samedi 20 septembre 2014

SARKOZY SE LANCE DANS UNE BATAILLE DE LONGUE ALEINE QU'IL ESPÈRE GAGNER CAR IL Y CROIT, CE DIABLE QUI SORT DE SA BOITE!

L'ancien président Nicolas Sarkozy quitte son bureau parisien, le 19 septembre, jour de l'annonce de son retour politique
Retour de Sarkozy: Les éditorialistes ne croient pas qu'il ait changé 

UMP - Sans leadership ni projet alternatif clair à la politique socialiste, l'opposition de droite ne semble pas si bien lotie...
Paris - Après des mois de faux suspense, l'ex-président français Nicolas Sarkozy, battu en 2012 par le socialiste François Hollande, a annoncé vendredi son retour en politique, avec l'objectif implicite de gagner la présidentielle de 2017.
S'ils ne sont pas surpris par le retour de Nicolas Sarkozy dans l'arène politique via Facebook vendredi, les éditorialistes ne croient pas qu'il ait changé comme il l'affirme, allant jusqu'à évoquer le «nouveau nouveau Sarkozy».

Retour à l'affrontement gauche-droite

Sans leadership ni projet alternatif clair à la politique socialiste, l'opposition de droite ne semble pas de son côté mieux lotie. L'UMP est en grave crise financière et morale et n'est pas à l'abri d'enquêtes judiciaires pouvant s'intéresser à la campagne présidentielle de Nicolas Sarkozy en 2012. Dans son texte, Nicolas Sarkozy précise qu'il souhaite «transformer de fond en comble» cette formation, en vue de créer un «vaste rassemblement» dépassant «les clivages traditionnels».
Même si la majorité des Français ne souhaite pas le revoir sur la scène politique, selon un récent sondage, Nicolas Sarkozy montre avec son message qu'il croit en ses chances au vu des désillusions qui accompagnent la gestion de son successeur.
«En deux ans, les choses ont bougé. Il n'est peut être pas aussi attendu que ça», tempère toutefois Eddy Fougier, politologue. «Même s'il bénéficie d'une image d'homme providentiel auprès d'une partie de la droite, je ne crois pas qu'il ait un boulevard aussi large que l'on dit».

Gare à Juppé et Fillon

Le pouvoir socialiste s'est efforcé ces derniers jours de banaliser le retour de l'ancien adversaire de François Hollande. Interrogé jeudi, l'actuel chef de l'Etat l'a ramené au rang de simple «candidat à la présidence d'un parti» d'opposition. «Nicolas Sarkozy veut participer: eh bien, nous le jugerons aussi sur l'état dans lequel il a laissé le pays», a déclaré mercredi Manuel Valls, promettant des joutes «chiffrage contre chiffrage, projet contre projet».
Dans l'opposition de droite, Nicolas Sarkozy aura deux rivaux sur son périple vers 2017: Alain Juppé, son ex-chef de la diplomatie, 69 ans, et François Fillon, 60 ans, son ex-Premier ministre pendant cinq ans. Tous deux ont affiché leurs ambitions présidentielles et sont prêts à lui faire barrage. Une primaire programmée pour 2016 devrait les départager, mais, d'ici là, la lutte risque d'être violente, selon nombre d'experts. Dans les sondages, Alain Juppé est le préféré des Français, même si Nicolas Sarkozy reste le plus populaire à droite.
L'avenir politique de Nicolas Sarkozy est aussi étroitement dépendant de la demi-douzaine d'affaires dans lesquelles son nom est cité: la plus grave à ce jour est une mise en examen (inculpation) en juillet pour corruption active d'un magistrat après une garde à vue, une première pour un ancien président français. «L'agenda politique de l'UMP s'il devient président de l'UMP et l'agenda judiciaire ne vont cesser de se bousculer dans les trois années qui viennent et cela n'est pas un plus pour l'opposition», confirme Pascal Perrineau, professeur à l'Institut d'études politiques de Paris.

Il n'a pas changé c'est évident, il essaiera de donner le change, mais ce sera dur pour lui, il est difficile pour un homme de 59 ans de changer de caractère et attitude ou mauvaises habitudes!

Et certains français (gogos) qui voudraient lui redonner sa chance, qu'ils ce méfient, il n'y a pas que lui, car il a toujours sa clique de fidèles que l'on connait, en arrière plan, car on ne gouverne pas seul (et eux, ils sont gratinés..!)


Si il est de nouveau élu, il réglera ses comptes avec une rigueur très ferme contre ses adversaires du passé, mais aussi avec le peuple français, qu'il voudra mettre au pas, sans état d’âmes par une pseudo démocratie directoriale qui ne voudra pas dire son nom, libérale, sous prétexte de remettre la France sur les rails!


Et pratiquera aussi les faits du prince qu'il avait déjà un peu utilisé, mais qu'il accentuera envers ses amis (et il en a encore qui n'attendent que cela!)


Car il se dira vous m'avez réélu, donc vous êtes d'accords, alors il ne se retiendra plus!


Si des français veulent cela, il ne faudra pas qu'ils pleurent après, ils pourront toujours "râler" après mais cela ne suffira plus malheureusement!

A bons entendeurs salut, une des raisons, parmi d'autres, pour moi et comme pour bien d'autres, qui n'iront une fois plus pas voter, et pour mêmes ceux qui voteront pour le FN et sa leader qui se tromperont, car elle n'aura jamais le pouvoir, car il ne commettra pas l'erreur de vouloir siphonner les voix FN comme en 2007, car il sait pertinemment et il a raison, que M.LE PEN ne pourra pas prendre le pouvoir, les français ne sont pas murs pour cela!


Au pire cela fera comme en 2002, comme pour Chirac au 2eme tour, si M.LE PEN lui est opposée, il enfoncera une porte ouverte avec un score sans appel!


Alors que nos concitoyens réfléchissent bien!


Cette prochaine élection de 2017 est celle de tous les dangers, à cause indirectement de lui, il a raté sa réélection en 2012, c'est de sa faute, et c'est impardonnable, car trop important pour les français et la France qui veut de vrais changements!


Il a 32 mois pour nous faire avaler une pilule amère!

jdeclef20.09.2014 -

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