mercredi 26 février 2014

LE CRAN EST UNE ASSOCIATION EXTRÉMISTE QUI JETTE DE L'HUILE SUR LE FEU POUR SEMER LA ZIZANIE ENTRE COMMUNAUTÉ DANS NOTRE PAYS !

Le 8 janvier 2014, la ligne Congo-Océan de la compagnie spie Batignolles.

Ligne Congo-Océan: La SPIE-Batignolles assignée en justice pour «crimes contre l’humanité»

JUSTICE – Le Conseil représentatif des associations noires l’accuse d’avoir causé la mort de 17.000 personnes sur le chantier de la ligne Congo-Océan…

Les anciens racontent qu’à chaque fois qu’ils posaient une traverse, les ouvriers enterraient deux des leurs le long de la voie ferrée. Accusée, dans les années 1920, d’avoir tué «au-moins» 17.000 personnes sur le chantier de la ligne de chemin de fer «Congo-Océan», l’entreprise SPIE-Batignolles, spécialiste des travaux publics, va être assignée en justice ce mercredi à Paris. Le Conseil représentatif des associations noires (Cran) l’accuse de «crime contre l’humanité».

Des hommes déportés du Tchad ou du Gabon…

La dépouille du grand-père de Dominique Nitoumbi est donc là. Quelque part sous les 512 kilomètres de rails poussiéreux qui relient Brazzaville à Pointe-Noire, au Congo. «Un jour, j’ai accompagné mon père dans ce train, raconte cet homme installé aujourd’hui dans la région Midi-Pyrénées. C’est là qu’il m’a dit que mon grand-père était mort pendant les travaux.» Le vieux était du genre «taiseux». Dominique Nitoumbi, un enfant.
Mais, une fois revenu au village, à 70 kilomètres de Brazzaville, il n’a pu s’empêcher de poser des questions aux «grands». On lui a alors expliqué la ligne Congo-Océan. C’était dans les années 1920. Cette partie du Congo était administrée par la France. Et il fallait relier Brazzaville à l’océan Atlantique pour envoyer en Europe toutes les matières qui manquaient après guerre. «Le coton du Tchad et de Centrafrique, le bois du Gabon, les oléagineux et le cuivre du Congo», liste Dominique Nitoumbi.

Des lieux de mémoire à construire

Aujourd’hui, Louis-Georges Tin voudrait que la SPIE soit condamnée à construire des lieux de mémoire le long de la voie ferrée. «Il n’y a pas de monument à part un buste du gouverneur Antonetti à Pointe-Noire, déplore Dominique Nitumbi. En revanche, chaque gare, chaque village garde ça dans sa chair. Par exemple, la gare de Miseru porte le nom d’une ethnie du Tchad qui a été décimée par le chantier.»

Le CRAN fait partie de ses associations (dites de bien pensants) extrémiste et sectaire qui polluent la France et qui sous prétexte de moralité veulent refaire l'histoire de notre pays et du monde en général ce qui est utopique et inconcevable!


Si l'on doit remonter aux calandres grecques on trouvera facilement des événements bien sur que l'on condamnerait maintenant, car notre société et celle du monde dit civilisé a évolué, même s'il n'est pas parfait!

Car l'histoire du monde et de la France est jalonné d’événements plus ou moins graves que l'on considère immoraux ou répréhensibles et rapportés que l'on ne nie pas dans l'histoire qui a touché des hommes, mais pas seulement des noirs africains!


Alors arrêtons avec les noirs africains et leurs malheurs anciens et présents, ils sont libres depuis la décolonisation et curieusement encore, pourtant par exemple, c'est les vilains blancs français (ex colonisateurs ) qui essaient de séparer des noirs d'une même région en Centrafrique qui s'entretuent avec barbarie! 

Que la Sté Française SPIE BATIGNOLES fasse un monument commémoratif pour rappeler à titre de mémoire cet événement triste, cela peut être une bonne chose, mais cela suffit d'en vouloir aux français, car ils continuent actuellement à aider l'Afrique et les africains et les infrastructures construites restent et profitent aux africains!

Autre exemple : Aux USA la construction du  premier transcontinental de l'Histoire. Cet exploit technique nécessita le sacrifice de près de 2000 hommes sur les 20000 employés, en majorité des coolies chinois très peu épargnés ni considérés et maintenant oubliés.

jdeclef26.02.2014

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire