Les taxis sont en grève contre les VTC, le 10
février 2014.
Il faut dire que les taxis parisiens se sont fait remarquer. Partis d’Orly et de Roissy, leur cortège a convergé à une très petite vitesse vers le centre de Paris, direction le 7e arrondissement de Paris. Et, au cours de la journée, quelques groupes de chauffeurs ont bloqué plusieurs portes de la capitale, créant d’importants bouchons. La deuxième manifestation depuis le début de l'année.
Les taxis, eux, doivent acheter une licence très onéreuse qui se négocie autour de 230.000 euros à Paris, mais ont le privilège en contrepartie de «héler» le client dans la rue. Seulement, d’après eux, de nombreux VTC sortent ne respectent pas la règle du jeu. «Allez dans les aéroports et les gares parisiennes. Ils attendent le client dans les halls d’entrée. Ce sont des clandestins autorisés qui sont en train de nous tuer à petit feu», regrette José, chauffeur de taxi depuis cinq ans.
Grève des taxis: «Les VTC sont en train de nous tuer à petit feu»
SOCIAL – Des milliers de chauffeurs ont bloqué des axes importants de la capitale…
Les chauffeurs de taxis n’ont pas gagné les cœurs de potentiels clients ce lundi. Au contraire… Sur la Place de la Porte maillot, bloquée depuis la matinée par une centaine de chauffeurs, les automobilistes se frayaient un chemin difficilement et au compte-goutte à travers les véhicules à l’arrêt. Klaxons, parfois injures et bras d’honneur, ont marqué l’exaspération des usagers de la route.Il faut dire que les taxis parisiens se sont fait remarquer. Partis d’Orly et de Roissy, leur cortège a convergé à une très petite vitesse vers le centre de Paris, direction le 7e arrondissement de Paris. Et, au cours de la journée, quelques groupes de chauffeurs ont bloqué plusieurs portes de la capitale, créant d’importants bouchons. La deuxième manifestation depuis le début de l'année.
Des «clandestins autorisés»
«Il faut marquer le coup. On n’a plus rien à perdre», crache un syndicaliste au micro d’un porte-voix aux sonorités métalliques. Principal objet de colère, la concurrence qu’il juge «déloyale» des véhicules de tourisme avec chauffeur (VTC). Ces derniers se sont développés ces dernières années. Leur enregistrement ne coûte que 100 euros, mais ils ne peuvent travailler que par réservation.Les taxis, eux, doivent acheter une licence très onéreuse qui se négocie autour de 230.000 euros à Paris, mais ont le privilège en contrepartie de «héler» le client dans la rue. Seulement, d’après eux, de nombreux VTC sortent ne respectent pas la règle du jeu. «Allez dans les aéroports et les gares parisiennes. Ils attendent le client dans les halls d’entrée. Ce sont des clandestins autorisés qui sont en train de nous tuer à petit feu», regrette José, chauffeur de taxi depuis cinq ans.
Davantage de contrôles
Si on parlait des clients des taxis ou
autres assimilés?
Il y a surement des disparités et une
régulation à faire dans le monde des taxis, mais pourquoi les taxis parisiens
notamment sont mal aimés:
Parce que : avoir besoin d’un taxi à
Paris dont la course est déjà chère n'est pas simple (beaucoup se cantonnent aux aéroports et gares parisiennes)
En trouver qui soient courtois çà
existent surement, mais c'est rare et qui ne râlent pas en conduisant en se
plaignant de tout, et si vous êtes provincial
qui n’en profitent pas et vous promènent
par un trajet plus long par exemple!
Qui refuse la course parce que la destination
ne leur convient pas!
Ou en station le délai d'attente est
long voir certains qui passent à vide devant, sans s’arrêter!
Ou quand vous téléphonez pour en avoir
un ou on vous donne un délai, mais et il n'arrive jamais!
ETC...
Alors on peut concevoir qu’il ne soit
pas normal de telles disparités entre VTC et aussi moto-taxi et cela devrait
être régulé ?
Mais ce n'est pas aux clients à en faire les frais :
Ils n'y a pas assez de taxis parce que
les propriétaires ne veulent pas que l'on augmente le nombre de licence, alors bien sur le prix monte du fait de la rareté de
celle-ci et de délais d'attente bien trop long pour en obtenir une, entre
autres choses!
Il faudrait aussi plus de compagnies
de taxis comme dans les autres villes du monde soient reconnaissables et
identiques de par leur couleur (cela a
existé à Paris dans le passé avec Les G7 qui était rouge et noir)
Et surtout qu'ils soient plus
disponibles qu'ils ne le sont actuellement, là, un gros effort à faire!
Il faut que les taxis soient enfin un
service public semi-privé comme les autres sans passe droit fiscal ou autres
avec bien sur des contrôles plus stricts et lutte contre la fraude (ou le système "D"à la française)
Et quand on voit leurs véhicules de
hauts de gammes très couteux pour certains qu'ils ont (notamment ceux de ma ville de banlieue par exemple que je connais bien
et dont ils en changent souvent, on se demande ou ils trouvent l'argent?)
Les taxis ont des revendications
justifiés sur certains points, mais ils vaudraient mieux qu'ils mettent déjà de
l'eau dans leur vin, s’il y a de la concurrence, c'est que les clients trouvent
mieux ?
Voire moins cher et peut être de meilleure qualité et de meilleure
disponibilité!
JDECLEF11.02.2014
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire