Mais que
fait vraiment Ségolène Royal ?
Ambassadrice
chargée des négociations sur les pôles Arctique et Antarctique, elle
veille moins sur la banquise que sur son capital politique.
En
cette rentrée 2019, elle cogne. Courant les matinales de radio et les plateaux
de télévision, Ségolène Royal n'a pas de mots assez durs pour fustiger les
politiques sociale, économique et écologique du gouvernement. « Les réformes sans cohérence s'accumulent », « les urgences
hospitalières ne sont pas soutenues », « la cohésion française est en train de
s'écrouler »… A quel titre s'exprime-t-elle ?
Pas en tant qu'ambassadrice chargée de la négociation internationale sur les
pôles Arctique et Antarctique, poste auquel Emmanuel Macron l'a nommée en
septembre 2017 et qu'elle exerce bénévolement, en étant théoriquement soumise
au devoir de réserve. Pas au nom du Parti socialiste. « Elle mange notre temps de parole au CSA, qu'on n'a
toujours pas réussi à convaincre qu'elle n'appartient plus au PS »,
grince Corinne Narassiguin, numéro deux du parti. Mais « elle fait d'excellentes audiences et il y a peu de voix
féminines qui portent à gauche », constate
l'intervieweuse vedette de BFM TV, Apolline de Malherbe. A l'automne 2018, de
discrètes discussions avec le PS pour l'échéance européenne ont vite capoté,
les Verts ayant repoussé l'alliance qu'elle proposait. Celle qui griffait le
gouvernement s'est alors adoucie, espérant que « le président soumettrait sa candidature à la
Commission européenne », persifle un cadre de la majorité.
Une fois l'espoir déçu, les coups ont repris.
Ségolène Royal : les Français ont « un sentiment d'abandon »
Depuis qu'elle a quitté le gouvernement, Ségolène Royal souffle le
chaud et le froid, au gré de ses tentatives de reprendre pied sur la scène
nationale. Tout échoue. Alors, se lancer seule, oui, elle y songe, comme elle
l'a confirmé fin août à Radio-Canada. « Peut-être en 2022. Les choses se construisent
tranquillement. On verra… » Ce qui motive ses critiques
aujourd'hui ? « Il n'a échappé
à personne qu'elle revient dans les médias au moment où Bernard Cazeneuve sort
un livre, s'amuse un proche de Macron. Le meilleur moyen d'apparaître comme le seul recours
possible, c'est de tuer les autres. » C'est
donc Ségolène Royal, et non l'ancien Premier ministre de François Hollande, que
la presse invite pour commenter la future réforme des retraites. Un tour de
force.
« Boule puante ». Mais
il y a un hic : tout le monde n'applaudit pas - tant s'en faut - la performance
politicienne, à commencer par ceux qui, au Quai d'Orsay, doivent gérer les
dossiers d'une ambassadrice en campagne électorale permanente. Depuis deux ans,
Ségolène Royal n'a participé à aucune réunion du Conseil de l'Arctique,
instance diplomatique majeure où la France occupe, comme une douzaine d'autres
Etats, un siège d'observateur. Epinglée en septembre dans l'émission «
Quotidien » de Yann Barthès pour ces absences, Ségolène Royal se défend
bruyamment, dénonçant une « boule puante
». Et lorsque Le Point,
pour les besoins de cet article, souhaite la rencontrer pour entendre ses réponses
à une série de questions, elle réplique par une menace de poursuites
judiciaires. Nous le regrettons vivement, mais ne renonçons pas à comprendre
comment « les choses se construisent tranquillement
» en vue de la prochaine présidentielle, selon les termes mêmes de
l'ancienne ministre de l'Ecologie. Avec, nous l'avons découvert, le modeste
concours de fonds publics.
Un vol aller-retour pour l'Islande qui embarrasse Ségolène Royal
L’ambassadrice chargée des négociations
arctiques et antarctiques n’a fait que 11 déplacements à l’étranger liés
aux pôles en vingt-cinq mois. En revanche, Ségolène Royal est très active
sur Twitter.
