HOLLANDE est un beau parleur, tout
le monde le sait, que peut-il dire à l'Irak que la (petite) France sera là, à la différence de son absence lors de la
1ere guerre pour la chute de Sadam Hussein avec une coalition européenne US et
autres mondiales...
Mais ce qu'il faut bien constater
c'est l'échec des occidentaux en général, en 13 ans depuis 2001 et l'attentat
du 11 septembre (hasard de cette date
anniversaire) avec l’Avènement de Al Quaida et même après la chute de Ben
Laden plus tard le terrorisme et le djihadisme islamique s'est étendu et
développé en puissance comme un virus endémique car:
Après l'AFGHANISTAN et la lutte
commune contre les Talibans, de cette même coalition européenne et USA, les
occidentaux se sont retirés sans avoir réussi à éradiquer le mal et on cru
qu'en se dégageant et mettant en place de pseudo démocraties à l'occidentale
fantoches qui ne correspondent pas à la culture de ces pays ou les religions
ont une extrême importance, et en les armant, en formant soit disant leurs
armées, exemple l'Irak cela marcherait et bien cela s'est retourné contre eux
et contre l'occident détesté par ces fanatiques!
Et en plus "cerise sur le gâteau"
on a créé ces fameux "printemps arabes véritables nids empoisonnés"
par des extrémismes religieux radicaux et bien sur terroristes et
maintenant, ils sont à la porte de l’Europe, (voir la Libye par exemple),
ainsi que l'Afrique de l'ouest et sub saharienne que l'armée française contient
pour l'instant!
Alors oui, maintenant les occidentaux
commencent à se remuer, d'abord en parole et en actes ensuite, mais il faudra
selon les estimations 2 à 3 ans pour essayer d'éradiquer ce fléau et cela
n'augure pas l'absence d'attentats sur les sols des pays occidentaux en plus!
(Bravo et merci pour
l'incompétence et l'inconscience de nos dirigeants!)
JDECLEF12.09.2014 -
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