Ukraine: L'opposition accepte les propositions du président... Olesya Zhukovskaya donne de ses nouvelles sur Twitter...
Les militants de l’Armée des partisans renforcent les barricades alors que
les affrontements ont fait au moins 60 morts, jeudi…
François Hollande évoque
«une période extrêmement tendue»
Le Président s'est montré prudent au sujet de la résolution de la crise en Ukraine, évoquant «une période extrêmement tendue» et la nécessité pour la France d'«être du côté de celles et ceux qui demandent la liberté et le vote», en marge d'un déplacement au Mont-Valérien.
«Nous devons être du côté de celles et ceux qui demandent la liberté et le vote», a déclaré le chef de l'Etat interrogé par des journalistes. «Et en même temps nous devons aussi, et c'est le rôle de la France, prendre nos responsabilités et favoriser l'adoption d'un accord qui devra être effectif. Nous sommes dans une période extrêmement tendue avec encore un certain nombre de mouvements, des répressions, donc c'est le moment où l'accord doit être non seulement conclu mais mis en oeuvre», a-t-il ajouté.
Le Président s'est montré prudent au sujet de la résolution de la crise en Ukraine, évoquant «une période extrêmement tendue» et la nécessité pour la France d'«être du côté de celles et ceux qui demandent la liberté et le vote», en marge d'un déplacement au Mont-Valérien.
«Nous devons être du côté de celles et ceux qui demandent la liberté et le vote», a déclaré le chef de l'Etat interrogé par des journalistes. «Et en même temps nous devons aussi, et c'est le rôle de la France, prendre nos responsabilités et favoriser l'adoption d'un accord qui devra être effectif. Nous sommes dans une période extrêmement tendue avec encore un certain nombre de mouvements, des répressions, donc c'est le moment où l'accord doit être non seulement conclu mais mis en oeuvre», a-t-il ajouté.
Ianoukovitch annonce une présidentielle
anticipée
«J'annonce le lancement
d'une procédure en vue d'une présidentielle anticipée», a déclaré Viktor
Ianoukovitch dans un communiqué sans en préciser la date. «Je lance aussi le
processus du retour à la Constitution de 2004», qui réduit les pouvoir
présidentiels au profit du gouvernement et du Parlement ainsi que la formation
d'un «gouvernement d'unité nationale».
11h51:Pour Juppé, le «blocage vient de Moscou»
«Il faut soutenir à fond les efforts de l'Union européenne pour trouver une sortie politique à cette tragédie qui ensanglante aujourd'hui l'Ukraine», a déclaré l'ancien ministre des Affaires étrangères à des journalistes à Bordeaux. L'essentiel est que «"l'Europe fasse bloc, que nous soutenions ce processus même s'il y a telle ou telle divergence d'appréciation parmi les 28», a ajouté Alain Juppé, appelant l'Europe à «parler fort».
«Le blocage vient de Moscou. Le président (Vladimir) Poutine ne peut pas accepter l'idée de voir l'Ukraine se rapprocher» de l'UE «plutôt que de l'union douanière autour de la Russie qu'il essaie de promouvoir», a-t-il estimé. «Il faut donc désigner clairement les responsabilités», même s'il «ne s'agit pas naturellement de "s'antagoniser" avec la Russie», a-t-il ajouté. Selon Alain Juppé, «il n'y a que l'Europe qui permette de s'en sortir. Qui d'autre? Les Américains sont très en recul (...), la Russie a une stratégie différente et donc l'espoir de solution passe par une action diplomatique forte» de l'UE. «Il ne faut pas considérer que la paix en Europe est un acquis éternel, a-t-il poursuivi. On en a bien la démonstration» en Ukraine où «le risque de guerre civile est élevé».
«Il faut soutenir à fond les efforts de l'Union européenne pour trouver une sortie politique à cette tragédie qui ensanglante aujourd'hui l'Ukraine», a déclaré l'ancien ministre des Affaires étrangères à des journalistes à Bordeaux. L'essentiel est que «"l'Europe fasse bloc, que nous soutenions ce processus même s'il y a telle ou telle divergence d'appréciation parmi les 28», a ajouté Alain Juppé, appelant l'Europe à «parler fort».
«Le blocage vient de Moscou. Le président (Vladimir) Poutine ne peut pas accepter l'idée de voir l'Ukraine se rapprocher» de l'UE «plutôt que de l'union douanière autour de la Russie qu'il essaie de promouvoir», a-t-il estimé. «Il faut donc désigner clairement les responsabilités», même s'il «ne s'agit pas naturellement de "s'antagoniser" avec la Russie», a-t-il ajouté. Selon Alain Juppé, «il n'y a que l'Europe qui permette de s'en sortir. Qui d'autre? Les Américains sont très en recul (...), la Russie a une stratégie différente et donc l'espoir de solution passe par une action diplomatique forte» de l'UE. «Il ne faut pas considérer que la paix en Europe est un acquis éternel, a-t-il poursuivi. On en a bien la démonstration» en Ukraine où «le risque de guerre civile est élevé».
Le président Ukrainien fait mine de
lâcher du lest, à savoir si bien sur les paroles seront suivi d'actes?
L'autre élément, c'est la Russie et
Poutine dont on attend les réactions?
Et puis surtout les Ukrainiens et
leurs réactions à ces annonces et s'ils vont y croire, ce qui semble le plus important,
car ces gens du peuple sont échaudés et donc déterminés à aller jusqu'au bout
du bout et ne pas se laisser leurrer par de faux espoirs (dont le calendrier si cela devait se concrétiser n'est pas fixé…)
En tout cas il ne faut pas que
l'Europe relâche sa pression sans quoi rien n’aboutira et le pays risque à
nouveau de s'enflammer sur des braises encore bien rouges!
jdeclef21.02.2014 -
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire