lundi 8 septembre 2014

CELA VA S'ARRÊTER QUAND CETTE GABEGIE MÉDIATIQUE POUR CE CRIMINEL?!



Mégalo, antisémite et violent: Le vrai visage de Mehdi Nemmouche


PORTRAIT - Selon plusieurs témoins, l'homme inculpé pour quatre assassinats au Musée juif de Bruxelles le 24 mai est animé par son obsession antisémite et sa mégalomanie...  
Mégalomane, antisémite et violent. Chaque jour apporte son lot de révélations sur le passé du tueur présumé du Musée juif de Bruxelles, Mehdi Nemmouche, dont le parcours rappelle à certains égards celui du tueur de Toulouse et Montauban, Mohamed Merah.

La prison le radicalise

Une montée en puissance dans la délinquance qui le conduit à la radicalisation. Car c’est lors de sa dernière période de détention, dans le sud de la France, entre 2007 et 2012, que Mehdi Nemmouche change, y compris physiquement. Les cheveux courts, il porte une fine moustache, une fine barbe et il est physiquement corpulent. A cette époque, il s’est «illustré par son prosélytisme extrémiste, fréquentant un groupe de détenus islamistes radicaux et faisant des appels à la prière collective en promenade», indique le procureur. Selon une source proche du dossier, en prison, Nemmouche montre une certaine fascination pour Mohamed Merah.
Passant de la parole aux actes, «trois semaines seulement après sa libération», le 4 décembre 2012, Mehdi Nemmouche se rend en Syrie, où il passe «plus d’une année». Il aurait intégré les rangs du groupe djihadiste radical et violent, l’Etat islamique de l’Irak et du Levant (EIIL).

Une cruauté extrême avec les otages

Selon les dernières révélations du Point et du Monde, Mehdi Nemmouche aurait d’ailleurs été l’un des geôliers du journaliste Nicolas Hénin, otage en Syrie entre juillet et décembre 2013. Un épisode pendant lequel il se serait illustré par un certain sadisme. «Quand Nemmouche ne chantait pas, il torturait. Il était membre d’un petit groupe de Français dont la venue terrorisait la cinquantaine de prisonniers syriens détenus dans les cellules voisines. Chaque soir, les coups commençaient à pleuvoir dans la salle dans laquelle j’avais moi-même été interrogé. La torture durait toute la nuit, jusqu’à la prière de l’aube», témoigne Nicolas Hénin dans Le Point.
A plusieurs reprises, les autres geôliers sont même obligés de «protéger les otages occidentaux des violences de Nemmouche», qui menace de les tuer. Pratiquant la torture mentale, il se plaît à chanter aux captifs français «la bohème, la bohème, nous en mangions qu’un jour sur deux».

«L’obsession antisémite»

«Il avait une espèce d’obsession antisémite, une obsession à vouloir imiter ou dépasser Merah, son modèle», explique encore le journaliste. Tout en précisant que selon lui, Nemmouche «n’est pas un idéologue islamiste. Il le disait lui-même: il se définissait comme un jeune criminel transformé en nettoyeur ethnique, c’est ce qu’il disait en permanence».

Il faudrait surtout que les médias pour faire du buzz ou du papier arrêtent de parler de lui, car cela lui plait, connaissant le profil de ce personnage, cette débauche médiatique!


Et en plus cela donne des idées à d'autres illuminés fanatisés qui le prendront pour martyr ou héros!

Regarder pour Merah on n'en parle encore et en plus grâce à lui indirectement!

jdeclef08.09.2014 -

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