« Globe-trotteuse »,. Au
Quai d'Orsay, le choc de son arrivée en fanfare est encore perceptible. En
novembre 2017, alors qu'elle a quitté le gouvernement six mois auparavant pour
laisser sa place, la mort dans l'âme, à Nicolas Hulot, Ségolène Royal rayonne à
la une de Paris Match,
en parka rouge : « Elle est
toujours là ! » proclame l'hebdomadaire, qui
consacre à la nouvelle ambassadrice pour les pôles, en visite en Laponie, un
long reportage photos, à 300 kilomètres au nord du cercle polaire. Ségolène en
traîneau à chiens, Ségolène grillant une saucisse de renne dans une cabane de
rondins… Le message politique est limpide : la brillante « globe-trotteuse », qui
a vécu sa nomination à « un poste où
l'on peut très bien ne rien faire »
comme une humiliation, entend bien s'en servir pour occuper le terrain. Au
ministère de l'Ecologie, les équipes d'Hulot s'étranglent, et aux Affaires
étrangères, où Ségolène Royal occupe le bureau de l'ancien secrétaire d'Etat
chargé du Commerce extérieur, Matthias Fekl, on comprend que la page Michel
Rocard, ambassadeur respecté et passionné des pôles de 2009 jusqu'à sa mort, en
2016, est définitivement tournée. « Disons qu'elle a certaines exigences »,
glisse un diplomate. En Finlande, ce mois de novembre 2017, Ségolène Royal
devait assister à une conférence de trois jours sur l'Arctique ; elle n'y
passera que quelques heures, préférant s'enfoncer dans la forêt boréale avec
les journalistes. Le chauffeur de l'ambassade de France, à Helsinki, devra
faire 2 300 kilomètres aller-retour en voiture pour la récupérer au pied de son
avion et la véhiculer à travers la Laponie. « On a tout de suite compris qu'elle était là pour sa
promotion personnelle et que les sujets arctiques venaient au second plan
», témoigne un familier de ces rencontres internationales, que la
faible influence de la France dans le Grand Nord désespère.
Absences répétées. La
liste des événements auxquels a participé l'ambassadrice en vingt-cinq mois est
en effet particulièrement courte : 11 déplacements à l'étranger liés aux pôles,
tous abondamment promus sur Twitter et relayés sur ses sites Internet, Désirs
d'avenir et Ségolène Royal officiel ; une quinzaine de réunions de travail,
autant de rencontres avec des scientifiques, une dizaine de déjeuners et
d'entretiens téléphoniques. « Vous pouvez
voir toutes mes actions sur l'Arctique sur mon site. Je fais attention à leur
coût et au bilan carbone. Je décide d'aller là où c'est vraiment utile », se
justifiera Ségolène Royal sur Twitter. En réalité, ses agendas polaire et
personnel sont parfois incompatibles. Quand elle n'« oublie » pas de se rendre
à un événement : le 1 er décembre 2017, alors qu'elle est attendue
à la conférence sur les objectifs de développement durable en Arctique
organisée par plusieurs gouvernements à Copenhague, le public s'émeut de son
absence à la tribune. Contactée à l'époque par Le Point, sa collaboratrice affirme avec
aplomb que la conférence a été reportée, avant de se raviser quelques heures
plus tard : « Ségolène Royal
a manqué son avion, à cause d'un accident sur l'A1. »
Ces absences répétées agacent. Au point qu'il y a quelques mois
Karine Claireaux, maire de Saint-Pierre, à Saint-Pierre-et-Miquelon, seul
territoire français situé en zone subarctique, s'est fendue d'une lettre à
Emmanuel Macron : « Nos fleurons
internationaux, pourtant technologiquement avancés, perdent du terrain
diplomatiquement, ce qui se répercute au niveau commercial, écrit-elle. Notre ambassadeur chargé des négociations arctiques et
antarctiques ne peut plus être un rôle semi-honorifique : il devrait être
occupé par un véritable expert à temps plein. »
Ségolène Royal, alertée, prendra extrêmement mal la missive, mais ne modifiera
rien à son emploi du temps.
Conseillers en fuite. Pour
que la France soit représentée dans les instances officielles, le Quai d'Orsay
dépêche d'autres diplomates chevronnés, rattachés à la sous-direction du droit de
la mer, droit fluvial et des pôles. Car, au fil des mois, plusieurs conseillers
ont fui son cabinet. Un ambassadeur en vue, qui l'a beaucoup côtoyée, lâche ce
jugement tranchant : « Elle a des
intuitions politiques fulgurantes, mais elle est paresseuse et ne travaille pas
ses dossiers. Cela ne l'empêche pas d'être extrêmement cassante avec ses
équipes. » Un ex-collaborateur au ministère
de l'Environnement confirme : « Elle
épuise les meilleures volontés, j'ai vu des gens craquer. Elle peut exiger
qu'on organise un événement médiatique en un temps record, puis décréter que
tout est nul, que ce n'est pas ce qu'elle voulait et laisser tomber ! »
Si Ségolène Royal n'est pas rémunérée dans ses fonctions (elle
perçoit depuis mai 2017 sa retraite d'ex-première conseillère des tribunaux
administratifs et cours d'appel, son corps d'origine - environ 4 000 euros brut
mensuels, selon le syndicat des juges administratifs -, qu'elle peut cumuler
avec sa retraite de députée, que l'ancien parlementaire René Dosière estime à 7
000 euros), le ministère lui octroie un budget et finance trois collaborateurs,
qu'il a fallu recruter parmi ses proches : outre sa secrétaire personnelle
historique, Ségolène Royal a fait embaucher, comme contractuels, un jeune
blogueur tout juste diplômé, chargé d'organiser une Arctic Week à Paris, et
l'ex- responsable de la maintenance informatique de son ministère, Loïc
Eleloué-Valmar, bombardé conseiller en communication (catégorie A) de
l'ambassadrice, à la consternation des syndicats du Quai. « Il la suit comme son ombre, mais c'est un administrateur
réseau, il ne connaît rien aux pôles ni à la diplomatie. Il s'occupe beaucoup
de son compte Twitter, de ses vidéos, de sa communication sur le Web », confie
une collaboratrice éphémère du cabinet.
Il consacre aussi du temps aux autres activités de Ségolène Royal,
toujours sollicitée en tant que présidente de la COP 21 et ancienne ministre.
Ses sites Internet officiels relaient la moindre de ses interventions dans la
presse, jusqu'au plus insignifiant de ses tweets. Officiellement, le
laboratoire d'idées Désirs d'avenir, créé en 2005 pour lancer sa candidature à
la présidentielle, est toujours actif, mais les locaux de la rue de Saintonge,
dans le 3e arrondissement de Paris, sont déserts : la conseillère
municipale (PS) Benoite Lardy y a installé son bureau personnel. « Ils sont tous dans le 7e arrondissement désormais, avec
Désirs d'avenir pour la planète ! [la
Fondation Ségolène Royal, NDLR.] »
Changement de dimension. Car
Ségolène Royal, en s'élevant au-dessus des partis, a changé de dimension. En
avril 2018, l'ambassadrice annonçait en grande pompe la création d'une ONG
parrainée par l'astrophysicien Hubert Reeves et l'explorateur Jean-Louis
Etienne, destinée à lever des fonds pour porter des projets de lutte contre le
réchauffement climatique, une idée née de ses rencontres avec des femmes
africaines pendant la Conférence de Paris. Un an plus tard, le 3 avril 2019, la
presse française la suit au Sénégal pour assister à l'inauguration des
premières « maternités solaires » installées par sa fondation dans le sud du
pays. Au village de Thiewal-Lao, les femmes accouchent maintenant dans la
maternité Ségolène. Bouna Koita, maire de Dialambere, confirme que les panneaux
photovoltaïques installés sur le toit ont « changé la vie » des
soignants et des femmes de la région, contraintes jusqu'à présent d'accoucher à
la bougie. « Aujourd'hui,
nous avons des ventilateurs, un frigo pour conserver des médicaments, de l'eau
fraîche, s'enflamme Bouna Koita. Le conseiller de l'ambassadrice, Loïc Eleloué-Valmar, s'est
occupé de tout. Il est venu en prévisite au Sénégal pour choisir les sites,
nous a accompagnés… »
Sur son site, le fonds met en avant son bilan : 11 maternités
solaires sont opérationnelles au Sénégal, au Cameroun, au Togo, et huit autres
sont en travaux. Quant au second projet porté par Désirs d'avenir pour la
planète (un appel aux citoyens à filmer leurs initiatives pour sauver la
planète, lui aussi fortement médiatisé), impossible de savoir vraiment où il en
est. « Elle essaie d'exister, de vivre et de faire,
avec une extraordinaire volonté », défend son
fidèle ami l'avocat Jean-Pierre Mignard. Qui reconnaît toutefoisqu'elle « n'a pas fait grand-chose comme ambassadrice. Ça ne la
passionne pas. Ce poste, c'est quand même un placard gelé, une voie de garage !
» Elle rêve d'en sortir par le haut, croient deviner ceux qui
croisent son chemin. Car « elle a ce
besoin maladif d'être dans la lumière ».
Comme les autres, cette source haut placée refuse d'être citée : Ségolène Royal,
forte de son passé, de son histoire, reste très populaire et nul ne se
risquerait à insulter l'avenir. « Elle conserve un formidable sens politique. L'écologie, la démocratie
participative, l'ordre juste qu'elle défendait en 2007 sont au cœur des débats
aujourd'hui. Mais elle ne travaille pas. Sa connaissance des dossiers, y
compris sur l'environnement, est au-delà de l'approximatif… »
Quand le président de la Ligue contre le cancer la recadre, après qu'elle a
soutenu, contre toute vérité, que les pesticides causaient une explosion des
cancers du sein, elle s'entête. « Au fond, elle est convaincue qu'elle mérite une position éminente,
juge un proche. Que quelque
chose a raté, ce dont elle n'est pas responsable, et elle se cherche un destin.
» En mettant en avant son bilan, avec un aplomb qui laisse pantois
ceux qu'elle « écrase » sur
son chemin. « Son bilan est
médiocre ! » fulmine Dominique Bussereau,
président du conseil départemental de Charente-Maritime et éternel ennemi, qui
n'a pas digéré qu'elle s'approprie le succès de la réplique de « L'Hermione »,
ce navire qui amena en 1780 La Fayette apporter le soutien de la France aux
insurgés américains. « Nous avons
financé et accompagné ce projet autant qu'elle, mais elle se l'est accaparé
comme une victoire personnelle », allant
jusqu'à priver de tribune et d'interviews les autres représentants français
lors du voyage inaugural du navire aux Etats-Unis.
« Solitude ». L'environnement
? Un ex-ministre s'étrangle : « Elle a décidé de fermer Fessenheim, mais sans préparer le
commencement du début du moindre décret. Elle n'a pas engagé la taxe carbone, a
reculé en rase campagne sur la taxe poids lourds, ça nous a coûté 1 milliard. »
La COP 21 ? « Elle s'en est
saisie comme d'un étendard dans lequel elle va se draper pour le restant de ses
jours, alors que c'est Fabius qui a mené toutes les négociations,
s'agace un ex-membre de l'équipe diplomatique. Mais il faut reconnaître qu'elle s'est démenée ensuite pour
faire ratifier l'accord et qu'à force de harceler les Européens elle a réussi
ce que personne ne pensait possible. C'est tout le paradoxe de Ségolène Royal :
elle privilégie toujours son propre intérêt. Mais, quand il s'aligne avec
l'intérêt général, elle peut faire des miracles. »
Comme celui de rassembler autour de sa candidature, en 2007, 17 millions de
voix. Un exploit qu'elle rappelle en permanence à ses interlocuteurs, qu'elle
reçoit souvent au bar de la piscine Molitor, à Paris, transformée en hôtel de
luxe, juste à côté de son domicile. Elle y va régulièrement pour nager.
Certains s'inquiètent de sa « solitude »,
aimeraient la « voir heureuse ».
Mais tous remarquent qu'elle n'a pas digéré sa défaite et qu'elle brûle encore
de connaître, un jour peut-être, le destin qu'elle pense mériter§
Désirs d’avenir pour la
planète : un fonds de dotation opaque
Pour soutenir ses projets et lever des fonds, Ségolène Royal a
fait le choix d’une structure juridique plus souple qu’une fondation reconnue
d’utilité publique ou qu’une association : le fonds de dotation. Créé sans
contrôle préalable, il permet de recevoir toute forme de libéralités
(dons et legs qui ne sont soumis à aucun contrôle administratif), de posséder
des immeubles de rapport, et les dons ouvrent droit à une déduction fiscale.
La gouvernance, très simple, s’articule autour d’un conseil
d’administration librement choisi, sans obligation de représentant du
gouvernement ou de personnalité qualifiée, comme dans les fondations. Les
statuts de Désirs d’avenir pour la planète, déposés le 5 février 2018,
mentionnent quatre administrateurs : Ségolène Royal, son ami Jean-Louis
Bianco (actuel président de l’Observatoire pour la laïcité), Karien Hervé,
membre du directoire d’Hervé Groupe, et Maryline Simoné, ex-collaboratrice
de Ségolène Royal. Combien a-t-il levé d’argent ? Impossible de le
savoir : en bientôt deux ans d’existence, le fonds n’a transmis aux
services de l’Etat ni bilan, ni comptes de résultat, ni annexe détaillant
l’emploi des ressources. Une relance lui a été adressée, restée pour l’instant
sans réponse. La société Soditex, filiale du groupe Geocoton, a financé les
maternités solaires au Sénégal à hauteur de 30 000 euros, et la
fondation EDF celles installées au Cameroun : « Nous avons versé
70 000 euros et apporté l’expertise technique », nous confirme
la fondation. Jean-Louis Bianco n’a aucune idée de ses activités : « Le
conseil d’administration s’est réuni une fois, peut-être deux, je ne sais plus.
C’était il y a des mois. A vrai dire, je n’ai fait que donner mon nom. » Domiciliée
à l’adresse personnelle de Ségolène Royal, la structure disposerait de
bureaux dans le 7e arrondissement, mais nulle part on n’en
trouve trace : le site Internet de Désirs d’avenir pour la planète
n’affiche pas de mentions légales
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Par une fonction fumeuse ambassadrice de terre
glacées habitées par les pingouins ce qui lui laisse le temps pour pérorer en
dénigrant E.MACRON qui l'a nommée on, se demande bien pourquoi, son
gouvernement et sa politique !
Ceci étant avec ce président qui s'enlise dans
les problèmes et sans amour propre on ne s'étonne plus de rien !
En plus une ex ministre qui a fait des bourdes
qu'on ne compte plus, avec comme exemple cette écotaxe qui a coûté un montant
pharaonique pour finir par être annulé!
Sans compter les autres mandats qu'elle a fait
: présidente de la région Charente Poitou et sa gestion calamiteuse !
Mais comme dit le proverbe « les loups
ne se mange pas entre eux » !
Vraiment notre président n'a pas d'amour
propre, (il fait comme F.HOLLANDE, mais lui il avait des excuses, si on peut
dire, c'était son ex compagne, mère de ses enfants!)
Il n'y a qu'en France que l'on voit cela, mais ça
n'a pas d'importance, puisque c'est l'argent du contribuable donc des français
lambda, qui engraisse cette politicienne incurable de l’ancienne classe politique
!
Notre pays est mal géré, et les français
croyaient avoir obtenu le changement avec ce nouveau président, en 2017 qu'ils
réclamaient depuis longtemps (30 ans) ils se sont encore trompés, car les
problèmes divers s'accumulent et malgré ces poussées de fièvre entre autres manifestations
violentes, loin d’être finies et grèves en gestation et de « ces gilets
jaunes » une alerte importante, le président n'a pas compris et a fait des
erreurs, et surtout ne donne pas l'impression de pouvoir s'en sortir malgré ses
discours alambiqués qui ne passent plus !
Jdeclef 14/11/2019 09h45LP