mercredi 24 septembre 2014

UN NON ÉVÉNEMENT SAUF S'IL A VRAIMENT QUELQUE CHOSE A DIRE…

1 Juillet 2014 Strasbourg -Jerome Lavrilleux a pris place dans l'hémicycle du Parlement Europeen a Strasbourg

Bygmalion: L'UMP confirme la suspension de Jérôme Lavrilleux

POLITIQUE - Et l'exclusion de l'ex-directeur de cabinet de Jean-François Copé sera examinée prochainement...
La commission des recours de l'UMP a confirmé la suspension du parti de Jérôme Lavrilleux
en raison de son rôle dans l'affaire Bygmalion et une commission spéciale va prochainement étudier son exclusion, a annoncé mardi soir à l'AFP une source UMP.
Le député européen, ex-directeur de cabinet de Jean-François Copé à l'UMP et ancien directeur adjoint de la campagne présidentielle de 2012 de Nicolas Sarkozy, va «se faire notifier» de cette décision «prise jeudi dernier à l'unanimité» des membres présents (7, dont deux copéistes, sur 9 au total) de la commission des recours. Lavrilleux avait contesté auprès de cette commission sa suspension décidée avant l'été, jugeant que le bureau politique (BP) du parti avait outrepassé ses droits.

Décision sur son exclusion dans les deux mois

La décision de la commission des recours va également être transmise au secrétaire général par intérim de l'UMP, Luc Chatel, ainsi qu'au BP. C'est désormais une commission spéciale (composée de trois membres: Marc-Philippe Daubresse, Valérie Boyer et Thierry Solère) qui va instruire la procédure d'exclusion de Jérôme Lavrilleux et soumettre son rapport au BP «dans un mois et demi à deux mois», selon cette source.
Si elle se prononce pour l'exclusion, ce qui est probable selon plusieurs sources UMP, cette commission spéciale pourra décider qu'elle est temporaire –le temps de la procédure judiciaire dans l'affaire Bygmalion– ou définitive. Jérôme Lavrilleux pourra contester cette exclusion en justice.

«Je parlerai»

Fin août, Jérôme Lavrilleux avait averti que s'il était exclu de l'UMP, il «parlerait». «Pour le moment je me tais. Mais si on m'exclut de ce parti auquel j'appartiens depuis vingt-cinq ans, alors je reprendrai ma liberté de parole et je parlerai», avait-t-il déclaré au Parisien. Et d'ajouter : «Si on m'exclut de l'UMP, ça se réglera devant les tribunaux. J'ai déjà pris plusieurs avocats.»

Oui et alors?


Suspendu, ne veut pas dire renvoyé de l'UMP (et peut être lui a-t-on promis une compensation pour son silence..?)


Attendons, ce qu'il dira (comme il a menacé de le faire) d'autres, avant " avaient dit aussi qu'ils parleraient" on attend toujours leurs belles paroles, on les connait hélas ces "grandes gueules" politiciens élus ou non qui deviennent souvent des "baudruches dégonflées"!

(Et cela ne date pas d'hier sous d'autres gouvernements aussi quelques soit leurs bords)
 

Pauvre France!


Et des quantités non négligeables de français "gogos" élisent et réélisent de telles cliques de politiciens immuablement depuis des décennies!

jdeclef24.09.2014 -

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire