jeudi 28 novembre 2019

Quand on regrette une ancienne classe politique, médiocre et usée, on ne devient pas président de la république française pour soi-disant réformer à tout va :


Macron : « Il me manque un Jack Lang »

RÉCIT. Le chef de l'Etat voulait faire de la culture un levier de sa politique sociale. Histoire d'une ambition contrariée.


On nous l'a décrit comme un enfant devant sa réalisation, faisant un pas en arrière puis deux, bras croisés, tête inclinée sur le côté, pour se faire la meilleure impression. On nous a décrit Emmanuel Macron, dans son bureau de l'Elysée, devant d'immenses plans d'architecture posés ici ou là durant une partie de l'été. On nous a également raconté combien le président était fier de montrer à ses visiteurs ce qu'allait devenir, après travaux, le château de Villers-Cotterêts (Aisne). Sur les plans, on voit la bâtisse, les jardins et l'intérieur. Le président en parle comme de son bébé, d'un futur grand musée de la francophonie. Mitterrand a eu la BNF, Chirac le Quai-Branly, Sarkozy la Philharmonie et lui, Macron, aura sa grande œuvre. Et n'allez pas lui dire qu'il ne s'agit que d'une rénovation, qui plus est hors de l'écrin parisien, il vous dévisagera, vous fera remarquer que cette entreprise a du sens, que la fameuse ordonnance qui impose la rédaction des actes officiels en français et non plus en latin y a été signée en 1539. C'est pourquoi, comme François 1 er avant lui, il suit de près les avancées du projet, dont le coût global est estimé à 200 millions d'euros. Il s'agit d'un chantier du quinquennat qui, bien qu'important, ne répond en rien à cette interrogation : que faut-il comprendre de la politique culturelle d'Emmanuel Macron ?
Un pass musée pour les grands-parents
« Il y a dans le récit du quinquennat une brique qui manque ; la politique culturelle du président n'est pas assez identifiée », reconnaissait, il y a quelques mois, Alexis Kohler dans Valeurs actuelles. Il manque une brique, en effet, et ce ne serait pas qu'une affaire de « récit ». Cet aveu du secrétaire général de l'Elysée nous servant de prétexte, nous avons multiplié les entretiens avec des acteurs de la culture, des conseillers, d'ex-ministres (quatre), des académiciens, des écrivains et des amis du président pour tenter de comprendre cette absence de brique, d'autant plus surprenante qu'elle aurait dû se trouver aux fondations du macronisme.
Macron et la culture, un sujet sensible. « Il y a un mystère », affirme un ancien occupant de la Rue de Valois. « C'est un paradoxe quand on connaît les goûts du président », nous dira un autre. Pour certains, plus féroces, il n'y a point de mystère, juste un « malentendu ». Le sujet impose à (presque) tous nos interlocuteurs un strict « off ». Macron et la culture, c'est sensible. Ne pas faire un panégyrique de celui qui a « grandi dans la bibliothèque de [s]a grand-mère » et qui vénère Debussy expose à la foudre, qui plus est quand on assume encore une ambition politique ou culturelle.
Qu'est-ce qui cloche, donc ? Lui, d'abord, Macron. En France, la culture, c'est le président de la République, soit le premier de cordée. Si son amour sincère pour la littérature, le théâtre ou le piano ne se discute pas, d'aucuns estiment que le « ruissellement » ne se fait pas, qu'on peine encore à voir dans sa politique l'empreinte de Stendhal, Gide, Giono et Camus, ces auteurs tant de fois cités. D'où le mystère. Un proche : « Son propre rapport à la culture est à interroger. Il aime Gide, son film préféré est "Les tontons flingueurs" et il n'est pas rare de l'entendre fredonner du Johnny. Ses goûts le positionnent plutôt à droite, il y a beaucoup de verticalité chez lui. Or le milieu de la culture est quand même marqué à gauche. En outre, il peine à développer une politique qui parlerait au plus grand nombre, il ne comprend pas les attentes et les besoins. Mitterrand, lecteur de Chardonne, faisait du patrimonial, mais aussi du festif. »
On songe alors à ce mot destiné autrefois à Valéry Giscard d'Estaing : « C'est un bel insecte, mais son drame est qu'il n'a pas d'antennes. » Celui qui, pour la photo officielle, a tenu à poser devant des exemplaires de la « Pléiade » ne manque jamais une occasion de commenter ses lectures, de faire l'exégèse d'un texte, comme dans l'avion, à son récent retour de Chine, où il disserta devant ses invités sur les correspondances amoureuses de Diderot, Camus et Eluard, avant de parler cinéma et, naturellement, de Michel Audiard.
Passions. De la culture comme d'un miroir. Les amis ne manquent pas d'anecdotes sur ses passions ô combien démonstratives, qui relèveraient davantage d'une approche narcissique que d'une volonté de transmettre. « Il aime avoir un piano près de lui. Il en joue pour se détendre », confie l'un d'eux. C'est Macron qui, pour les obsèques de Jacques Chirac, a eu l'idée d'inviter le chef Daniel Barenboïm pour jouer un des « Impromptus » de Schubert, morceau qu'il a lui-même souvent joué. « Il va dans un musée quand l'exposition l'intéresse et valorise d'abord ce qu'il aime. Il ne prend pas trop de risques. Il ne va pas au-devant de la culture. Et je me demande s'il a bien intégré la menace des Gafa pour notre culture et pas seulement pour notre économie. C'est pourtant un enjeu majeur », regrette un autre. Des propos que réfute son ministre Franck Riester : « Il est attentif à la culture et à tous les défis. Dès qu'il le peut, il se rend au théâtre, à une exposition, et nous échangeons beaucoup. Il est moteur dans le domaine. Il a par exemple inauguré le musée Courbet, à Ornans, et le musée des Beaux-arts de Besançon. » De même a-t-il inauguré deux expositions à l'Institut du monde arabe, comme nous le rappelle Jack Lang.

