Assemblée nationale, illustration.
Les députés examinaient ce texte depuis lundi soir dont le but est donc notamment d'empêcher les départs en Syrie de candidats au djihad, dont les autorités craignent qu'ils ne commettent des attentats à leur retour à l'instar de Mehdi Nemmouche. Au moment même où la France s'implique dans une coalition contre l'Etat islamique, le texte, qui veut s'attaquer également au «cyberdjihadisme», a fait l'objet d'un vote consensuel à l'issue des débats.
Mesure phare du texte, le projet de loi instaure une interdiction administrative de sortie du territoire, matérialisée par la confiscation de la carte d'identité et du passeport. Cette interdiction, d'une durée de six mois renouvelable, sera décidée par le ministre de l'Intérieur «dès lors qu'il existe des raisons sérieuses de croire» que la personne visée «projette des déplacements à l'étranger ayant pour objet la participation à des activités terroristes» ou «sur un théâtre d'opérations de groupements terroristes».
Le projet de loi antiterroriste a été adopté par l'Assemblée nationale
LOI - Le texte vise à renforcer l'arsenal antiterroriste
afin notamment d'empêcher les départs en Syrie de candidats au djihad...
L'Assemblée nationale a adopté, ce jeudi
matin, le projet de loi antiterroriste porté par le ministre de l'Intérieur
Bernard Cazeneuve. Il viste notamment à renforcer l'arsenal
antiterroriste afin notamment d'empêcher les départs en Syrie de candidats au
djihad...Les députés examinaient ce texte depuis lundi soir dont le but est donc notamment d'empêcher les départs en Syrie de candidats au djihad, dont les autorités craignent qu'ils ne commettent des attentats à leur retour à l'instar de Mehdi Nemmouche. Au moment même où la France s'implique dans une coalition contre l'Etat islamique, le texte, qui veut s'attaquer également au «cyberdjihadisme», a fait l'objet d'un vote consensuel à l'issue des débats.
Reporters sans Frontières
L'opposition a ainsi soutenu ce projet au nom «de l'unité nationale contre le terrorisme», selon l'UMP Guillaume Larrivé. Hors de l'hémicycle en revanche, des organisations, comme le Syndicat de la Magistrature (SM) ou Reporters sans Frontières dénoncent des «atteintes aux libertés publiques» par des «mesures dérogatoires» au droit commun.Mesure phare du texte, le projet de loi instaure une interdiction administrative de sortie du territoire, matérialisée par la confiscation de la carte d'identité et du passeport. Cette interdiction, d'une durée de six mois renouvelable, sera décidée par le ministre de l'Intérieur «dès lors qu'il existe des raisons sérieuses de croire» que la personne visée «projette des déplacements à l'étranger ayant pour objet la participation à des activités terroristes» ou «sur un théâtre d'opérations de groupements terroristes».
Cette loi parait peu efficace (enfin, elle va exister...)
Notamment au niveau d'internet sur qui
l'on rejette un peu trop facilement la responsabilité et cause de cet afflux de
jeunes voulant aller faire le DJIHAD il y a surtout aussi ces fameux réseaux
dit sociaux (face book ,twitter etc)
vecteurs de tout et n'importe quoi sans contrôle!
Regardez nos politiciens élus ou non
même au plus haut de l'état qui s'en servent, pour véhiculer des insanités
envers les uns et les autres, le tout teinté de mensonges, alors, les apprentis
terroristes prêcheurs, recruteurs de tout poils ratissent aussi chez les plus
faibles influençables!
Il y a aussi d'autres
"prêcheurs" malfaisants dans des lieux de cultes ou autres quartiers
de villes ou zones connues ou il faudrait aller "taper dans la fourmilière", mais pour cela, il faut
avoir le courage d'appeler les choses par leur nom et dire "un chat est un chat", en laissant le politiquement
correct hypocrite de coté et en affrontant les "boucliers si vertueux de toutes ces associations de bien
pensants"!
Il s'agit quand même de sauver des
jeunes influençables en perdition qui gâchent leurs vies et garantir notre
sécurité nationale!
jdeclef18.09.2014 -
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