dimanche 3 novembre 2019

Le MALI théâtre d'opérations extérieures de la France qui fait perdre la vie à nos soldats, pourquoi !?


Un militaire français tué au Mali, l'État islamique revendique l'attaque

Le brigadier Ronan Pointeau a perdu la vie après « le déclenchement d'un engin explosif improvisé au passage de son véhicule blindé ».


Un militaire français a été tué lors d'une opération samedi matin au Mali, après « le déclenchement d'un engin explosif improvisé au passage de son véhicule blindé », a annoncé l'Élysée dans un communiqué. L'organisation État islamique a rapidement revendiqué l'attaque à la bombe.
La ministre des Armées, Florence Parly, a annoncé qu'elle se rendrait « très prochainement au Mali, afin de s'entretenir avec les autorités maliennes ». Mais son décès n'a « aucun lien » avec l'attaque du camp malien d'Indelimane, pourtant revendiquée par l'État islamique, a affirmé le porte-parole de l'état-major, le colonel Frédéric Barbry. Son véhicule « a été frappé par un engin explosif », alors qu'il faisait partie d'un détachement « engagé dans une escorte de convoi » à 20 kilomètres d'Indelimane, dans la région de Ménaka au Mali, près de la frontière avec le Niger, ont précisé le ministère de la Défense et l'état-major.
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La victime, le brigadier Ronan Pointeau, faisait partie du 1er régiment de Spahis de Valence. Le chef de l'État a salué « le sacrifice » du militaire, et exprimé « ses pensées vers ses camarades engagés dans les opérations au Sahel », « ainsi que vers leurs frères d'armes des armées sahéliennes, qui paient un lourd tribut dans la lutte contre le terrorisme ».

« Un contexte sécuritaire dégradé »

Emmanuel Macron a encore assuré « de la pleine solidarité de la nation en ces douloureuses circonstances ». Selon Florence Parly, le brigadier Ronan Pointeau a succombé à ses blessures « après l'explosion d'un engin explosif improvisé près de Ménaka au Mali », près de la frontière avec le Niger.
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« Dans un contexte sécuritaire dégradé, la mort du brigadier Ronan Pointeau nous montre que le combat contre les groupes terroristes qui sévissent au Sahel n'est pas terminé et notre détermination à le poursuivre est entière », a poursuivi la ministre dans un communiqué.
Deux autres militaires de ce régiment avaient été tués le 21 février par l'explosion d'une mine artisanale au passage de leur véhicule entre les villes de Gao et Ménaka, dans la zone dite « des trois frontières ». Basés à Valence, les 750 militaires du 1er régiment de Spahis, héritiers des traditions du prestigieux régiment de Spahis marocains, participent à la plupart des opérations extérieures françaises. Ils portent le burnous, une longue cape, et sont coiffés de la chéchia en laine.
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Car un territoire immense infesté de groupes djihadistes divers chez eux dans ce désert sahélien !

Alors bien sur l'état islamique revendique la mort notre soldat, que certains disaient vaincus malgré que leur chef ait été tué par les commandos US en Syrie déjà remplacé, un peu comme faisait l'empereur de Perse Darius qui remplaçait chacun de ses soldats qui tombaient au combat pour en faire une armée d'immortels !

Ce que l'on peut constater depuis 2013 et la création de l'état islamique et de DAESH qui en a pris le nom nous perdons des militaires et bien sur des civils innocents dans des attentats islamiques divers revendiqués par ses criminels jusque dans notre propre pays la FRANCE!

Et nous sommes en insécurité larvée de fait chez nous, parmi nous, n'en déplaisent à nos bienpensants qui nous gouvernent !

L’accélération des dynamiques conflictuelles au Moyen-Orient n’a pas besoin d’être longuement argumentée. 

Le rythme resserré des crises dans l’après 11 septembre 2001 (Irak, Iran, Liban, Palestine) ou l’acuité croissante des dangers (nucléaire, terrorisme djihadiste, guerres civiles) suffisent à la démonstration. Si, depuis la seconde moitié du XXe siècle, le Moyen-Orient a gagné ses caractéristiques de zone belligène, le présent récent offre l’image d’un chaos indescriptible. 

Le conflit désormais qualifié de guerre en est emblématique avec ses niveaux démultipliés !

En fait depuis l'Afghanistan,2001/2014 la France est engluée dans ces conflits divers, le MALI n'est qu'un parmi tant d'autres dont on n'est pas sorti voire sans issue !?

Jdeclef 03/11/2019 12h35LP

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