Pour plus de culture à la télévision

Il y a quelques semaines, de nombreux éditeurs ont publié une tribune dans Le Monde réclamant le retour du livre à la télévision. Interrogé sur le sujet, Franck Riester, qui portera la future loi sur l'audiovisuel, admet que les émissions dévolues à la culture se réduisent. Si le ministre indique pouvoir poser les principes d'une offre culturelle plus large à la télévision, il ne peut contraindre les chaînes publiques à le faire. « Je ne vais pas faire leurs grilles de programmes », nous dit-il. « C'est toute la différence entre le pilotage et la stricte tutelle », ajoute un conseiller de Macron. L'expression d'une volonté suffira-t-elle ?
Si le président est indéniablement imprégné de grands textes, il méconnaîtrait, nous affirme-t-on, cet « Etat culturel » fait de silos qui fait vivre la culture jusque dans les tréfonds du pays. « Il n'a aucune vision de l'Etat culturel. Il n'a par exem- ple jamais mis les pieds dans un Centre national d'art dramatique. Il ne connaît pas ceux qui font la culture, c'est un problème », souligne un de ses visiteurs, qui en veut pour preuve le retard pris dans les nominations au CNC, à l'Opéra de Paris ou au palais de Tokyo. « Parce que les titulaires donnaient satisfaction, mais aussi faute de candidats viables, on a procédé à plusieurs reconductions », explique un conseiller. Reste la Villa Médicis, qui n'a toujours pas de directeur. Le nom devait être connu en septembre. Pourtant, nombreux sont ceux - une dizaine, paraît-il - qui s'y verraient, tels le Prix Médicis Luc Lang, dont l'éditeur a fait porter, durant l'été, ses romans au président, lequel n'a pas manqué de le citer dans le portrait que lui a accordé Time, ou Christophe Leribault, directeur du Petit Palais. « A la Villa Médicis, l'intérim [de Stéphane Gaillard, NDLR] est très bon, pas d'inquiétude, indique Franck Riester. Le retard tient au fait que nous souhaitons repenser la politique de résidence d'artistes. »
« Etat profond ». Pour gagner en efficacité, le président n'aime rien tant que contourner cette administration, en confiant des missions à des personnalités extérieures, comme Stéphane Bern (restauration du patrimoine), Jean-Louis Georgelin (Notre-Dame) ou Erik Orsenna (plan bibliothèques), et en ne rechignant pas à les aider. Stéphane Bern : « Il a pris pour moi des rendez-vous avec Darmanin, Blanquer et les services de Bercy, sans quoi c'eût été compliqué. » 
Un « Etat profond », là aussi ? Conseiller culture du candidat En Marche ! durant la présidentielle, Marc Schwartz, aujourd'hui directeur de la Monnaie de Paris, affirme que « le président agit avec la culture comme il le ferait dans d'autres domaines de l'action publique. Il recherche la rapidité, ce qui ne l'empê- che pas d'avoir de la considération pour les acteurs de ce milieu ». Des acteurs qu'il juge cependant parfois trop à gauche et engagés dans des luttes minoritaires, qui ne sont pas tout à fait sa tasse de thé. Pour saisir cette défiance, il faudrait également, nous dit-on, s'intéresser aux origines provinciales du président. « A l'âge où l'on tisse des liens avec ce milieu très fermé, il était à Amiens, relève un ex-ministre de la Culture. Une fois à Paris, il a passé plus de temps avec Paul Ricœur à Châtenay-Malabry, puis avec des politiques et des financiers, qu'avec des écrivains ou des artistes. Mitterrand avait les écrivains à sa traîne, quand Macron va à la pêche. Il préfère la compagnie d'un créateur à celle d'un éditeur, d'un diffuseur, d'un organisateur. C'est un tort, quand on est président. »
La « Lettre aux Français » du président. Invariablement, au cours de nos échanges, un nom nimbé d'une lumière quasi sacrée n'a eu de cesse de revenir : François Mitterrand. Mieux que personne et servi par les circonstances budgétaires de l'époque, le président socialiste aurait incarné l'évidence culturelle française et su la diffuser auprès du plus grand nombre. « J'ai voulu que fussent multipliés, semblables aux puits de vie évoqués par Joseph Delteil, les espaces de culture. (…) Tout est culture en fin de compte », a écrit Mitterrand en 1988, dans sa « Lettre aux Français », consacrant tout un paragraphe au sujet. En relisant celle de Macron, publiée en janvier, en pleine crise des gilets jaunes, on relève que pas une ligne n'est destinée à la culture. Mystère, là encore. En 2016, alors candidat, il en avait parlé comme d'un levier d'émancipation sociale, peut-être le premier. Aussi beaucoup ont-ils déploré l'absence de propositions culturelles durant la crise des gilets jaunes. « Il fallait répondre à une urgence sociale, défend Riester. Nous agissons grâce à différents dispositifs d'accès à la culture.En outre, cela fait vingt ans que le ministère n'a pas eu une telle activité législative. » Et le ministre de citer la réforme de la loi Bichet sur la distribution de la presse, le vote de la loi sur les « droits voisins » pour les éditeurs de presse, qui impose une rémunération de la part des géants du numérique, la création d'un Centre national de la musique et, bientôt, une grande loi sur l'audiovisuel, qui permettra aux chaînes de télévision de rivaliser avec les Netflix, Amazon et Disney.
La renaissance du château de Villers-Cotterêts 
200

millions d’euros

C’est le coût du grand projet patrimonial pour la rénovation de l’édifice, propriété de l’Etat. Le site accueillera en 2022 la Cité internationale de la langue française.

Le grand projet du président

Erigé par François Ier, le château Renaissance est dans un bien triste état. Comme Pompidou avec Beau- bourg, Mitterrand avec la BnF ou Chirac avec le musée du Quai-Branly, Emmanuel Macron a décidé d’orchestrer « sa » grande œuvre : faire renaître de ses cendres l’édifice royal en péril.
« Consumériste ». Pour en finir avec cette « assignation à résidence » qui entrave beaucoup de jeunes, Macron a voulu un Pass Culture doté d'un montant de 500 euros - idée empruntée à l'ex-Premier ministre italien Matteo Renzi -, financé sur des fonds publics et expérimenté dans 14 départements. Le bilan est pour le moins mitigé : le nombre d'inscrits est loin des attentes (même pas 30 000), la communication à son propos est rare et beaucoup d'acteurs de la culture regrettent le caractère « consumériste » de ce passe qui permet, outre l'achat de livres et de tickets de spectacle, l'accès à des jeux vidéo ou à des plateformes en ligne, confortant ainsi les pratiques existantes, tout en enrichissant les gros. « On y croit encore, insiste-t-on à l'Elysée. C'est un outil en phase d'expérimentation. Nous ferons prochainement un bilan. »
De tout cela le président n'est pas dupe. Il n'ignore pas cette absence de « brique », qu'il doit en partie à son ex-ministre Françoise Nyssen, qui a déçu. « Il me manque un Jack Lang », regrette-t-il parfois devant des proches, au risque d'affaiblir son ministre, déjà la cible de critiques. « J'ai pourtant démontré que j'avais une expérience et une connaissance qui légitiment ma fonction [il fut notamment rapporteur de la loi Hadopi, NDLR]. Et tant mieux si je suis un choix politique : c'est une force, plaide Riester. Après, je vous le concède, je ne suis ni un grand peintre ni un grand poète. »

En lice pour la Culture…

« Il lui a fallu du temps, mais, aujourd'hui, il occupe pleinement la fonction », affirme un ancien ministre de la Culture au sujet de Franck Riester. Reste que chacun, dans le milieu de la culture, a sa petite idée sur celui qui pourrait, un jour, occuper le poste sous une présidence Macron. Voici, en vrac, les noms avancés : Bruno Racine, ex-directeur de la Bnf, François Sureau, avocat et écrivain, Laurent Hénart, maire de Nancy, Gabriel Attal, député LREM, Marlène Schiappa, Jean-Michel Blanquer - tout en restant à l'Education - et… Jack Lang !
« J'achèterai "Pariscope" ! » En juin, à l'invitation du banquier Jean-Claude Meyer, président du Cercle de la BnF, le ministre de la Culture a déjeuné avec Alain Finkielkraut et Michel Houellebecq. Ces derniers ont saisi l'occasion pour l'interroger sur le « mystère » de la politique culturelle du président, sans cacher par la suite, et en dépit des réponses, leur perplexité. Comme Alain Finkielkraut, nombreux sont ceux qui estiment qu'il y a, en réalité, deux ministres de la Culture en France : outre Franck Riester, Jean-Michel Blanquer, ministre de l'Education, est celui qui a introduit le chant à l'école, renforcé l'éducation artistique et réalisé le dédoublement des classes de CP afin de favoriser l'apprentissage de la lecture.
Un moteur, si puissant soit-il, ne saurait être performant sans courroies de transmission. Dans son livre « Plaisir et nécessité » (Plon), Nyssen insiste sur la duplicité des équipes élyséennes : « Je me suis aperçue que certaines notes que je lui avais écrites ne lui étaient jamais parvenues. Les choses circulaient mal », écrit-elle. Le président, là encore, a conscience des limites de ceux qui l'entourent. « J'achèterai Pariscope !» a-t-il tonné, l'an dernier, en découvrant le contenu de son programme culturel pour 2018, préparé par l'Elysée. Cette absence de « brique » tant regrettée incomberait également à sa conseillère culture, Claudia Ferrazzi, énarque, passée par le Louvre et la Villa Médicis, qui vient de quitter l'Elysée pour « un projet entrepreneurial » - contactée, elle n'a pas donné suite. Elle est remplacée par Rima Abdul-Malak, ancienne conseillère culture de Bertrand Delanoë à la mairie de Paris. « Une excellente conseillère », dixit Lang.
L'épisode du rapport sur la restitution du patrimoine africain illustrerait parfaitement cette carence élyséenne. La conception de ce rapport a donné lieu à moult tensions : en plus de contester la légitimité, concernant l'Afrique, de l'historienne de l'art Bénédicte Savoy, coauteure du rapport, des fonctionnaires du Quai d'Orsay ainsi que des directeurs de musée ont regretté de ne pas avoir été associés davantage à la réflexion. « L'Elysée n'a rien suivi, il n'y a pas eu de point d'étape. Et on a heureusement échappé à la remise du rapport au président de la République au cours d'une conférence de presse qui devait se tenir au Quai-Branly… On aurait eu tort d'embarquer le président là-dedans », explique un diplomate, qui juge le rapport beaucoup « trop engageant » pour la France.
L'influence de Brigitte Macron. « Ne cherchez pas, la vraie Mme Culture de l'Elysée, c'est Brigitte ! » sourit un de ses proches. Ce que ne dément pas Riester : « Brigitte m'appelle régulièrement pour me parler d'un artiste ou d'un autre. Elle connaît particulièrement bien le théâtre. » Ami de la première dame, Stéphane Bern assure qu'elle a fait de l'Elysée « un véritable showroom », mettant en valeur moult créations françaises, avec l'aide d'Hervé Lemoine, directeur du Mobilier national, qu'elle a elle-même promu. Une diversité de choix que de jeunes couturiers aimeraient voir aussi appliquer à la mode, en raison de la relation quasi exclusive qu'entretient l'épouse du président avec le groupe LVMH.

