jeudi 7 novembre 2019

Le mot évacuation définitive semble nettement surévalué comme d'habitude ! Plutôt déplacement ailleurs serait plus approprié !


Évacuation « définitive » des camps de migrants dans le nord de Paris

VIDÉO. Ces dernières années, près de 3 000 migrants se sont installés dans des tentes et des cabanes autour de la porte de la Chapelle. 600 policiers sont mobilisés.

Après des opérations effectuées au mois de mai, juin et août, le démantèlement des installations de fortune accueillant des migrants entre la porte de la Chapelle et l'avenue Wilson à Saint-Denis qui a débuté ce matin à 6 heures est présenté comme une opération définitive par les pouvoirs publics. Près de 600 policiers veillent à l'évacuation des 2 500 à 3 000 migrants, dont 15 à 20 %, bénéficieraient des dispositions légales du droit d'asile. Ils seront installés dans des gymnases parisiens et de banlieues réquisitionnés pour l'occasion. Près d'un millier de tentes, cabanes et autres abris de fortune devraient disparaître de la vue des riverains et des automobilistes.
La Mairie de Paris a été associée à cette opération. Selon une source au cabinet d'Anne Hidalgo « c'est la première fois qu'on ressent une réelle volonté de mettre fin à cette situation sans arrière-pensée politique ». Les passes d'armes et autres prises de bec entre la maire de Paris d'une part, le gouvernement et ses alliés dans la capitale d'autre part ont parasité la recherche de solution. La situation humanitaire empirait de jour en jour, l'hiver approchant risquait de transformer ce contexte particulièrement difficile en drame.

Situation sanitaire déplorable

Selon la préfecture de police qui a placardé l'arrêté « portant évacuation de campements installés irrégulièrement sur des dépendances du domaine public », la zone qui regroupe principalement des migrants d'Afrique subsaharienne et du Moyen-Orient serait un secteur particulièrement pathogène. Selon un rapport de l'agence régionale de santé d'Île-de-France, des centaines d'entre eux seraient porteurs de pathologies respiratoires ou gastriques aggravées par les conditions de vie.
En outre, selon la préfecture de police, le secteur serait également criminogène. La PP a dénombré 213 atteintes volontaires à l'intégrité physique, 635 atteintes aux biens, des centaines de vols et 27 rixes entre migrants et avec des toxicomanes de la colline du crack, les stupéfiants et la prostitution plombent cette description apocalyptique. De très nombreuses bagarres ont donné lieu, selon la PP, à une prise en charge hospitalière.
Une fois la « mise à l'abri » des étrangers, la police a prévu d'occuper le terrain pour éviter toute nouvelle installation. Les compagnies d'intervention de la direction de l'ordre public et de la circulation (DOPC) seront particulièrement actives. Les effectifs de la direction de la sécurité de proximité (DSPAP) devront sécuriser les quais du Lot, de la Charente, de la Gironde et de l'Allier jusqu'à la porte d'Aubervilliers. De même, des policiers patrouilleront pour empêcher tout retour de tentes sous la dalle de couverture de l'autoroute A1 porte de la Chapelle.
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Car ce n'est pas la 1ere fois et souligne le problème de l'immigration galopante toujours pas réglé !

Mais comme le 1er ministre, le président et gouvernement parlent une fois de plus de s'occuper de ce problème insoluble (après d'autres avant eux sous d'anciens gouvernement !)

Cela ressemble bien à un coup de balai pour repousser la poussière sous le tapis !

Car nous sommes dans un mode de bienpensant hypocrites donneurs de leçons qui pérorent sans cesse et font du vent au gré de la montée de cette immigration depuis + de trente ans !

Car cela nécessite une grande volonté et une rigueur qu'ils n'ont pas, quel que soit leur bords politique, car pour traiter ce fait de société qui ne concerne pas que la FRANCE car on ne peut pas plaire à tout le monde et çà ils le supportent difficilement, même s'il faut quelquefois agir fermement !

Car comme tout le monde sait, on ne peut régler toute la misère du monde dans notre petite France, il faut l'admettre, c'est tout !

Mais, s'il faut ne plus supporter des bidons villes insalubres ou camps sauvages à PARIS et dans sa périphérie, il faudra bien faire comme dans les années 60 construire des lieux pour les héberger, mais surtout mieux les gérer pour ne pas les transformer en ghetto en les oubliant après, puisque l’on n’arrive pas à les empêcher d'entrer et après les refouler, comme un virus endémique « d'un chien qui se mord la queue » !

Jdeclef 07/11/2019 13h04LP

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