jeudi 14 novembre 2019

A part parler pour ne rien dire sur twitter notamment elle profite de la manne de l'état donc du contribuable car pour bavarder sans cesse elle s'y emploie sans discontinuer !


Mais que fait vraiment Ségolène Royal ?

Ambassadrice chargée des négociations sur les pôles Arctique et Antarctique, elle veille moins sur la banquise que sur son capital politique.

En cette rentrée 2019, elle cogne. Courant les matinales de radio et les plateaux de télévision, Ségolène Royal n'a pas de mots assez durs pour fustiger les politiques sociale, économique et écologique du gouvernement. « Les réformes sans cohérence s'accumulent », « les urgences hospitalières ne sont pas soutenues », « la cohésion française est en train de s'écrouler »… A quel titre s'exprime-t-elle ? Pas en tant qu'ambassadrice chargée de la négociation internationale sur les pôles Arctique et Antarctique, poste auquel Emmanuel Macron l'a nommée en septembre 2017 et qu'elle exerce bénévolement, en étant théoriquement soumise au devoir de réserve. Pas au nom du Parti socialiste. « Elle mange notre temps de parole au CSA, qu'on n'a toujours pas réussi à convaincre qu'elle n'appartient plus au PS », grince Corinne Narassiguin, numéro deux du parti. Mais « elle fait d'excellentes audiences et il y a peu de voix féminines qui portent à gauche », constate l'intervieweuse vedette de BFM TV, Apolline de Malherbe. A l'automne 2018, de discrètes discussions avec le PS pour l'échéance européenne ont vite capoté, les Verts ayant repoussé l'alliance qu'elle proposait. Celle qui griffait le gouvernement s'est alors adoucie, espérant que « le président soumettrait sa candidature à la Commission européenne », persifle un cadre de la majorité. Une fois l'espoir déçu, les coups ont repris.
Ségolène Royal : les Français ont « un sentiment d'abandon »
Depuis qu'elle a quitté le gouvernement, Ségolène Royal souffle le chaud et le froid, au gré de ses tentatives de reprendre pied sur la scène nationale. Tout échoue. Alors, se lancer seule, oui, elle y songe, comme elle l'a confirmé fin août à Radio-Canada. « Peut-être en 2022. Les choses se construisent tranquillement. On verra… » Ce qui motive ses critiques aujourd'hui ? « Il n'a échappé à personne qu'elle revient dans les médias au moment où Bernard Cazeneuve sort un livre, s'amuse un proche de Macron. Le meilleur moyen d'apparaître comme le seul recours possible, c'est de tuer les autres. » C'est donc Ségolène Royal, et non l'ancien Premier ministre de François Hollande, que la presse invite pour commenter la future réforme des retraites. Un tour de force.
« Boule puante ». Mais il y a un hic : tout le monde n'applaudit pas - tant s'en faut - la performance politicienne, à commencer par ceux qui, au Quai d'Orsay, doivent gérer les dossiers d'une ambassadrice en campagne électorale permanente. Depuis deux ans, Ségolène Royal n'a participé à aucune réunion du Conseil de l'Arctique, instance diplomatique majeure où la France occupe, comme une douzaine d'autres Etats, un siège d'observateur. Epinglée en septembre dans l'émission « Quotidien » de Yann Barthès pour ces absences, Ségolène Royal se défend bruyamment, dénonçant une « boule puante ». Et lorsque Le Point, pour les besoins de cet article, souhaite la rencontrer pour entendre ses réponses à une série de questions, elle réplique par une menace de poursuites judiciaires. Nous le regrettons vivement, mais ne renonçons pas à comprendre comment « les choses se construisent tranquillement » en vue de la prochaine présidentielle, selon les termes mêmes de l'ancienne ministre de l'Ecologie. Avec, nous l'avons découvert, le modeste concours de fonds publics.
Un vol aller-retour pour l'Islande qui embarrasse Ségolène Royal
 L’ambassadrice chargée des négociations arctiques et antarctiques n’a fait que 11 déplacements à l’étranger liés aux pôles en vingt-cinq mois. En revanche, Ségolène Royal est très active sur Twitter.
 « Globe-trotteuse »,. Au Quai d'Orsay, le choc de son arrivée en fanfare est encore perceptible. En novembre 2017, alors qu'elle a quitté le gouvernement six mois auparavant pour laisser sa place, la mort dans l'âme, à Nicolas Hulot, Ségolène Royal rayonne à la une de Paris Match, en parka rouge : « Elle est toujours là ! » proclame l'hebdomadaire, qui consacre à la nouvelle ambassadrice pour les pôles, en visite en Laponie, un long reportage photos, à 300 kilomètres au nord du cercle polaire. Ségolène en traîneau à chiens, Ségolène grillant une saucisse de renne dans une cabane de rondins… Le message politique est limpide : la brillante « globe-trotteuse », qui a vécu sa nomination à « un poste où l'on peut très bien ne rien faire »  comme une humiliation, entend bien s'en servir pour occuper le terrain. Au ministère de l'Ecologie, les équipes d'Hulot s'étranglent, et aux Affaires étrangères, où Ségolène Royal occupe le bureau de l'ancien secrétaire d'Etat chargé du Commerce extérieur, Matthias Fekl, on comprend que la page Michel Rocard, ambassadeur respecté et passionné des pôles de 2009 jusqu'à sa mort, en 2016, est définitivement tournée. « Disons qu'elle a certaines exigences », glisse un diplomate. En Finlande, ce mois de novembre 2017, Ségolène Royal devait assister à une conférence de trois jours sur l'Arctique ; elle n'y passera que quelques heures, préférant s'enfoncer dans la forêt boréale avec les journalistes. Le chauffeur de l'ambassade de France, à Helsinki, devra faire 2 300 kilomètres aller-retour en voiture pour la récupérer au pied de son avion et la véhiculer à travers la Laponie. « On a tout de suite compris qu'elle était là pour sa promotion personnelle et que les sujets arctiques venaient au second plan », témoigne un familier de ces rencontres internationales, que la faible influence de la France dans le Grand Nord désespère.
Absences répétées. La liste des événements auxquels a participé l'ambassadrice en vingt-cinq mois est en effet particulièrement courte : 11 déplacements à l'étranger liés aux pôles, tous abondamment promus sur Twitter et relayés sur ses sites Internet, Désirs d'avenir et Ségolène Royal officiel ; une quinzaine de réunions de travail, autant de rencontres avec des scientifiques, une dizaine de déjeuners et d'entretiens téléphoniques. « Vous pouvez voir toutes mes actions sur l'Arctique sur mon site. Je fais attention à leur coût et au bilan carbone. Je décide d'aller là où c'est vraiment utile », se justifiera Ségolène Royal sur Twitter. En réalité, ses agendas polaire et personnel sont parfois incompatibles. Quand elle n'« oublie » pas de se rendre à un événement : le 1 er décembre 2017, alors qu'elle est attendue à la conférence sur les objectifs de développement durable en Arctique organisée par plusieurs gouvernements à Copenhague, le public s'émeut de son absence à la tribune. Contactée à l'époque par Le Point, sa collaboratrice affirme avec aplomb que la conférence a été reportée, avant de se raviser quelques heures plus tard : « Ségolène Royal a manqué son avion, à cause d'un accident sur l'A1. » 
Ces absences répétées agacent. Au point qu'il y a quelques mois Karine Claireaux, maire de Saint-Pierre, à Saint-Pierre-et-Miquelon, seul territoire français situé en zone subarctique, s'est fendue d'une lettre à Emmanuel Macron : « Nos fleurons internationaux, pourtant technologiquement avancés, perdent du terrain diplomatiquement, ce qui se répercute au niveau commercial, écrit-elle. Notre ambassadeur chargé des négociations arctiques et antarctiques ne peut plus être un rôle semi-honorifique : il devrait être occupé par un véritable expert à temps plein. » Ségolène Royal, alertée, prendra extrêmement mal la missive, mais ne modifiera rien à son emploi du temps.
Conseillers en fuite. Pour que la France soit représentée dans les instances officielles, le Quai d'Orsay dépêche d'autres diplomates chevronnés, rattachés à la sous-direction du droit de la mer, droit fluvial et des pôles. Car, au fil des mois, plusieurs conseillers ont fui son cabinet. Un ambassadeur en vue, qui l'a beaucoup côtoyée, lâche ce jugement tranchant : « Elle a des intuitions politiques fulgurantes, mais elle est paresseuse et ne travaille pas ses dossiers. Cela ne l'empêche pas d'être extrêmement cassante avec ses équipes. » Un ex-collaborateur au ministère de l'Environnement confirme : « Elle épuise les meilleures volontés, j'ai vu des gens craquer. Elle peut exiger qu'on organise un événement médiatique en un temps record, puis décréter que tout est nul, que ce n'est pas ce qu'elle voulait et laisser tomber ! » 
Si Ségolène Royal n'est pas rémunérée dans ses fonctions (elle perçoit depuis mai 2017 sa retraite d'ex-première conseillère des tribunaux administratifs et cours d'appel, son corps d'origine - environ 4 000 euros brut mensuels, selon le syndicat des juges administratifs -, qu'elle peut cumuler avec sa retraite de députée, que l'ancien parlementaire René Dosière estime à 7 000 euros), le ministère lui octroie un budget et finance trois collaborateurs, qu'il a fallu recruter parmi ses proches : outre sa secrétaire personnelle historique, Ségolène Royal a fait embaucher, comme contractuels, un jeune blogueur tout juste diplômé, chargé d'organiser une Arctic Week à Paris, et l'ex- responsable de la maintenance informatique de son ministère, Loïc Eleloué-Valmar, bombardé conseiller en communication (catégorie A) de l'ambassadrice, à la consternation des syndicats du Quai. « Il la suit comme son ombre, mais c'est un administrateur réseau, il ne connaît rien aux pôles ni à la diplomatie. Il s'occupe beaucoup de son compte Twitter, de ses vidéos, de sa communication sur le Web », confie une collaboratrice éphémère du cabinet.
Il consacre aussi du temps aux autres activités de Ségolène Royal, toujours sollicitée en tant que présidente de la COP 21 et ancienne ministre. Ses sites Internet officiels relaient la moindre de ses interventions dans la presse, jusqu'au plus insignifiant de ses tweets. Officiellement, le laboratoire d'idées Désirs d'avenir, créé en 2005 pour lancer sa candidature à la présidentielle, est toujours actif, mais les locaux de la rue de Saintonge, dans le 3e arrondissement de Paris, sont déserts : la conseillère municipale (PS) Benoite Lardy y a installé son bureau personnel. « Ils sont tous dans le 7e arrondissement désormais, avec Désirs d'avenir pour la planète ! [la Fondation Ségolène Royal, NDLR.] » 
Changement de dimension. Car Ségolène Royal, en s'élevant au-dessus des partis, a changé de dimension. En avril 2018, l'ambassadrice annonçait en grande pompe la création d'une ONG parrainée par l'astrophysicien Hubert Reeves et l'explorateur Jean-Louis Etienne, destinée à lever des fonds pour porter des projets de lutte contre le réchauffement climatique, une idée née de ses rencontres avec des femmes africaines pendant la Conférence de Paris. Un an plus tard, le 3 avril 2019, la presse française la suit au Sénégal pour assister à l'inauguration des premières « maternités solaires » installées par sa fondation dans le sud du pays. Au village de Thiewal-Lao, les femmes accouchent maintenant dans la maternité Ségolène. Bouna Koita, maire de Dialambere, confirme que les panneaux photovoltaïques installés sur le toit ont « changé la vie » des soignants et des femmes de la région, contraintes jusqu'à présent d'accoucher à la bougie. « Aujourd'hui, nous avons des ventilateurs, un frigo pour conserver des médicaments, de l'eau fraîche, s'enflamme Bouna Koita. Le conseiller de l'ambassadrice, Loïc Eleloué-Valmar, s'est occupé de tout. Il est venu en prévisite au Sénégal pour choisir les sites, nous a accompagnés… » 
Sur son site, le fonds met en avant son bilan : 11 maternités solaires sont opérationnelles au Sénégal, au Cameroun, au Togo, et huit autres sont en travaux. Quant au second projet porté par Désirs d'avenir pour la planète (un appel aux citoyens à filmer leurs initiatives pour sauver la planète, lui aussi fortement médiatisé), impossible de savoir vraiment où il en est. « Elle essaie d'exister, de vivre et de faire, avec une extraordinaire volonté », défend son fidèle ami l'avocat Jean-Pierre Mignard. Qui reconnaît toutefoisqu'elle « n'a pas fait grand-chose comme ambassadrice. Ça ne la passionne pas. Ce poste, c'est quand même un placard gelé, une voie de garage ! » Elle rêve d'en sortir par le haut, croient deviner ceux qui croisent son chemin. Car « elle a ce besoin maladif d'être dans la lumière ». Comme les autres, cette source haut placée refuse d'être citée : Ségolène Royal, forte de son passé, de son histoire, reste très populaire et nul ne se risquerait à insulter l'avenir. « Elle conserve un formidable sens politique. L'écologie, la démocratie participative, l'ordre juste qu'elle défendait en 2007 sont au cœur des débats aujourd'hui. Mais elle ne travaille pas. Sa connaissance des dossiers, y compris sur l'environnement, est au-delà de l'approximatif… » Quand le président de la Ligue contre le cancer la recadre, après qu'elle a soutenu, contre toute vérité, que les pesticides causaient une explosion des cancers du sein, elle s'entête. « Au fond, elle est convaincue qu'elle mérite une position éminente, juge un proche. Que quelque chose a raté, ce dont elle n'est pas responsable, et elle se cherche un destin. » En mettant en avant son bilan, avec un aplomb qui laisse pantois ceux qu'elle « écrase » sur son chemin. « Son bilan est médiocre ! » fulmine Dominique Bussereau, président du conseil départemental de Charente-Maritime et éternel ennemi, qui n'a pas digéré qu'elle s'approprie le succès de la réplique de « L'Hermione », ce navire qui amena en 1780 La Fayette apporter le soutien de la France aux insurgés américains. « Nous avons financé et accompagné ce projet autant qu'elle, mais elle se l'est accaparé comme une victoire personnelle », allant jusqu'à priver de tribune et d'interviews les autres représentants français lors du voyage inaugural du navire aux Etats-Unis.
« Solitude ». L'environnement ? Un ex-ministre s'étrangle : « Elle a décidé de fermer Fessenheim, mais sans préparer le commencement du début du moindre décret. Elle n'a pas engagé la taxe carbone, a reculé en rase campagne sur la taxe poids lourds, ça nous a coûté 1 milliard. » La COP 21 ? « Elle s'en est saisie comme d'un étendard dans lequel elle va se draper pour le restant de ses jours, alors que c'est Fabius qui a mené toutes les négociations, s'agace un ex-membre de l'équipe diplomatique. Mais il faut reconnaître qu'elle s'est démenée ensuite pour faire ratifier l'accord et qu'à force de harceler les Européens elle a réussi ce que personne ne pensait possible. C'est tout le paradoxe de Ségolène Royal : elle privilégie toujours son propre intérêt. Mais, quand il s'aligne avec l'intérêt général, elle peut faire des miracles. » Comme celui de rassembler autour de sa candidature, en 2007, 17 millions de voix. Un exploit qu'elle rappelle en permanence à ses interlocuteurs, qu'elle reçoit souvent au bar de la piscine Molitor, à Paris, transformée en hôtel de luxe, juste à côté de son domicile. Elle y va régulièrement pour nager. Certains s'inquiètent de sa « solitude », aimeraient la « voir heureuse ». Mais tous remarquent qu'elle n'a pas digéré sa défaite et qu'elle brûle encore de connaître, un jour peut-être, le destin qu'elle pense mériter§