Aucun « désert culturel » en France

Commandée par le ministère de la Culture, une enquête de l'Inspection générale des affaires culturelles sur la diversité de l'offre dans les territoires indique qu'il faudrait « bannir du vocabulaire de l'Etat toute notion de "désert culturel" ». Le document rend toutefois compte d'un sentiment d'abandon dans les zones rurales, qui « attendent un accompagnement de proximité, des assouplissements, de la différenciation dans les dispositifs d'intervention ». De même veulent-ils être « soutenus dans des projets qui font écho à l'Histoire, à la mémoire et aux traditions locales ». 
Le 22 juillet, les syndicats ont envoyé une lettre à Franck Riester pour s'inquiéter de « l'affaiblissement du ministère, de la stagnation de ses moyens et de l'absence d'ambition politique clairement affirmée ». Le ministre a annoncé une hausse de 73 millions d'euros du budget (de 8,2 milliards) avec un effort particulier pour le patrimoine, un des rares domaines dans lesquels Macron serait à la hauteur de l'espoir suscité. Deux jours plus tard, comme une allégorie de ce que serait devenue l'« exception culturelle » française, le ministère a organisé une fête pour célébrer ses 60 ans, mettant à l'honneur les équipes actuelles et anciennes. « Les invitations ont été envoyées quatre jours avant en raison d'un problème d'organisation avec l'Elysée. Macron est arrivé avec une heure de retard. Nous l'attendions sous un soleil de plomb. Il n'y avait que trois ex-ministres [Jack Lang, Frédéric Mitterrand et Renaud Donnedieu de Vabres, NDLR] et aucun acteur de la culture. Ne fallait-il pas avancer cet événement pour éviter la période des festivals ? » grogne un participant qui, quelques jours après cette confidence, nous passa un coup de fil, certain d'avoir trouvé une piste qui pourrait enfin nous mener à l'élucidation du mystère : « Vous devriez appeler la grande amie des présidents, Line Renaud, c'est un totem ! Elle adore Macron, elle vous expliquera sûrement des choses… » Voilà comment le mystère s'est soudain épaissi !
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Une FRANCE démocratique encore libre, mais difficile à gouverner !

Surtout si l’on n’a rien à mettre comme compétence à la place, comme gouvernement pour oublier ceux du passé !

Mr MACRON semble perdu et ne pas savoir où il va et quant à ses choix, on a déjà vu ce que cela donne ..!

Il faut dire que ses « macroniens » comme on les appelle ne sont pas des flèches, que ce soit les parlementaires ou ses ministres !

Qu'il laisse en paix Jack Lang et sa notoriété à sa retraite avec sa fête de la musique seule chose qui sortait de l'ordinaire pour le reste, c'était un opportuniste comme bien d'autres qui a bien profité !

D'ailleurs un candidat à la présidence, comme a été Mr MACRON en 2017 qui disait que la France n'avait pas de culture, pensant peut-être par son égo démesuré si commun à nos présidents passés, que lui en avait une supérieure, qui prend par exemple un général mal élevé pour diriger la restauration de la cathédrale Notre Dame de PARIS en décidant en pseudo monarque absolu du délai imparti pour ce travail de pointe très technique, cela montre ses lacunes en matière de culture (et autres compétences !) 

Peut-être que la tâche était trop importante pour lui et les événements actuels commencent à lui revenir dans la figure, car depuis un an environ les français qu’il oublie, lui ont montré qu’ils existaient et n’étaient pas encore les sujets serviles d’un pseudo monarque sans couronne, avec ses discours alambiqués qui ne passe plus et qui enchaîne les échecs !

Et cela ne va pas s’améliorer semble-t-il dans les semaines à venir, s’il ne change pas d’attitude !

Jdeclef 28/11/2019 09h36LP

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