Désirs d’avenir pour la planète : un fonds de dotation opaque

Pour soutenir ses projets et lever des fonds, Ségolène Royal a fait le choix d’une structure juridique plus souple qu’une fondation reconnue d’utilité publique ou qu’une association : le fonds de dotation. Créé sans contrôle préalable, il permet de recevoir toute forme de libéralités (dons et legs qui ne sont soumis à aucun contrôle administratif), de posséder des immeubles de rapport, et les dons ouvrent droit à une déduction fiscale. La gouvernance, très simple, s’articule autour d’un conseil d’administration librement choisi, sans obligation de représentant du gouvernement ou de personnalité qualifiée, comme dans les fondations. Les statuts de Désirs d’avenir pour la planète, déposés le 5 février 2018, mentionnent quatre administrateurs : Ségolène Royal, son ami Jean-Louis Bianco (actuel président de l’Observatoire pour la laïcité), Karien Hervé, membre du directoire d’Hervé Groupe, et Maryline Simoné, ex-collaboratrice de Ségolène Royal. Combien a-t-il levé d’argent ? Impossible de le savoir : en bientôt deux ans d’existence, le fonds n’a transmis aux services de l’Etat ni bilan, ni comptes de résultat, ni annexe détaillant l’emploi des ressources. Une relance lui a été adressée, restée pour l’instant sans réponse. La société Soditex, filiale du groupe Geocoton, a financé les maternités solaires au Sénégal à hauteur de 30 000 euros, et la fondation EDF celles installées au Cameroun : « Nous avons versé 70 000 euros et apporté l’expertise technique », nous confirme la fondation. Jean-Louis Bianco n’a aucune idée de ses activités : « Le conseil d’administration s’est réuni une fois, peut-être deux, je ne sais plus. C’était il y a des mois. A vrai dire, je n’ai fait que donner mon nom. » Domiciliée à l’adresse personnelle de Ségolène Royal, la structure disposerait de bureaux dans le 7e arrondissement, mais nulle part on n’en trouve trace : le site Internet de Désirs d’avenir pour la planète n’affiche pas de mentions légales
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Par une fonction fumeuse ambassadrice de terre glacées habitées par les pingouins ce qui lui laisse le temps pour pérorer en dénigrant E.MACRON qui l'a nommée on, se demande bien pourquoi, son gouvernement et sa politique !

Ceci étant avec ce président qui s'enlise dans les problèmes et sans amour propre on ne s'étonne plus de rien !

En plus une ex ministre qui a fait des bourdes qu'on ne compte plus, avec comme exemple cette écotaxe qui a coûté un montant pharaonique pour finir par être annulé!

Sans compter les autres mandats qu'elle a fait : présidente de la région Charente Poitou et sa gestion calamiteuse !

Mais comme dit le proverbe « les loups ne se mange pas entre eux » !

Vraiment notre président n'a pas d'amour propre, (il fait comme F.HOLLANDE, mais lui il avait des excuses, si on peut dire, c'était son ex compagne, mère de ses enfants!)

Il n'y a qu'en France que l'on voit cela, mais ça n'a pas d'importance, puisque c'est l'argent du contribuable donc des français lambda, qui engraisse cette politicienne incurable de l’ancienne classe politique !

Notre pays est mal géré, et les français croyaient avoir obtenu le changement avec ce nouveau président, en 2017 qu'ils réclamaient depuis longtemps (30 ans) ils se sont encore trompés, car les problèmes divers s'accumulent et malgré ces poussées de fièvre entre autres manifestations violentes, loin d’être finies et grèves en gestation et de « ces gilets jaunes » une alerte importante, le président n'a pas compris et a fait des erreurs, et surtout ne donne pas l'impression de pouvoir s'en sortir malgré ses discours alambiqués qui ne passent plus !

Jdeclef 14/11/2019 09h45LP

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